Le Petit Gabizos (2639m)

Le petit Gabizos (2639m) par la voie normale depuis le cirque de Litor

  • Déniv: +1280m – (3h30+2h30)= 6h00 – 7 km Niv: Grimpeur
  • Date: le 06.09.2021 – Vallée d’Ossau – Départ: D918 (1365m) col de Soulor (Hautes-Pyrénées)

Le Petit Gabizos est à cheval sur les départements de la Vallée d’Ossau (Pyrénées-Atlantiques) et du Val d’Azun (Hautes-Pyrénées). Ce petit sommet se voit de partout à cause de son profil très élancé, beaucoup moins haut que son grand frère le Grand Gabizos (2692m), il est loin d’être un petit sommet comme son nom l’indique, il est à classer parmi les géants des Pyrénées et surtout pas à la portée du simple montagnard. J’ai hésité à le classer entre le niveau Montagnard et le niveau Grimpeur, après réflexion je pense que cette course qui n’est pas spécialement difficile pour un montagnard qui sait poser les mains, peut-être très difficile et même très dangereuse si vous n’êtes pas sur le bon itinéraire. Ce petit massif a déjà fait des victimes, alors soyez prudents et ne partez pas faire cette course sans avoir le niveau requis (Grimpeur) et sans avoir pris connaissance des recommandations du topo.

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Les difficultés

  • Cotation globale: Pd- Engament: II Niv escalade: II+ et un pas de III sur un court passage au niveau de la grosse fissure.
  • La corde n’est pas utile sauf si vous voulez assurer quelqu’un sur les dalles (20m de corde avec 2 à 3 coinceurs/friends), par contre le casque est vivement conseillé à cause des pierres pouvant descendre à tout moment du sommet.
  • L’itinéraire est évident jusqu’au départ du couloir 200m sous le col du Pourtet, la suite l’est beaucoup moins si vous ne connaissez pas !
  • Pour la montée à la brèche Édouard, surtout prendre le bon couloir vers 2355m, ce qui évite de remonter toute la vire dangereuse surtout au retour où tout se ressemble.
  • La suite après la brèche Édouard, consiste à remonter à flanc des dalles fissurées sur du bon rocher (Niv: II+) voir un passage de niveau III au niveau de la grosse fissure.
  • A partir de la brèche Édouard, concentration au maximum, l’erreur est interdite !
  • A ne faire uniquement par temps sec, surtout au niveau des dalles lisses du final !
  • Attention pour le retour: 80m après avoir descendu le début de la vire depuis la brèche Édouard vers 2450m, quitter la vire en prenant à droite (Sud-Ouest) pour revenir par le même itinéraire qu’à la montée. Ne pas suivre la vire sur un sentier bien marqué qui vous incite à continuer en descendant le long de la paroi rocheuse du petit Gabizos jusqu’à une cheminée étroite et encaissée sur un terrain vraiment instable (gravillons) soyez très prudent si vous descendez par cette cheminée. Nous concernant, nous avons suivi à gauche de cette cheminée en espérant éviter la barre rocheuse, mais le terrain est encore plus pourri, instable et très pentu, revenir en arrière c’est plus prudent, voir les photos qui parlent elles-mêmes !

   

  • Cet itinéraire, est réservé à ceux qui ont le niveau grimpeurs ou Montagnards expérimentés, sans être très difficile, il emprunte des portions hors sentier dans un terrain instable ou l’erreur est interdite.
  • Toute personne désirant faire cette course, doit avoir les compétences techniques indispensables pour pratiquer l’activité concernée.  La trace Gps a été faite sur le terrain et vérifiée par moi-même. Malgré ces vérifications et contrôles effectués, ne pas leur accorder une trop grande précision (à prendre à titre indicatif). Je ne pourrai être tenu responsable des risques d’accidents encourus par les lecteurs utilisant les traces gps et décline toute responsabilité dans l’hypothèse d’un accident sur les Topos et Itinéraires suggérés dans ce site web.
  • La trace Gps de ce topo est celle de l’aller/retour, c’est l’itinéraire le plus directe et le moins dangereux (j’ai volontairement retiré la trace de notre retour par la vire, beaucoup trop dangereux sur la fin)
  •  Voir les niveaux de difficultés

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La suite du Topo . . . . . . . . . .

