Randonnée à La Piskerra (468m) en boucle par la cabaña Piskerra et el Paso de Los Ciervos.
El cabezo de la Piskerra (468m)
- Dénivelé +300m – 10 km – 3h45 (sans les pauses) – Niveau: Randonneur
- Date: le 26.09.2014 – Départ: Pista del Caldero 324m (Bardenas Blanca) Espagne (Navarre)
Encore une randonnée de toute beauté, certainement parmi les plus belles des Bardenas avec ces montagnes d’argile de couleur orange érodée.
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Difficultés:Le parcours essentiellement en argile est impraticable par temps de pluie ! ! !
Attention au barranco qui, suivant les années et les ravinements, peut avoir des passages un peu difficiles, l’itinéraire se fait en grande partie hors sentier, et même en ayant le sens de l’orientation il est très difficile de suivre exactement l’itinéraire de ce topo sans avoir chargé la trace GPS au préalable
(Traces au format Gpx ci-dessus).
Sur la route menant au départ de la Piskerra, plusieurs cabanes typiques des Bardenas, ici la cabane de Pancho.
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La cabane de la Castildetierra.
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Cabane dont je ne connais pas le nom ?
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La brume du matin sur la Piskerra, Ralla et Rallón.
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Départ de la randonnée à 1km de la zone militaire sur la piste de Caldero (324m).
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Carte IGN
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Depuis le départ, suivre une piste en direction de l’Est.
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Puis à partir d’ici, beaucoup trop compliqué à vous expliquer exactement l’itinéraire que nous avons emprunté !
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Il y en a plusieurs, à vous de choisir.
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Pour ceux qui ont un GPS, charger la trace en haut de la page.
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La zone militaire (Polygone de tir).
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1er étape, joindre la cabane de la Piskerra.
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Le relief des Bardenas.
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Cabane de la Piskerra.
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La Piskerra (468m).
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Petite pause à la cabane après 40 minutes de marche depuis la piste de Caldero.
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Nous reprenons notre chemin vers l’Est-N.E pour la montée des escaliers.
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La Piskerra dans toute sa splendeur !
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El Niño de la Piskerra.
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La montée des escaliers.
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Cette montée ne sera certainement plus possible d’ici quelques années .
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Les escaliers se dégradent de plus en plus.
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Magnifique vue sur la Piskerra depuis la montée des escaliers.
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Guérite de la Piskerra (383m).
15 minutes depuis la cabane de la Piskerra et 1h05 depuis le départ.
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Très beau panorama depuis ce point de vue.
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Vers la Piskerra.
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El Niño de la Piskerra avec un vautour sur son chapeau.
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La Piskerra depuis l’intérieur de la cabane.
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Pour la descente, nous la faisons par cette goulotte assez raide (Est).
Par temps sec et en allant doucement, pas trop de danger !
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Prochain objectif: la Piskerra.
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Direction Est-N.E.
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Nous prenons de la hauteur pour accéder au plateau supérieur.
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Nous laissons derrière nous, la guérite de la Piskerra.
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Depuis le plateau, longer le bord des cultures jusqu’au pied de la Piskerra (Nord).
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El Niño.
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La montée se fait sans problème par temps sec.
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Vue derrière nous depuis la fin de la montée.
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Extrémité Est de la Piskerra (468m) 1h35 depuis notre départ.
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Le petit groupe des APNP: Laurent, Marie-France, Dominique, Mariano, Marinette
Geneviève, et nos deux Jean-Paul.
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Panorama vers la Gorra.
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El Niño de la Piskerra.
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Panorama vers la guérite où nous étions tout à l’heure.
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Panorama vers la cabane de la Piskerra.
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Les escaliers menant à la petite guérite.
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Les goulets d’argile.
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Le Polygone de Tir.
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La cabane de la Piskerra.
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Vue au loin sur notre lieu de départ.
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Cabane de berger.
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C160 Transall
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Avion de transport de troupes à hélice de l’armée allemande.
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Des milliers d’hirondelles sur les falaises de la Piskerra.
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Après une heure de pause pour le casse-croûte,
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retour par le même itinéraire que la montée.
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Le chapeau del Niño de la Piskerra.
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F18 Hornet (Avion à réaction)
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Pendant plus de 30 minutes, les F18 vont s’entraîner à larguer bombes et missiles.
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La guérite de ce matin.
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Étape suivante: le Paso de los Ciervos.
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Vers le Rallón.
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Le Paso de los Ciervos.
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Piste que les vététistes empruntent également malgré la pente très raide du départ.
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Le massif del Rallón.
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Le goulet d’argile.
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Marinette et Athéna au niveau du goulet avec en arrière plan, le Rallón (500m).
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Laurent.
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La descente du goulet.
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Retour vers la voiture (Nord-N.O).
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Derrière nous.
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Un tracteur agricole.
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Nous revenons sur nos pas au niveau de la guérite de la Piskerra.
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Nous rentrons dans un ravin à gauche au pied de la montée de ce matin à la guérite.
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Barranco qui serpente au milieu de ces montagnes d’argile.
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Un itinéraire de toute beauté où il vous faudra au préalable charger la trace GPS pour ne pas le louper !
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Petit cairn pour nous indiquer la sortie du barranco.
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Encore un avion de l’armée.
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Marinette et Geneviève.
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Retour à la voiture après 4h50 (pauses comprises).
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Encore une très belle journée sous une tempête de ciel bleu ! ! !
On en a pris plein les mirettes comme souvent dans cet endroit magique !
