Randonnée Fontarrabie-Pasaia

Rejoindre le Cap de Figuier par le sentier du Gr11-Gr121 longeant la route le long du canal de Bidassoa.

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A l’extrémité du Cap Figuier prendre le sentier à droite de la route montant au phare de Figuier (balisé en rouge et blanc)

La route mène également au phare.

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Cap du Figuier et son phare (Cabo de Higuer) altitude 44m.

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L’itinéraire de ce topo.

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Après avoir longé le camping del Faro de Higer (Ouest), prendre le sentier du GR121 (Sud-Ouest) Panneau Pasaia 20,6 km.

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Après avoir marché 350m, laisser le chemin et prendre à droite un sentier balisé en rouge et blanc.

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A partir d’ici, il vous suffit de longer plus ou moins le littoral.

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Ce parcours offre de spectaculaires vues sur la mer et la côte déchiquetée.

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De superbe baies tout le long de l’itinéraire.

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Après 4,2 km d’effectués (altitude: 60m), suivre le balisage du GR121 montant à Jaizkibel. Il est possible pour les marcheurs de continuer 300m et de remonter ensuite vers le Mont Jaizkibel.

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Le parcours que nous avons fait décrit sur ce topo, ne fait que descendre et monter, il vous faudra compter entre 1300 et 1400m de dénivelé en cumulé pour une longueur de 23 km.  Autant vous dire que ce n’est pas rien et que vous risquez d’avoir mal aux jambes le soir, mais quel bonheur de parcourir ce sentier du littoral.

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Une stèle Basque.

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Sentier jusqu’ici balisé en rouge et blanc.

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L’océan Atlantique.

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Randonnée faite avec Jean-Claude.

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Beaucoup de photos sur ce topo mais c’est tellement beau !

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Les photos qui suivent auront très peu de commentaires, les belles images suffisent à elles-mêmes !

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Superbes contrastes entre la couleur de la roche, la verdure et le bleu de l’océan.

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Une multitude de criques et de pointes tout au long de cette randonnée.

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Magnifique !

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Un très joli cairn.

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Il est possible comme nous l’avons fait de descendre au niveau de la mer pour éviter de remonter,

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mais je vous le déconseille, la roche est très glissante et un accident est vite arrivé ! ! !

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Une nouvelle crique.

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Avec toutes ces montées et descentes incessantes,

pas étonnant que mon Gps en fin de randonnée affichera +1400m de dénivelé.

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Un passage avec main courante.

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La pointe Biosnar où nous irons faire un petite tour sans aller trop loin.

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Les cargos au loin attendent le feu vert pour rentrer dans le port de Pasaïa.

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Une splendeur !

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Ici, l’érosion a fait son travail.

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Jean-Claude et moi,

continuons ce magnifique sentier avec des étoiles plein les yeux tellement c’est beau !

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Après environ 2h30 de marche, la végétation commence à devenir plus dense.

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Un groupe de français.

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Après 2h40 de marche nous rentrons dans un sous bois qui va durer 8 petites minutes.

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Un Orvet.

L’orvet est long de plus ou moins 50 cm, le corps recouvert d’écailles toutes semblables et imbriquées. Sa couleur est argentée lorsqu’il est juvénile, la colonne vertébrale noire. Dessous, et sur les côtés, noirâtre. Au stade adulte, une coloration brunâtre apparait. La femelle, est sur les côtés brun foncé et sur la partie inférieure gris-noir. Le ventre du mâle, quant à lui, est brun clair. La queue atteint approximativement 30 cm et se casse facilement lorsqu’on essaie s’attraper l’animal, ainsi on comprend mieux pourquoi l’orvet est aussi appeler « serpent de verre ». Fréquentant les lieux humides, sa nourriture est composée de limaces, vers, chenilles, mollusques et insectes divers. Il est inoffensif.

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Jean-Claude se demande bien par où passe le sentier

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qui nous permettra de nous hisser en haut de cette falaise ?

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Comme je le mentionnais en début de topo, il est préférable d’avoir une trace Gps pour ne pas trop galérer !

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Nous traversons le ruisseau d’Erentzingo Erreka.

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Puis remontons en direction de la mer.

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Une corde pour nous aider à franchir ce petit passage.

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Nous reprenons de la hauteur.

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Derrière nous.

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Attention à ce passage, un pas à droite et c’est la catastrophe !

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Des chèvres.

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A nouveau des chèvres.

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MA-GNI-FI-QUE !!

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L’Erosion est un architecte extraordinaire !

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L’océan.

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Incroyable ce que Dame Nature nous offre durant cette randonnée.

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Coucou Jean-Claude.

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Une éponge.

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Des goélands.

Les goélands envahissent l’espace et sont de véritables prédateurs pour les mouettes qui se raréfient.

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3h30 de marche et le chemin est encore long (encore 5h à 5h30).

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Quels superlatifs choisir pour exprimer cette beauté ?