Départ depuis la route départementale 918 au virage altitude 1365m (à 2,5km du col de Soulor) Emplacement de 4 à 6 voitures maxi (Départ à 7h00), suivre la route qui mène au col de l’Aubisque sur 250m, puis prendre le sentier qui monte dans la forêt du Cirque de Litor au niveau du cairn (1375m).

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Randonnée faite avec Jean-Jacques.

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Après une montée dans la forêt bien soutenue, l’itinéraire continue à grimper fortement vers le Sud-S.E

avec une vue sur l’objectif du jour: le Petit Gabizos (2639m).

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Le tout sur un sentier bien marqué, où vous pourrez réguler vos efforts à votre rythme.

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Lever de soleil sur la Petite Pène Médaa.

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Vers 1950m, quitter l’itinéraire qui va à la cabane de Larue (1980m)

et s’orienter à gauche pour grimper la pente en direction du col du Pourtet (Sud-Est).

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La vue sur la cabane de Larue (1980m).

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Avec les brebis qui ont quitté l’enclos pour les estives.

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La pente est raide mais elle se digère assez bien en restant sur la partie herbeuse.

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A 200m de distance du col du Pourtet (2476m), vers 2355m d’altitude,

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S’orienter vers la gauche (Est) en cherchant le couloir qui débouche à 80m de la brèche. Ce qui vous évitera de monter par une cheminée encaissée sur un terrain un peu pourri, cheminée qui débouche au début de la vire.

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Il est évident pour ceux qui savent lire le terrain mais pas pour les néophytes.

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Sur cette photo prise au retour du col du Pourtet, on voit bien que le couloir de la voie normale ne pose pas de problème, par contre la montée par la cheminée est un peu plus chiante (II+) et surtout très dangereuse au retour dans un terrain instable ou la glissade est interdite.

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La montée ne pose aucun problème jusqu’à la jonction de la vire.

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Il y a quelques cairns depuis le début de ce large couloir qui rejoint la vire non loin de la brèche.

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L’arrivée sur la sente de la vire qui monte à la brèche vers 2450m.

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A seulement 80m de distance de la brèche Édouard.

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Quelques minutes suffisent pour atteindre la brèche.

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L’arrivée à la Brèche Édouard (2522m) compter 3h00 de montée depuis le départ.

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La vue plongeant sur la vallée du Val d’Azun.

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Depuis la brèche, contourner l’éperon par la gauche.

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A partir d’ici,  l’erreur est interdite, restez vigilants !

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Nous sommes montés par la gauche et par le fil de l’éperon à la descente.

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La vue sur notre droite.

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Même si la montée n’est pas trop difficile pour des grimpeurs ou des Montagnards confirmés, l’erreur est interdite !

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Un passage d’un pas de III, pas très difficile.

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Mariano sur la dalle.

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Après les dalles lisses,

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redescendre de quelques mètres,

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puis terminer l’ascension sans difficulté.

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Vers l’Ossau juste avant le sommet.

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Vous comprenez pourquoi il faut porter un casque impérativement ! ! !

Ce sommet possède une multitude de cailloux plus ou moins gros qui ne demandent qu’à partir 100m plus bas ! ! !

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Jean-Jacques et Mariano au sommet du Petit Gabizos (2639m).

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Panorama immense à 360° (Cliquer sur le panorama annoté pour visualiser les sommets)

3h30 depuis le départ dont 30 minutes depuis la brèche Édouard.

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4 photos extraites du panorama annoté.

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Mariano au Petit Gabizos (2639m).

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Jean-Jacques au Petit Gabizos (2639m).

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La vue au loin sur la ville de Pau.

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Des cailloux et même des gros rochers ne tiennent que par miracle sur ce massif.

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Pour cette raison, il est impératif de porter un casque à la montée pour votre sécurité.

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Zoom sur le massif du Vignemale (3298m).

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Le Balaïtous (3144m).

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Le Pic du Midi d’Ossau (2884m).

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Après être restés 30 minutes au sommet, retour par le même itinéraire que la montée.

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La vue plongeante sur le col du Soulor.

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Pour la descente nous sommes descendus par la gauche,

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à proximité de l’arête contrairement à la montée.

