Les Astazous (3071m) en Aller/retour par les rochers blancs

Petit et Grand Astazou (3071m) en aller/retour par les rochers blancs depuis Gavarnie.

  • Déniv: +1850m – (6h30+5h00)= 11h30 – 18 km Niv: Montagnard
  • Date: le 13.10.2017 – Hautes-Pyrénées – Départ: Village de Gavarnie (1380m)

Recommandations concernant le retour par les rochers blancs

Ce topo a été réalisé lors de mon ascension en boucle par les Rochers Blancs, Tuquerouye et la Hourquette d’Alans. Il est évident que faire le retour par les rochers blancs est plus difficile, surtout pour la désescalade des différentes petites barres rocheuses, même si elle ne dépasse pas le niveau: II+.

Il faut bien charger la trace Gps faite sur le terrain ou à défaut, avoir enregistrer sa propre trace de l’aller afin de ne pas se mettre en danger à la descente sur certaines barres rocheuses.

Si j’ai voulu faire ce topo avec le retour par le même itinéraire, c’est avant tout pour vous donner un maximum d’informations tant au niveau des temps de parcours que par sa difficulté dans le sens inverse. Je sais aujourd’hui que malheureusement, beaucoup de personnes partent la fleur au fusil sans lire les topos, croyant que seul la trace Gps suffit !

Non, sur ce genre de terrain, surtout en désescalade même si le niveau II+ reste facile pour des grimpeurs ou pour des montagnards confirmés, une erreur est vite arrivée !

Alors, malgré tous les conseils décrits sur ce topo, je vous recommande fortement de faire cette randonnée en boucle par les Astazous, Tuquerouye et la Hourquette d’Alans (Voir le topo ici).

Malgré les 2 derniers commentaires demandant de retirer ce topo, j’ai préféré ne pas le supprimer afin que les personnes non aguerris prennent consciences des dangers de revenir par les rochers Blancs, pour les autres qui sont habitués dans ce genre de terrain, pas de sacs trop lourds et une corde de 20m avec les accessoires peuvent être utiles à condition de savoir s’en servir.

Attention: Je ne pourrai être tenu responsable des risques d’accidents encourus par les lecteurs utilisant cet itinéraire et décline toute responsabilité dans l’hypothèse d’un accident sur ce topo comme d’ailleurs sur tous les Topos et itinéraires suggérés dans ce site web.

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De nature d’origine glaciaire, le cirque de Gavarnie est une merveille naturelle (site classé au patrimoine mondial par l’Unesco), il offre des paysages saisissants avec 16 sommets à plus de 3000 mètres qui s’élèvent à près de 1500 mètres en 3 étages successifs. Après le Taillon (3144m), le Marboré (3248m) et le Mont Perdu (3355m) pour ne citer qu’eux, le Grand Astazou avec ses 3071m d’altitude constitue un belvédère incomparable entre la France et l’Espagne. L’accès au sommet par les rochers blancs depuis le village de Gavarnie n’est pas à la portée du simple randonneur avec plusieurs barres rocheuses à contourner ou à franchir avant d’atteindre la crête non loin du col des Astazous en 5h30 depuis le village de Gavarnie. La suite jusqu’au grand pic d’Astazou en passant par son petit frère (3012m) ne comporte pas de difficulté si ce n’est le vide de part et d’autre du fil de crête. L’itinéraire après les rochers blancs qui est très bien balisé en rouge est assez complexe et ne devra pas être entreprise par temps de brouillard.

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Vous l’aurez compris, cette course en aller/retour demande d’avoir une très bonne condition physique (entre 10h30 et 11h30 de marche sans les pauses) et d’avoir également un bon niveau montagnard surtout pour l’orientation qui n’est franchement pas évidente sans une vraie trace Gps. Le niveau d’escalade n’est pas élevé avec beaucoup de passages de niveau: II et un ou deux tronçons très courts de niveau: III – Cotation globale de la course: PD.
Heureusement, il y a une alternative à l’itinéraire par les rochers blancs avec beaucoup moins de difficultés mais avec une course tout aussi longue depuis Gavarnie par la Hourquette d’Alans, la vallée de Piñeta ou par le lac des Gloriettes, ce dernier étant l’itinéraire le plus court. Tous ces différents itinéraires comportent des difficultés diverses que seul un montagnard aguerri avec son expérience du passée et habitué à affronter la haute montagne pourra entreprendre, vous voilà prévenus !

