Randonnée Soum Blanc de Sécugnat 2577m

Randonnée faite avec les APNP encadrants Marie-Joe et Jean-Paul.

Départ depuis le petit parking à droite après le pont du gave d’Aspé 1540m (plateau de Saugué), vous pouvez aussi vous garer au virage suivant vers 1570m (250m après le pont) mais attention il y a beaucoup moins de place pour se garer.

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Après avoir marché 250m sur le bitume, au virage (1570m), prendre la piste menant à la grange.

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À la grange, monter légèrement à gauche en coupant le sentier du GR10, puis s’orienter Ouest-S.O

en suivant le gave d’Aspé légèrement au-dessus du vallon rive droite.

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Le sentier jusqu’ici était bien marqué, mais s’efface pendant une centaine de mètres.

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Jean-Paul comme moi, avons notre GPS en main avec la bonne trace de l’itinéraire,

indispensable si vous ne connaissez pas le terrain de cette randonnée  ! ! !

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Nous retrouvons le sentier longeant le gave d’Aspé.

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Point clé:

En face du ruisseau d’Esplumous se jetant dans le gave d’Aspé, nous arrivons à un parc à bestiaux (1760m).

Attention: le sentier descend à droite vers le gave, il est possible de passer par là et de récupérer la cheminée qui rejoint l’itinéraire normal, attention cette cheminée a un degré de difficulté Niv III+,  si cette escalade peut se faire dans le sens de la montée, il est indispensable de s’encorder à la descente, mais pour rester raisonnable et ne pas prendre de risque, vers 1760m passer l’enclos à bestiaux et grimper en direction du Sud-Ouest en direction du sommet que l’on voit au loin.

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À partir de l’enclos, plus de sentier.

il faut grimper en direction du Sud-Ouest en visant un gros rocher (1860m)

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Rocher, altitude 1860m.

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Depuis le gros rocher, nous continuons notre progression cette fois-ci en direction de l’Ouest-S.O

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Vue sur le vallon d’Aspé.

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Il est difficile sur les photos de vous indiquer exactement la direction à prendre,

il y a, à chaque fois comme des petits balcons qui nous empêchent de voir l’itinéraire jusqu’au sommet.

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C’est pour cette raison,

qu’il est préférable de faire cette randonnée avec quelqu’un l’ayant déjà faite ou d’avoir la trace GPS.

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L’accès est cependant facile lorsqu’on connaît la randonnée, si ce n’est ici où il faut faire attention

de ne pas glisser avec ces petits cailloux sous vos semelles.

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De temps en temps nous rencontrons un cairn pour nous rappeler que nous sommes bien sur l’itinéraire.

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Un aigle royal !

L’aigle royal est le roi des rapaces diurnes, l’appellation aigle doré lui vient de la couleur des plumes qui lui couvrent la nuque et l’occiput. Ses serres puissantes, ses ongles acérés lui permettent à la fois de se percher et de chasser des proies qu’il dépèce de son bec crochu. Ses ailes larges, arrondies et une envergure de plus de 2 mètres, font de lui un des plus grands rapaces du monde. Le plumage sombre uniforme avec des taches blanches aux ailes et à la base de la queue est semblable aux deux sexes.

Son acuité visuelle, 8 fois supérieure à celle de l’homme, lui permet de repérer ses proies très haut dans le ciel

En captivité, certains aigles ont vécu jusqu’à l’âge de 45 ans.

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Depuis le temps que j’attendais ça . . . photographier un aigle royal en plein vol !

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La lumière d’aujourd’hui avec cette brume de chaleur n’est pas top, d’ailleurs les photos de cette randonnée sont dans l’ensemble toutes ternes et sans couleurs, mais la rencontre avec cet aigle royal va compenser largement ma déception.

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Le massif du Vignemale avec au premier plan le pic de Tapou (3150m)

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Altitude 2260m (2h10 depuis le départ) À partir d’ici, au cairn blanc,  l’itinéraire devient évident, il faut grimper en longeant cette crête pour atteindre un petit col sans nom à la base du sommet.

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Malgré la brume de chaleur,

nous arrivons à bien distinguer le pic Long 3192m et le pic Néouvielle 3091m.

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Panorama du Vignemale 3298m au Malh Arrouy 2965m.

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Nous continuons notre progression cette fois-ci plein Sud jusqu’au col.

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La pente se raidit de plus en plus à l’approche du col.

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Le massif du Vignemale et son glacier d’Ossoue.

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Quand je vous disais que la pente était raide !

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Le sommet est là-bas.

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Jean-Luc et Jean-Claude posant un gros cairn.

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Géranium à feuilles cendrées (Geranium cinireum).

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Le col n’est plus très loin.

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Si vous avez les jambes lourdes à l’approche du col, c’est normal.

Cela monte sec ! ! !

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À quelques pas du col.

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Le cirque de Gavarnie.

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Et tous les sommets à plus de 3000m des Astazou au Gabiétou.

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Depuis le col, suivre la crête sommitale jusqu’au sommet.

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Fernand un peu à la peine juste avant d’arriver au sommet, je vous rassure, il n’est pas le seul, 3h depuis le départ sans trop s’arrêter avec une pente forte, nous sommes tous contents d’être enfin arrivés.

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Daniel, Fernand et Mariano

Marie-Joe, Jean-Paul, Françoise, Anne-Marie, Jean-Luc et Jean-Claude.

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3h de montée pour +1100m de dénivelé en 5km.

Compter 3h30 pour accéder au Soum Blanc de Sécugnat 2577m.

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Panorama depuis le sommet

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Depuis le sommet, il est intéressant d’aller faire un tour au bout de la crête pour y voir

la vue plongeante sur le barrage d’Ossoue.

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La piste menant au barrage d’Ossoue.

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Il y a du gaz ! ! !

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Extrémité de la crête où il faut faire attention de ne pas trop s’approcher du vide (800m !)

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Barrage d’Ossoue 1860m.

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Le glacier d’Ossoue.

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Gavarnie.

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La brèche de Roland 2807m.

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Nous repartons au sommet du Soum Blanc de Sécugnat qui n’est qu’à 100m.

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Soum Blanc de Sécugnat 2577m.

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Gavarnie avec le pic Lary 2397m au premier plan.

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Le village de Gavarnie.

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Le Cestrède 2947m à gauche avec le pic d’Ardiden 2988m à sa droite au fond.

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Le Cestrède 2947m

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800m plus bas au niveau de la piste menant au barrage d’Ossoue.

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Le glacier d’Ossoue ou du moins ce qu’il en reste ! ! !

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Le Soum Blanc de Sécugnat est un très beau belvédère,

dommage qu’aujourd’hui les brumes de chaleur nous gâchent un peu le paysage.

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Pour le casse-coûte, nous redescendons au col pour nous abriter un peu du vent.

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Pour le retour, revenir par le même itinéraire.

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Un vautour.

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Passages délicats où il faut rester vigilants pour ne pas glisser.

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On peut se rendre compte de la pente qui est plus que raide !

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De temps en temps nous retrouvons un semblant de sentier, mais très vite il disparaît avec les cailloux et la végétation.  

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Le passage où il faut s’aider un peu des mains.

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Jean-Paul, Jean-Claude, Fernand et Marie-Joe.

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Le gros rocher de ce matin.

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L’enclos.

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Petite pause de 20min,  le temps d’aller chercher de l’eau potable coulant du ruisseau d’Esplumous.

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Nous retrouvons le sentier longeant la vallée d’Aspé.

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Retour à la voiture, nous avons mis 2h15 depuis le sommet.