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Après avoir fait les 2 itinéraires,

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il est plus facile de redescendre par la grosse fissure comme à la montée.

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En effet sur les dalles lisses, il faut bien choisir sa trajectoire de descente et pas faire n’importe quoi !

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En prenant votre temps, ça passe bien mais il faut impérativement que le rocher soit sec !

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Pour les prises le rocher est bon, ce qui est une bonne chose à savoir.

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Jean-Jacques.

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Les dernières prises.

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Nous croisons José, un montagnard qui grimpe au sommet.

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Quelques photos de sa montée.

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Attention de bien contourner l’éperon à sa base pour la brèche Édouard, sinon vous risquez de faire comme nous,

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 de vous retrouvez 80m plus loin au niveau de la brèche de Las Touergnes,

même si je pense qu’il est possible de rejoindre le couloir par la gauche, il est préférable de revenir en arrière.

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et de grimper à la brèche Édouard en 3 petites minutes.

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La brèche Édouard (2522m) 30 minutes depuis le sommet.

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José n’est plus qu’à quelques mètres du sommet.

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Pour le retour depuis la brèche Édouard (2522m).

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Après 80m de descente dans la vire,

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vers 2450m prendre à droite et descendre par le couloir de montée (Sud-S.O).

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Aucune difficulté pour descendre par ce couloir.

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Voulant aller manger au col du Pourtet, nous décidons de continuer sur la vire.

Le sentier bien marqué, nous incite à continuer . . . . 

Pourtant, je vous recommande de ne pas continuer, c’est beaucoup trop dangereux !

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J’ai voulu vous faire partager les photos pour que vous vous rendiez compte du danger.

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Quelques pas de désescalade niv: II sans difficulté.

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La vue derrière nous sur la vire jusqu’à la brèche Édourd.

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A la fin de la vire, se présente un couloir assez encaissé qui descend dans le pierrier, descendre cette cheminée avec beaucoup de prudence (terrain un peu pourri). Nous concernant, nous avons continué à gauche au niveau de la croix en direction du col du Pourtet en espérant franchir la barre rocheuse sans trop de difficulté.

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Nous avons trouvé un couloir certes mais encore plus pentu et plus pourri que la cheminée !

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Nous sommes descendus prudemment sans prendre de risque.

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Mais sur ce terrain instable, pentu avec des gravillons sous nos pieds,

c’est prendre des risques inutilement, laisser ce terrain pour les isards, c’est beaucoup mieux !

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Voilà, nous sommes arrivés sur la terre ferme mais franchement,

je vous déconseille de faire comme nous, revenez sagement et sans difficulté par le couloir de montée.

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Il ne nous reste plus qu’à monter au col pour casser la croûte (10 minutes).

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Difficile de projeter les itinéraires sur ce genre de terrain où tout se confond. Une chose est sûre, si vous restez sur toute la longueur de la vire, vous serez dans un terrain merdique surtout à la descente et avec le risque de recevoir des pierres voir des blocs depuis le sommet, donc n’hésitez pas, faites l’aller/retour par la voie normale.

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L’arrivée au col du Pourtet (2476m).

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Nous nous éloignons de la paroi du Petit Gabizos pour ne pas recevoir des pierres,

José est encore en haut du sommet et une pierre ou un rocher peut partir à tout moment !

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La vue vers le Nord-Ouest depuis le col.

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Après un bon casse-croûte au col du Pourtet, retour par le pierrier.

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Nous passons juste au niveau du couloir que nous avons emprunté ce matin pour la montée presque directe à la brèche. D’ici, l’itinéraire est évident, il l’est beaucoup moins lorsque vous êtes devant à quelques dizaines de mètres du couloir.

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Pour le retour à la voiture, compter 2h00 depuis le col du Pourtet ou 2h30 depuis le Pic.

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Depuis le temps que je voulais faire ce sommet, c’est fait et bien fait !

Merci à Jean-Jacques d’avoir accepté de m’accompagner pour l’ascension de ce très beau sommet des Pyrénées.