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Difficultés: A ne faire que si vous êtes un montagnard expérimenté par beau temps et en l’absence de neige. Cheminement complexe surtout après les rochers blancs où il est très facile de se perdre sans une vraie trace Gps faite sur le terrain. La principale difficulté est le franchissement de la barre rocheuse qui défend le versant occidental du col d’Astazou. Et bien sûr d’avoir une très bonne condition physique.

Il n’y a pas beaucoup de topo détaillés sur le web concernant cette course que je voulais faire déjà depuis très longtemps, pour cette raison, j’ai posté 170 photos (beaucoup, je le conviens) afin que les plus aguerris (Niv: Montagnards) puissent faire cet itinéraire tant convoité avec toutes les infos utiles et nécessaires. Pour les autres n’ayant pas le niveau, pourront juger d’eux même que cette course n’est pas pour eux !
Attention: Je ne pourrai être tenu responsable des risques d’accidents encourus par les lecteurs utilisant cet itinéraire et décline toute responsabilité dans l’hypothèse d’un accident sur ce topo comme d’ailleurs sur tous les Topos et itinéraires suggérés dans ce site web.

La suite du Topo . . . . . . . . . .

Après 1,2 km de marche depuis le village de Gavarnie (1380m), au niveau des panneaux: Refuge des Espuguettes (2h), Hourquette d’Alans (3h15) et Cirque de Gavarnie (1h), suivre le sentier montant à gauche dans le bois de Pailla (Sud-Est).

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Randonnée faite avec mes deux amis Jean-Claude et Bernard

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Le sentier s’élève en lacets vers l’Est et traverse un bois de sapins et de hêtres

avec de temps en temps la très belle vue sur le cirque et le village de Gavarnie.

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Après un peu plus de 1 heure, nous arrivons au plateau de Pailla (1740m)

en laissant à gauche l’itinéraire du refuge des Espuguettes.

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Nous laissons également sur notre gauche la cabane de Pailla (1800m) pour traverser à droite le ruisseau de Pailla où se trouve une source qu’il ne faut pas manquer pour remplir toutes les gourdes, vous ne trouverez plus de source jusqu’au retour !

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Après avoir traversé le torrent (1780m),

l’itinéraire monte à droite vers le Sud-Ouest un peu hors sentier jusqu’à l’extrémité du bois de Pailla.

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Nous montons à travers les pelouses et les bosquets avec quelques cairns par-ci, par là.

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Le début du balisage avec des ronds jaunes après 35 minutes de marche depuis le plateau de la Pailla.

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La vue derrière nous.

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L’itinéraire ensuite s’élève à flanc et remonte plein Sud vers les rochers blancs.

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Le cirque de Gavarnie va être présent devant nous pendant toute la montée, un vrai régal pour les yeux !

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Les appareils photos sont de sortie !

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Après environ 2h20 de marche depuis notre départ, nous rentrons dans le secteur des rochers blancs (2000m).

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Le village de Gavarnie, départ de notre randonnée.

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Le cirque de Gavarnie, une merveille de la nature !

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Le Casque du Marboré (3006m) un des 16 sommets du cirque à plus de 3000m.

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La fameuse brèche de Roland (2807m).

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Des isards surpris par notre présence !

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Il est vrai qu’ici il ne sont pas trop dérangés par les randonneurs.

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Le Vignemale (3298m) et son glacier d’Ossoue.

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Le passage des rochers blancs vers 2080m était autrefois redouté à cause du manque de signalisation et il était très facile de s’y perdre, surtout par temps de brouillard. Aujourd’hui cet itinéraire est balisé de ronds rouges et jaunes tout du long.

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Suivre le balisage en rouge qui est parfois très rapproché, impossible de le manquer.

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Jean-Claude et Bernard dans le passage des rochers blancs.

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La vue sur le cirque est vraiment splendide.

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Cet itinéraire demande de s’aider un peu des mains (Niv: II) rien de bien méchant.

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Bernard.

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Parfois balisé en rouge et par moments en jaune.

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Plusieurs petites barres rocheuses à contourner ou à franchir.

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Jusqu’ici, l’itinéraire n’est pas compliqué, il suffit de suivre le balisage et les cairns.

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Encore une petite barre rocheuse à franchir.

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Jean-Claude cherche un cairn pour le passage de cette petite barre rocheuse.

