Randonnée Sommet de l’Autza 1306m retour par la crête d’Olhateko Kaskoa

L’Autza (1306m) depuis le col d’Espégui retour par la crête d’Olhateko Kaskoa

  • Dénivelé +850m – 5h30 – 9,6 km – Niveau: Randonneur
  • Date: le 31.12.2012 – Pays Basque – Départ: col d’Ispégui 672m

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Difficultés: Aucune difficulté en l’absence de neige et par beau temps.

La suite du Topo . . . . . . . . . .

Col d’Ispégui 672m et non 690m comme l’indique le panneau.

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Depuis le parking, s’orienter vers le Sud-Est pour prendre le sentier inférieur au niveau du panneaux.

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Le retour se fera par le sentier du haut.

Le panneau indique une croix pour le sentier du haut, mais pour l’avoir emprunté au retour,

il n y a aucune difficulté (voir la fin du topo).

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Sentier balisé en blanc, rouge et vert.

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Sentier qui traverse une agréable forêt de hêtres.

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Petite ouverture dans le bois pour voir la crête menant au pic de Tuturru et le Buztanzelhay 1029m.

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A la sortie du bois, continuer sur le sentier pour aller au col Nekaitz qui n’est plus très loin.

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40 minutes après le départ et la sortie du bois, vue sur l’objectif de la journée: l’Autza 1306m.

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Col Nekaitz 814m (50mn)

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Jean-Claude et Marie-Joe.

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Après le col de Nekaitz,

nous passons à gauche d’une bergerie en ruine pour se diriger vers le col d’Elhorrieta.

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La Rhune (900m) avec le sommet de l’Alkurruntz au premier plan.

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Avant d’aller au col d’Elhorrieta, nous allons voir les monuments Mégalithiques qui sont à deux pas.

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Nous nous trouvons ici dans un site mégalithique qui, avec ceux d’Ibaineta, Urlegi, Maistrugain, Katillegi et Irumugeta, forment la grande zone érigée durant l’âge du Fer dans le Baztan. Cet ensemble d’Elorta compte une vingtaine de Mairu Hilarriak, ou cercles de pierres, de différentes dimensions et structures, ce qui semble indiquer l’existence déjà à l’époque d’une société hiérarchisée. Au centre de chacun de ces cénotaphes circulaires étaient conservées une partie des cendres d’un défunt, incinéré à part, enfermées dans de petites boîtes faites de petites dalles déposées à même le sol et recouvertes de petites pierres, ou dans de petites urnes d’argiles, très rarement accompagnées d’un trousseau funéraire. Tous similaires, mais sependant tous différents, ils surprennent toujours le voyageur. Le plus grand d’Entre eux, en hauteur et volume, quoique publié comme dolmen, vu l’absence de dalles de la chambre intérieure et la présence des beaux orthostates qui l’entourent, nous fait plutôt penser qu’il s’agit d’un cromlech tumulaire de l’époque. Les cavités que présentent certains d’entre eux témoignent de la profanation dont ils ont fait l’objet.