16 réponses
  1. Lionel dit :

    Bonjour Mariano
    Merci pour votre topo qui m’a aidé à bien préparer cette sortie effectuée le Dimanche 8 octobre 2023 avec ma fille Eloïse.
    Superbes conditions Estivales en ce début d’Automne ! La course est magnifique et la partie terminale un peu plus aérienne se fait du bon rocher.
    Je confirme le fait qu’il serait extrêmement délicat d’effectuer cette course avec du rocher ou de l’herbe humide.
    La partie allant du pierrier (200m sous le col du Pourtet) à la brèche Edouard, sans être difficile, est délicate et presque plus à la descente qu’à la montée (de nombreux cailloux ou rochers peuvent partir sous les semelles alors qu’on ne s’y attend pas) et demande aussi une bonne concentration. Nous étions contents de n’être qu’une seule cordée en montant … et aussi en descendant (même si une personne nous a rejoint dans la descente mais a pris l’itinéraire de la vire en rouge pour ne pas nous envoyer de pierres sur nos casque).
    Grand merci à vous pour votre site et bonne continuation.

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  2. Véronique dit :

    Sortie faite jeudi dernier , mis a part la contrainte de faire l’approche dans les éboulis pour contourner les Brebis et donc les Patous qui avaient élu domicile dans les parties herbeuses RAS , très beau site , vos photos le confirme . Par contre une info qui peut servir , en cas de problème sur les parties exposées le portable ne passe pas sur tout ce versant y compris sur la route qui ramène au col du Soulor donc le mieux c’est de remonter à la brèche Edouard pour avoir du réseau et être en sécurité. Merci Mariano pour le soin que vous portez à vos descriptif et bravo pour votre site .

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  3. Pourrut dit :

    Bonjour Mariano. Merci pour ce superbe topo. Sortie effectuée hier. Le début du couloir n’est pas très bien marquée (tout petit cairn que nous avons essayé de grossir) la suite est très bien cairnée jusqu’à la vire. La remontée vers le col du Pourtet est aussi désagréable qu’annoncée 😂. Nous avons poursuivi notre balade par la crête des taillades Blanques. Encore un autre topo au top

    Répondre
  4. Mathieu dit :

    Bonjour Mariano,

    Une précision sur l’erreur de parcours que vous avez réalisée à la descente (reportée dans votre topo) et qui vous a conduit dans la mauvaise posture que vous relatez: le chemin évident (bien marqué et bien cairné) situé sur la vire et que vous ne recommandez pas est cependant le bon chemin qu’il faut suivre sur ce passage (à la descente comme à la montée). Il tourne simplement (à droite dans le sens de la descente), quittant ainsi la vire juste avant l’abord de la cheminée pourrie dans laquelle vous vous êtes engagées. Le virage, tout comme la suite du cheminement, s’effectuant alors sur la petite « crête » facile séparant le couloir de la cheminée. Ils sont clairement indiqués par plusieurs cairns, et conduisent alors très simplement à la base du couloir d’éboulis que vous avez emprunter. C’est bien le chemin d’accès à la brèche Édouard par ce versant et il permet d’éviter astucieusement cette zone inconfortable (couloir et cheminée) qui constitue par ailleurs le réceptacle des nombreuses chutes de pierre, principal danger de cette magnifique sortie. J’en profite pour vous remercier pour votre super site.

    Répondre
    • Mariano dit :

      Merci Mathieu,
      Ce n’était pas une erreur, nous voulions voir si on pouvait rejoindre directement le col sans difficulté et effectivement ça passe mais en restant très prudents.
      Après, tu as raison Mathieu, j’ai volontairement laissé cet itinéraire dangereux avec les photos pour que les gens se rendent compte de la dangerosité de descendre par ce côté pour rejoindre le col qui n’a pas vraiment trop d’intérêt, sauf si vous voulez enchaîner la crête pour rejoindre le Grand Gabizos et dans ce cas là, il est quand même préférable de redescendre par où nous sommes montés, c’est beaucoup plus prudent.
      Ensuite, je ne sais pas qu’elle est vraiment sur le terrain, le bon itinéraire de la voie normale, ce que je sais, c’est que par où nous sommes montés, il n’y a aucune difficulté à la montée comme à la descente et il est impossible de se tromper avec cette photo : Voir Ici.
      Bonne journée Mathieu

      Répondre
  5. Ballet dit :