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Par moment même si ça paraît improbable, un petit cairn apparaît devant nous pour nous montrer le passage.

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Cet itinéraire demande une aptitude à l’escalade rocheuse avec souvent des passages de II, voir III comme ici.

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Un cairn, ça rassure non !

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Après avoir franchi deux escarpements faciles, nous franchissons la barre rocheuse suivante.

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Bernard, heureux !

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Il est très difficile voir impossible de vous indiquer exactement à la lettre l’itinéraire !

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Après les rochers blancs, le balisage jaune et rouge laisse place aux cairns.

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Dans tous les cas, il vaut mieux avoir la trace Gps chargée dans son appareil

si l’on ne veut pas s’égarer et y passer la nuit car ce secteur est vraiment paumatoire ! ! !

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Une vue sur le nouveau refuge des Sarradets 2587m qui est encore en travaux pour 1 an.

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Le Casque du Marboré (3006m).

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Après 3h30 de marche depuis Gavarnie, nous traversons un ruisseau vers 2420m.

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Après la cascade, suivre le cheminement cairné,

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pour franchir à nouveau une nouvelle barre rocheuse.

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Derrière nous . . . . .

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Après la barre rocheuse, nous nous trouvons sur des immenses pentes d’éboulis d’où l’on peut voir la dernière difficulté de cette montée, c’est la plus délicate, une vraie muraille qui défend les abords du col des d’Astazous.

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Derrière nous le massif du Vignemale et son glacier.

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Le village de Gavarnie 1200m plus bas !

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Un long couloir d’éboulis qui après 4h de marche fait très mal aux jambes.

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Remonter jusqu’à la base de ce couloir à gauche.

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Même Jean-Claude est fatigué ! ! ! c’est pour vous dire que ce pierrier fait mal à tout le monde !

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Après une toute petite pause, c’est reparti !

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2 pas devant pour 1 derrière ! ! !

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Des cairns, il y en a de partout, choisissez votre itinéraire jusqu’à la base du couloir (2780m).

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Lorsque vous vous engagez dans ce couloir, surtout ne le remontez pas jusqu’en haut.

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Un restant de glacier en dessous du Marboré.

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Vers 2780m, remonter le couloir sur environ 80m,

puis suivre une corniche aérienne à droite pas évidente à trouver, mais un petit cairn vous indique que c’est bien par là.

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La base du couloir (2780m).

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Le couloir.

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Pas trop de difficulté, niv II d’escalade.

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Bernard.

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Vers 2820m, prendre à droite cette vire aérienne en direction du Sud.

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Bernard au croisement du couloir et de la vire.

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Un tout petit cairn nous montre que nous sommes bien sur le bon itinéraire.

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Pas de difficulté en l’absence de neige, ici un peu de glace mais rien d’important.

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La principale difficulté est passée, en fait il n’y a pas vraiment de grosses difficultés,

le danger est que vous pouvez vous égarer à tout moment sans une trace Gps.

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Bernard sur la vire.

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La vue sur le Cirque que l’on a depuis ce matin, que demander de plus !

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Après la vire, nous suivons les cairns qui nous mènent à gauche devant un petit ressaut qu’il faut escalader.

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Après 5h de marche, la fatigue commence à se faire sentir !

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Quelques rochers à escalader ensuite pour définitivement franchir cette muraille qui paraissait infranchissable au départ du couloir.

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Les derniers pas d’escalade pour que Bernard passe définitivement au dessus de la muraille.

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L’itinéraire nous mène ensuite sur des vastes pentes d’éboulis juste en-dessous du col d’Astazou.

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Vers 2862m après 5h15 de marche,

nous laissons l’itinéraire allant au col d’Astazou vers le Sud-Est pour continuer à gauche vers le Nord.

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La suite ne comporte pas de difficultés majeures, il faut remonter la pente facile jusqu’à la crête du petit Astazou.

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Il est 14h10 de l’après-midi, plus de 5h de marche sans pratiquement s’arrêter, franchement j’en ai plein les bottes ! ! !

Pause casse-croûte bien méritée pour nous trois.

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Nous reprenons notre ascension après 30 minutes d’arrêt pour nous restaurer et reprendre des forces surtout pour moi

qui porte 5kg de matériel photo, l’horreur !