Il y a au Baztan près de 600 mégalithes (<mega>, grand, et <litos>, pierre), érigés par les premiers groupes humains de producteurs (agriculteurs, éleveurs, mineurs . . .), qui se sont installés dans la vallée, depuis il y a environ 5.000 ans et jusqu’à l’arrivée des Romains. Pour les découvrir, il suffit de parcourir les sentiers balisés (voir symboles). Les plus anciens, grands dolmens et tumulus circulaires (6-12m de diamètre et 0.5-2m de hauteur) ont connu leur plus grand essor durant l’âge du Cuivre et du Bronze. Il s’agit de sépultures d’inhumation collective, orientées vers l’Est, dans lesquelles, aux côtés des restes des défunts, était déposé un abondant trousseau funéraire: armes, ustensiles, ornements en pierre et en métal, ainsi que des récipients en céramique, dans la croyance à l’existence d’une autre vie. Elles se différencient par la présence d’une chambre sépulcrale, formée de grandes dalles posée à plat (dolmens) ou sans dalle verticale (tumulus). Durant la première moitié du dernier millénaire avant Jésus-Christ (Âge de Fer), à l’époque des grandes invasions indo-européennes, le rite de l’incinération s’étend et nos montagnes abondent en cromlechs, cercles de pierre dénommés ici Mairus Hilarriak, cénotaphes qui abritent les centres du défunt et son trousseau. leurs dimensions varient de 2 à 12m de diamètre de certains sont tumulaires. C’est de cette même époque que semblent dater les petites tumuli qui parfois les accompagnent. Plus impressionnants sont les Menhirs, qui accompagnent généralement les mégalithes d’autres époques, symboles du pouvoir économique et militaire, représentations anthropomorphes de grands personnages, signe de domination territoriale. Les mégalithes sont considérés patrimoine culturul et sont protégés par la loi. Leur destruction ou excavation sans autorisation pourra faire l’objet de poursuites pénales.

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Col d’Elhorrieta altitude 831m, coude d’une piste bétonnée. (1h depuis le col d’Espégui)

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Gravir la crête frontière vers le Sud-Ouest en suivant la lisière de la forêt.

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Ça monte bien !

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Après une petite montée un peu raide dans le bois, le sentier redevient beaucoup plus doux.

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Panorama vers le pic d’Orhy.

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Panorama du Gabizos (2692m) au pic d’Orhy 2017m avec au milieu le pic d’Anie (2504m).

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Nous sortons du bois quelques instants avant d’y rentrer à nouveau un peu plus loin.

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Nous rentrons à nouveau dans la forêt.

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Petit col (1105m) à l’Ouest du piton d’Harrigorri (1117m) que nous irons visiter au retour.

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Vue sur les crêtes d’Iparla depuis le petit col.

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Iparla (1044m) et Baygoura (897m).

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Depuis le col suivre une sente vers le Sud-Ouest à flanc Est.

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Panorama derrière nous . . . .

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Nous prenons pied sur la crête herbeuse de l’Autza.

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Il ne reste plus qu’à remonter une croupe facile jusqu’au sommet (Nord-Ouest).

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Panorama vers les sommets du Pays Basque.

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Aucune difficulté si ce n’est le vent violent qui souffle sur la crête.

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100 km/h de vent avec des pointes à plus de 120 km/h.

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L’Autza à quelques pas de nous . . .

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Sommet de l’Autza altitude 1306m (nous avons mis 2h)

Compter 2h30 pour y accéder tranquillement.

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Panorama immense depuis le sommet

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Mariano, Danielle, Jean-Paul, Fernand, Jean-Claude, André et Marie-Joe.

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Ornements Basque au sommet de l’Autza.

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Le drapeau Basque flotte en haut de l’Autza.

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Le sommet de l’Autza offre par temps clair un immense panorama.

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Il est le premier sommet de la région (depuis Hendaye) à dépasser les 1300m.

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Pottoks du Pays Basque ou poneys Shetland ? ? ?

Les Pottoks sont en voie de disparition dans leur milieu naturel en raison de très nombreux croisements dont il a été victime.

En montagne, il est croisé avec des poneys demi lourds issus de chevaux de Trait Breton ou Comtois afin de vendre les poulains plus lourds à la boucherie, avec des poneys de robe pie originaires d’Espagne dont les premiers ont été introduits en montagne à partir des années 1930, puis plus régulièrement dans les années 1950 et massivement dans les années 1970, par l’intermédiaire de poneys Shetland ou Pintos américains ou canadiens.

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Officiellement, avec les éleveurs de l’Association Nationale du Pottok sous la tutelle des Haras Nationaux, le Pottok est croisé avec de multiples races tout en conservant l’appellation Pottok !

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Il ne reste donc plus que quelques Pottok de type originel dont les origines sont contrôlées sur plusieurs générations stables et dont l’élevage authentique Pottok se fait l’ardent défenseur, comme c’est le cas officiellement dans les provinces espagnoles de Biscaye et de Guipúzcoa.