    Merci pour les bons conseils (à faire et à ne pas faire)
    Effectivement le Petit Gabizos a une sinistre réputation (chute de rochers)
    Maintenant (cf. Photos) ça serait bien de ranger ces foutus bâtons dans des zones exposées où les deux mains sont bien utiles !
    Amicalement

    Répondre
  6. PIERRE LE PUIL dit :

    Bonjour Mariano,
    Que dire de cette magnifique sortie faite hier sous un soleil magnifique ,aucun nuage .Merci d’avoir mis ce topo en ligne car je ne savais pas pas quel bout m’ attaquer à cette superbe pointe qu’ est le Petit Gabizos.
    L ‘escalade sur les dalles est un vrai plaisir si on aime mettre les mains sur le rocher ,autant à la montée qu’ à la descente. Tu as raison cela passe très bien ,il faut par contre être très attentionné, et se dire que l’ on reviendra peut être avec 2 ou 3 entailles sur les doigts car le rocher n’ est pas toujours de bonne qualité et un peu tranchant.
    Pour celui qui veut mettre en place quelques rappels pour la descente des dalles (ce qui n’est forcément nécessaire car il y a des prises un peu partout),il existe de nombreux becquets pour poser une sangle.
    Merci encore,en attendant les prochains topos de ce niveau ,c’était vraiment un moment de plaisir.
    Cordialement.
    Pierre

    Répondre
  7. lili dit :

    Mariano,
    de l’escalade très peu pour moi tu me connais !!!!!
    Très belle montée .
    Très jolis clichés démontrant bien la difficulté.
    Merci Mariano du partage.

    Répondre
  8. Jérôme dit :

    On a toujours envie de surenchérir dans les superlatifs pour exprimer notre gratitude pour le partage de si belles images et de conseils si précieux.
    Même si une sortie n’est pas à notre portée, on sait que ce sera utile à quelqu’un, qui reviendra serein et qui pourra à son tour partager sa propre expérience au hasard de ses rencontres sur les sentiers.
    Merci Mariano et finalement merci tout le monde 😉.

    Répondre
  9. francis dit :

    Bonjour Mariano
    Bravo è tous les deux pour avoir gravit le Gabizos sommet emblématique
    de la plaine de Nay. Un pic difficile ou malheureusement beaucoup de montagnards
    s’y sont cassés les dents! Comme tu le dit la prudence et le niveau sont de mise.
    Merci pour ces belles photos, quel spectacle!
    Amitiés. Francis.

    Répondre
  10. Jean-Jacques CREQUIGNE dit :

    J’ai été ravi de partager cette sortie avec toi. Certes , c’était engagé par
    endroits , mais à deux , nous avons pu gérer sans nous mettre en danger,
    en échangeant nos impressions face au terrain.
    Superbes photos et tracés des points-clés, comme d’habitude !
    A bientôt pour de nouvelles aventures.
    Amitiés Jean-Jacques

    Répondre
  11. José Martins dit :

    Bonjour Mariano,
    Je suis très heureux d’avoir fait votre connaissance, je suis vos randos avec beaucoup d’admiration pour le travail remarquable sur vos topos.
    Merci pour les photos, je me suis permis de les télécharger, j’espère que vous n’y voyez pas d’inconvénients.
    Salutations sportives et à la revoyure sur un autre sommet Pyrénéen
    José

    Répondre
  12. Serge dit :

    Bonjour Mariano
    Bravo à toi et à Jean-Jacques, belle course un peu engagée par moments, mais vous avez bien maîtrisé ! je regarderai à nouveau dès mon retour !
    Amitiés à vous deux

    Répondre
  13. Pierre Noulibos dit :

    Bonjour Mariano !!!
    Course engagée sans trop de difficultés mais toujours avec prudence car la montagne est belle à condition de pouvoir y revenir !!! Merci pour ce partage.avec nombre de détails.
    Amicalement
    Pierre

    Répondre
  14. domy dit :

    Très belle sortie,mais assez exposée c’est vrai,il y a eu des morts vers les années 2000 et aussi des blessés après,mais cette rando est vraiment jolie je n’y retournerai pas trop vieux maintenant en plus je suis toujours en solo ou avec Mr Narco mon chien.Bravo Mariano,il me semble que tu es de plus en plus affûté d’après les photos,continue à nous enchanter.

    Répondre

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