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La vue sur le col d’Astazou (2951m) sur lequel il ne faut surtout pas aller,

sinon il vous faudra revenir vers le petit Astazou en passant en contrebas de cette crête bien effilée.

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Nous remontons en lacets une pente d’éboulis jusqu’à la crête du versant Ouest du petit Astazou.

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La vue sur notre droite vers le Mont Perdu (3355m) et le Cylindre (3335m).

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L’arrivée sur la crête avec une vue sur notre gauche au loin du Pic Long (3192m).

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Aucune difficulté pour la montée au Pic Occidental d’Astazou ou Petit Astazou (3012m).

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5h30 de marche depuis ce matin sans la pause casse-croûte pour +1660m de dénivelé en 8km.

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Bernard, Mariano et Jean-Claude au sommet du Petit Astazou (3012m) 3h00 de l’après-midi.

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Panorama à 360°: cliquer sur l’étoile rouge animée pour passer au Panorama du petit Astazou

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Panorama vers le Piméné (2801m) qui paraît bien petit depuis ici !

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Pic rouge de Pailla (2780m).

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Le village de Gavarnie, 1600m plus bas ! ! !

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Côté espagnol, le Mont Perdu et ses 3355m d’altitude (troisième plus haut sommet des Pyrénées).

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Le Pic du Marboré qui peut se gravir depuis notre itinéraire en montant au col d’Astazou (Cotation: PD+).

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Seulement 10 petites minutes d’arrêt au sommet du petit Astazou.

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Pour le grand Astazou, nous suivons l’arête étroite et effilée du versant Est jusqu’au col de Swan.

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Nous quittons le fil de l’arrête pour éviter un gros ressaut.

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Puis nous remontons un peu pour arriver au col de Swan.

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Col de Swan (2960m) 25 minutes depuis le petit Astazou.

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Mes 2 mois d’inactivité à cause de ma tendinite + le manque de sorties à fort dénivelé ces derniers temps sans oublier mes 5kg de matériel photo sur mon dos, font que je suis complètement rincé ! ! !

J’ai laissé mon sac à dos au col de Swan pour les 25 dernières minutes d’ascension au Grand Astazou mais sans oublier mon appareil photos qui pèse quand même 1,6 kg au lieu des 17kg, quel bonheur, j’ai cru que je volais . . . . .

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Pas de réelles difficultés pour atteindre le Pic Oriental d’Astazou.

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Soit suivre les cairns un peu en contrebas comme ici à l’aller,

ou suivre le fil de crête qui est aérien mais sans difficulté que nous avons fait au retour.

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La vue sur le lac glacé (2600m).

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Derrière nous le Pic Occidental d’Astazou qui n’a vraiment pas l’air d’un petit !

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Petit pas d’escalade, rien de bien méchant.

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Sauf pour Bernard à qui l’escalade n’est pas trop son truc,

peu importe la façon, l’essentiel c’est d’y arriver et il y arrive bien notre ami Bernard !

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Le sommet n’est plus très loin . . . . .

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A quelques mètres . . . . .

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Sommet du Pic Oriental d’Astazou ou Grand Astazou (3071m) 6h30 sans les pauses, nous avons mis 7h00 (pauses comprises) 6h15 sans les pauses pour +1770m et -90m de dénivelé en 9km.

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Bernard, Jean-Claude et Mariano au sommet du Grand Astazou (3071m).

Vraiment heureux tous les trois d’avoir atteint ce joli et grand sommet qui se mérite à plus d’un titre !

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Panorama Grandiose sur 360°

Panorama vers le massif du Vignemale (Nord-Ouest).

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Panorama vers l’Est.

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Panorama vers le Nord.

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Le Piméné (2801m) avec le pic rouge de Pailla (2780m).

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Le lac des Gloriettes (1680m).

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Le village de Gavarnie, 1km 700 plus bas !

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Côté espagnol, le lac glacé (2600m) et le Mont Perdu (3355m).

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Le glacier du Mont Perdu qui diminue d’année en année.

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Vers le cirque de Troumouse.

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Le Pic de la Géla (2851m).

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Le cirque de Troumouse et son point culminant: le Pic de la Munia (3133m).

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Le refuge de Tuquerouye (2666m) au-dessus du lac glacé.

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Photo souvenir avec mon ami Jean-Claude avant de repartir de la cime.

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Pour le retour par le même itinéraire compter -1770m et +90m de dénivelé pour 9km en 5h00.