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Panorama depuis le sommet vers les plages Landaises.

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La ville de Biarritz.

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Les sommets enneigés des vallées d’Aspe et Ossau.

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Non loin du sommet (50m) se trouve une petite éminence avec plein de mégalithes.

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Un mégalithe est un monument constitué d’une ou plusieurs pierres de grandes dimensions, érigées (ou levées) par les hommes, sans l’aide de mortier ou de ciment pour fixer la structure. Le nom vient des termes grecs megas (μέγας), grandet lithos (λίθος), pierre.

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Panorama depuis se promontoire.

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Le village d’Elizondo (province de Navarre)

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Panorama vers l’océan distant de 35 km.

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Jean-Paul construit sa mégalithe à lui !

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Nous remontons vers le sommet de l’Autza.

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André avec en toile de fond le pic d’Orhy 2017m.

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Les rafales de vent atteignent les 120 km/h, ce qui rend l’atmosphère un peu frais.

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Panorama vers l’océan et la ville de Biarritz, distante de 40km.

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Panorama de Sain-Jean-de-Luz à Biarritz.

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Point culminant de l’Autza avec ses 1306m.

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Un énorme cratère se trouve au centre de la cime, bien pratique pour se protéger du vent.

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Mégalithes côté Nord-Est.

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Nous sommes restés que 20 minutes au sommet, il faisait vraiment trop froid avec ce vent glacial.

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Le week-end dernier avec les 24° à l’ombre, il faisait bien beau en haut du de l’Atxuria, aujourd’hui la température doit-être de l’ordre de 10°, mais c’est bien connu, avec le vent la température ressentie peut parfois descendre de -10° voir plus, maintenant n’oublions pas que nous sommes le 31 décembre et que c’est l’hiver ! ! !

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Nous faisons la descente à gauche de la crête où nous sommes montés, versant Est.

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Sans danger en l’absence de neige.

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La pente est tout de même pendue ! d’après la photo ça doit-être de l’ordre de 50°.

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Direction le petit col de ce matin.

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Depuis le petit col, nous allons faire une petite visite au sommet de Harrigorri.

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Sommet du Harrigorri (1117m).

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Panorama depuis ce petit promontoire.

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L’Autza 1306m depuis l’Harrigorri.

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Depuis l’Harrigorri, nous reprenons notre chemin par le même itinéraire que ce matin.

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Zoom sur les sommets enneigés.

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Vue derrière nous sur le petit sommet d’Harrigorri que nous venons de faire.

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Sentier balisé en blanc et rouge.

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Col d’Elhorrieta (831m) 40mn depuis le sommet.

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Nous cherchons un endroit à l’abri du vent . . .

Depuis le col d’Elhorrieta nous nous dirigeons vers le col de Nekaitz.

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Arrêt à la cabane en ruine pour le casse-croûte de midi.

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Malgré le soleil et la murette, nous nous sommes pas vraiment réchauffés, le vent souffle toujours !

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Vue sur la Rhune depuis la cabane en ruine.

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Après un arrêt de 35 minutes, nous reprenons notre chemin en direction du col de Nekaitz (814m).

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Variante sympa sans difficulté qui consiste à revenir au col d’Espégui par la crête frontière,

nous laissons sur notre droite le col de Nekaitz (814m) pour monter au col d’Olate (905m) Nord-N.E.

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Nous reprenons de la hauteur jusqu’au col de Olate.

(Marie-Joe, Jean-Claude et André)

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Sentier balisé cette fois-ci en rouge.

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Un troupeau de Pottoks !

Le shetland est une race de cheval britannique et l’un des plus petits équidés du monde.