Lien des randonnées faites dans les Bardenas
Il y a une multitude d’itinéraires possibles dans les Bardenas et il faudrait 3 semaines pour les parcourir contrairement à certains qui croient qu’ils ont vu les Bardenas Reales après avoir fait la Piskerra et le Rallón. Les itinéraires peuvent changer d’une année à l’autre à cause de l’érosion qui continue à faire son travail de sape et des interdictions mises en place tous les ans de mai/juin à mi-septembre.
Pour toutes ces raisons, avant de partir aux Bardenas, ne pas oublier d’aller visiter l’excellent site de Frédéric Moncoqut, le seul dont les articles et les infos sont mis à jour.
Site de Frédéric Moncoqut: http://www.bardenas-reales.net/
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Hébergement
Pour ceux qui recherchent un hébergement à proximité des Bardenas, je vous conseille sans retenue et les yeux fermés le gîte rural situé dans le petit village de Milagro, superbe maison située en bordure du fleuve d’Aragon. Vous disposerez de quatre chambres (toutes dotées d’une salle de bain), d’une cuisine totalement équipée (machine à laver le linge, lave-vaisselle, micro-ondes, four, etc.), d’une salle à manger (cheminée, TV, lecteur DVD, etc.), et d’une grande terrasse dont la vue donne sur le fleuve. Dans le salon, une petite bibliothèque met à votre disposition de nombreuses informations et documentations qui vous aideront à découvrir la Navarre et la région des Bardenas.
Mariola, la gérante est très sympa et en plus, elle parle français.
Site Web: www.miralrio.com – Adresse mail: casamiralrio@hotmail.com
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Les Bardenas sont un fantastique endroit. J’avais préparé mes randos en consultant le site de Mariano et Bardenas Reales.net mais la veille à notre arrivée dans le secteur, nous sommes passés au centre d’informations des Bardenas et là, l’hôtesse nous explique que la randonnée n’est autorisée que sur les chemins indiqués sur la carte papier qu’elle nous remettait (soit très peu) et que l’accès au secteur Piskerra /Rallon était interdit (depuis le classement du parc en 1999 m’a t’elle précisé). Je suis ressorti du centre déçu…. Après quelques recherches, j’ai découvert que cette situation n’était pas claire et que la seule interdiction officielle est périodique et liée à la nidification des rapaces dans le secteur Piskerra/Rallon et largement affichée comme constaté lors d’un précédent passage.
Effectivement, en cette période aucune interdiction n’est matérialisée sur le terrain.
Sinon, les escaliers menant à l’Atalaya sont en ruine par endroits, mais la cartographie TopoPyréneos propose un sentier dans un goulet qui permet de rejoindre le plateau intermédiaire. Cette randonnée est vraiment une des plus belles des Bardenas. Le Gps est un excellent ami sur ce terrain.
En cette période après les pluies récentes nous avons dû adapter l’itinéraire de certaines randonnées car quelques barrancos étaient vraiment trop glissants.
Bonjour Mariano,
Une fois de plus merci pour ton travail sur ce site qui me procure nombre de traces GPX fiables et intéressantes.
Nous avons fait cette rando magnifique fin novembre, par un temps magnifique et je pense que c’est une bonne saison pour éviter les fortes chaleurs et la foule. (uniquement rencontré 5 ou 6 voitures de français vers le rocher de la demoiselle, sinon désert complet).
Pour moi c’est vraiment la rando la plus spectaculaire des Bardenas. On a l’impression d’être dans un décor de film tout du long.
Je signale cependant une difficulté : la montée des escaliers (escaleras sur carte open street maps) n’est plus praticable. Des sections de béton se sont affaissées et leur inclinaison les rend impraticables. Il est plus aisé de monter à côté, mais c’est très pentu et il faut mettre les mains. Sinon j’ai suivi un petit détour par un sentier plus facile qui monte également à la hauteur du mirador, où on peut rejoindre ta trace.
J’ai enregistré ce parcours, si cela te paraît intéressant je peux t’envoyer la trace.
Encore merci et à bientôt sur tes traces !
Pour la Piskerra, nous l’avons fait depuis l’autre face. Cela se fait très bien. Cela dit, j’ai discuté avec un guide français qui avait un groupe sur place. Les gardes du parc enlèvent tous les cairns qu’ils trouvent pour décourager les randonneurs.
Mieux vaut se munir d’une carte pour trouver son chemin.
Et effectivement, la musique d’Ennio Moricone se marie parfaitement avec le paysage. Testé sur les routes caillouteuses dans ma voiture!
Laurent
bonjour Mariano,
je confirme que les escaliers montant à la Guérite de la Piskerra ne sont plus praticables sur un linéaire d’une dizaine de mètre (randonnée faite le 26/10/17) : le terrain s’est effondré sous les escaliers juste à l’endroit où c’est le plus pentu pour franchir le plateau rocheux intermédiaire. J’ai jugé beaucoup trop risqué de réaliser la montée à la guérite par cet itinéraire car la descente est à mon avis très exposée…. pour ceux qui veulent absolument y accéder, s’armer un peu de patience… elle est à mon avis très facilement accessible quand on redescend de la Piskerra pour aller vers le Rallon, depuis le chemin qui borde le champ d’un côté, et les pentes ravinées qui descendent sur le plateau à mi hauteur (non testé, mais visiblement faisable en faisant attention bien sûr dans les ravines).
effectivement, il faut absolument aller sur le site touristique de http://www.bardenas-reales.net/infos-tourisme.htm pour s’assurer que la zone est ouverte.
bonnes randos !
Vincent
Merci beaucoup pour ce bel itinéraire. Sans votre tracé GPS, nous serions passé à côté de splendeurs.
Fait avec des petites filles de dix et sept ans, habituées à marcher.