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Un Cargo.

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On voit bien ici, que le sentier est beaucoup moins fréquenté que dans sa première partie.

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Il est 12h10, c’est le moment que nous choisissons pour casser la croûte.

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Avouez qu’il y a pire comme endroit pour manger !

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La partie qui suit est un peu délicate à cause de la végétation.

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Entrée du port de Pasaïa.

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Ici la végétation est plus que dense et heureusement que nous avons nos Gps pour nous guider.

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Il faut franchir cette barre rocheuse qui nous barre la route devant nous.

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Le sentier est complètement masqué par la végétation et malgré nos Gps nous galérons un peu pour trouver le bon itinéraire. Vous pouvez passer à 2m et ne pas voir le sentier, merci monsieur le Gps !

Plusieurs marches dans la pierre pour se hisser en haut de la barre rocheuse sans difficultés.

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Derrière nous . . . . .

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Oui, l’itinéraire monte par là !

Mais je vous rassure, c’est facile avec les marches dans les pierres et les mains courantes.

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Ici, une corde pour vous aider à passer à l’étage supérieur.

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Quelques marches dans la pierre pour ce passage.

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On aperçoit à peine le sentier masqué par les fougères.

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La partie qui suit est pour moi la plus belle de cette randonnée.

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Magnifique !

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Jean-Claude.

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Mariano.

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Superbe !

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Nous longeons à nouveau le littoral.

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Après 5h de marche, Pasaïa est encore à 4h de marche ! ! !

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Faites attention ici, de ne pas tomber dans la faille ! ! !

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Après avoir longé le littoral au plus près de la mer pendant quelques minutes, le balisage nous fait remonter une fois de plus.

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Et c’est reparti pour une nouvelle remontée bien soutenue !

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L’itinéraire nous fait redescendre cette fois-ci vers une cabane au bord du littoral.

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Cabane apparemment occupée mais personne à l’intérieur. C’est le seul point d’eau que vous trouverez sur ce long itinéraire de 23km, n’hésitez pas à remplir vos bouteilles !

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Petite désescalade que l’on peut contourner par la droite.

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Une nouvelle cabane fermée et sans point d’eau.

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Le sentier après la cabane fait suite à une piste carrossable.

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C’est pas l’envie qui nous manquait

pour faire un petit plongeon, mais la randonnée est déjà assez longue comme ça !

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Passage clé entre le niveau Montagnards et Randonneurs.

Pour gagner +200m de dénivelé et environ 15 à 30 minutes, suivre la piste qui monte à gauche.

Pour les autres qui ont encore des forces (Niv: Montagnard), descendre la piste de droite.

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Piste qui descend vers la mer.

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Une nouvelle cabane fermée avec le passage sur la dalle lisse.

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Une jeune espagnole fait l’itinéraire comme nous.

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Jean-Claude sur la dalle lisse.

Pas de difficulté si ce n’est de rester vigilant pour ne pas faire de faux pas !

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Le paysage lui est toujours aussi beau !

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Une énième montée !

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Derrière nous . . . .

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Une croix basque.

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ça monte bien !

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Derrière nous au loin, les antennes de Jaizkibel.

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La petite espagnole qui nous suivait jette l’éponge et préfère remonter pour retrouver le GR121.

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Quand à nous une nouvelle descente nous attend.

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Une stèle Basque.

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L’avant dernière montée de cette randonnée, et celle-ci elle monte bien,

surtout après plus de 7h de marche !

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Heureusement que la beauté du paysage nous fait oublier la fatigue.

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Il reste encore l’ultime descente et forcément la remontée,  qui elle fait de plus en plus mal aux jambes !

(environ 120m de dénivelé) mais comme la petite espagnole, je jette l’éponge !

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Nous essayons de garder la courbe de niveau pour ne pas trop remonter.

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Nous traversons le ruisseau d’Inalurreta Erreka,

puis nous remontons vers le Sud-Ouest pour rejoindre la crête finale.

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Début de la crête qui va nous mener au port de Pasaïa.

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Derrière nous une partie du long chemin que nous venons d’accomplir.

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Aucune difficulté par beau temps pour cette crête équipée de mains courantes.

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L’entrée du Port de Pasaïa.

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Pasaïa.

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L’entrée du port.

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Nous prenons la navette pour passer de l’autre côté.

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0,70 euros pour la traversée.

Voilà une très belle randonnée d’effectuée avec encore des étoiles plein les yeux ! ! !

Pour le retour, plusieurs solutions:

1. Revenir à Fontarrabie par le train (el Topo)
2. Trouver un hébergement sur Pasaïa et continuer el camino del Norte le lendemain (voir le topo Ici)
3. Utiliser deux voitures
4. Nuitée dans un Gîte-bateau (voilier) et repartir le lendemain pour une nouvelle randonnée vers Saint-Sébastien (Voir ci-dessous le lien)

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Les Sentiers de la Mer

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