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Cette fois-ci contrairement à la montée, nous suivons le fil de crête.

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Aucune difficulté si ce n’est le gaz qu’il y a côté Nord.

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Le rocher est bon, donc pas de soucis !

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Vers la fin, il faut quitter la crête pour contourner un petit ressaut par la gauche.

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Bernard dans la descente du Grand Astazou.

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Le petit Astazou vue d’ici n’a vraiment pas l’air d’un petit !

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Pour ceux qui dorment au refuge de Tuquerouye et qui font la grande boucle par la Hourquette d’Alans, compter 2h pour y accéder, cliquer ici pour voir la suite

Pour ceux qui font l’aller/retour, suivre ce topo:

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L’arrivée au col Sawn (2960m) 20 minutes depuis le sommet. Nous laissons à gauche l’itinéraire descendant au lac glacé et nous remontons au petit Astazou (3012m).

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La descente dans la pierraille,

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jusqu’à l’intersection 2862m qui vient du col d’Astazou.

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La désescalade pour rejoindre la vire de ce matin.

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Jean-Claude sur la fin de la vire.

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La descente du couloir.

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Retour au pierrier de ce matin.

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Beaucoup moins pénible à descendre qu’à le monter.

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Les différentes petites barres rocheuses qu’il faut contourner ou franchir.

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Le village de Gavarnie est encore bien loin de nous (environ 3h00).

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Soyez plus attentif à la descente qu’à la montée, une petite glissade est vite arrivée !

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Les rochers blancs.

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Puis l’arrivée sur la crête du bois de Pailla.

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La descente sans problème à la cabane de Pailla.

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Puis le retour au village de Gavarnie.

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Les belles couleurs d’automne.

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Retour au village de Gavarnie après 5h de marche depuis le Grand Astazou et 11h30 depuis notre départ !

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Merci à Jean-Claude et Bernard pour cette belle virée,

c’est sûr que cette course restera à jamais gravée dans nos mémoires tellement elle fut belle et grandiose !

26 réponses
« Anciens commentaires
  1. Guillaume dit :

    Facile jusqu’au ressaut final, cependant ce dernier sous le col d’Astazou est vertigineux et périlleux, avec des vires étroites surplombant l’abîme. Nous avons préféré couper par la falaise tant la dernière vire était trop exposée. En conclusion, pas de difficulté technique mais des risques importants. Toutefois une course magnifique, merci pour le topo !

    Répondre
  2. Adrien Guettier dit :

    IMPORTANT : les vires dur la droite à la fin de l’espèce de dièdre dans le couloir sont extrêmement engageantes et ne laissent la place à aucune erreur. Je déconseille formellement de les prendre si le rocher n’est pas totalement sec (prises pour les pieds peu larges et quasi inexistantes pour les main à environ 40m du sol, rocher saillant barrant le passage du sentier et demandant d’être très vigilant)
    J’insiste également sur l’importance de télécharger la trace, nous avons perdu beaucoup de temps en faisant des detours !

    Merci beaucoup pour cet itinéraire et très bonne continuation

    Répondre
  3. Roussel christophe dit :

    Merci Marianno pour ce topo ! J’ai réalisé cette course fin Juillet et je me permets de faire part de mon impression : à faire à la montée pour profiter des vues inhabituelles sur le cirque ; par beau temps, aucun souci au niveau des rochers blancs qui sont très bien balisé (des marques semblent avoir été rajouté récemment) même si le début du sentier n’est pas si facile à trouver. Pas de souci pour passer les barrières rocheuses (il faut mettre les mains mais cela ne demande pas de techniques en escalade).
    Par contre, j’ai fait une grosse erreur en ratant le « U turn » de la vire et en m’engageant trop près du col d’Astazou : il m’a fallu 20 mètres engagés pour me décider d’allumer mon GPS et confirmer mon erreur qui aurait pu me coûter gros (en fait c’était clair que le niveau de difficulté dépassait la randonnée mais un excès de confiance m’a poussé à aller voir…..et je l’ai bien regretté). Il y a bien un gros cairn pour signaler le changement de direction mais il n’est pas très visible depuis la vire. Bref, je vous incite à ne pas faire comme moi et à faire bien gaffe à la trace GPS pour ne pas rater ce point clé au risque de prendre des risques inutiles. Sur le reste, que du bonheur !

    Répondre
« Anciens commentaires

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