Il tire son nom d’un groupe d’îles situé au nord de l’Écosse, à la même latitude que le sud du Groenland. Ses origines sont incertaines ; ces poneys doivent cependant exister depuis plusieurs siècles, et peut-être même depuis beaucoup plus longtemps. Les ancêtres du poney Shetland restent encore aujourd’hui assez obscurs mais certains spécialistes pensent qu’il serait un des descendants le plus direct du poney celtique primitif.

Taille comparative d’un cheval et d’un poney Shetland, il mesure entre 80 cm et 107 cm au garrot.)

Le shetland est petit mais extrêmement fort : il est sûrement l’un des équidés les plus forts du monde par rapport à sa taille. Très bien adapté aux caprices climatiques de ces îles nordiques et à la pauvreté de leurs pâturages, il est naturellement résistant: sa petite taille et son épaisse couche de poils lui permettent de limiter la déperdition de chaleur de son corps et donc de résister aux températures les plus extrêmes. Son action est libre et droite. Il lève bien les articulations, faculté qui est le résultat de siècles passés sur des terrains tourmentés, rocheux ou recouverts de bruyères.

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Sentier bien marqué jusqu’au col.

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A l’approche du col.

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Vue sur les cols de Nekaitz et d’Elhorrieta depuis le col d’Olate.

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Col d’Olate (905m)

15 petites minutes depuis le col d’Elhorrieta.

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Depuis le col de Olate, suivre le sentier descendant immédiatement à gauche (Nord-Ouest) pendant 100m, puis virer à droite en direction du Nord-Est.

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Descendre la crête frontière boisée par un sentier bien marqué en direction du Nord-N.E

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Beaucoup de palombières sur notre chemin, même sur un échafaudage !

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Nous sortons du bois après 10mn de marche depuis le col d’Olate.

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Bifurcation des sentiers vers 840m.

Laisser le sentier balisé en blanc et vert qui descend vers le Nord-Ouest et qui rejoint le col d’Espégui à flanc de montagne. Continuer sur la crête d’Olhateko Kaskoa malgré une croix rouge, la même croix que nous avons rencontrée au départ du col d’Espégui.

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Panorama sur la Navarre.

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Suivre la crête.

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Le panorama des deux côté de la crête est superbe !

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Il aurait était dommage de manquer ces points de vues.

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Derrière nous le petit bois que nous venons de descendre depuis le col d’Olate.

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Panorama côté Est avec Saint Jean-Pied-de-Port (au fond de vallée).

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Le pic d’Anie 2504m avec au premier plan les pic d’Oylarandoy (930m) et le Monhoa (1021m).

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Danielle au point culminant de la crête d’Olhateko Kaskoa (862m) Borne frontière Cr-94

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Depuis la borne frontière Cr-94, descendre en suivant la crête jusqu’à cette petite éminence (100m).

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Altitude 837m,

100m après la borne frontière, prendre à droite le sentier descendant dans le bois (Est-N.E)

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Vraiment aucune difficulté,

on se demande encore pourquoi ils ont signalé ce sentier par une croix rouge ?

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Encore une belle vue sur les sommets enneigés:

Le grand-Gabizos (2692m), pic d’Anie (2504m) et pic d’Orhy (2017m).

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Belle vue sur la crête montant au pic de Tuturru (842m) que nous avons faite hier et le pic Buztanzelhay (1029m).

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Le col d’Espégui.

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Vue sur la route D949 menant au col d’Espégui.

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Le col d’Espégui côté espagnol.

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Retour au col d’Espégui (672m).

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Voilà, c’est la 56em randonnée et la dernière pour cette année 2012 ! ! !

Avec 56 randonnées de faites tout au long de cette année, quelques chiffres:

+53 000 m de dénivelé en 350 heures et 750 km parcourus, heureusement que je me suis arrêté 5 semaines pour mon claquage au mollet, si non les chiffres auraient été beaucoup plus élevés !

350h de marches peut paraître beaucoup pour certains, mais ce qu’il faut savoir c’est que ces 350h doivent être multipliées pas 3 pour mettre tout ça en ligne sur le site et vous le faire partager, et oui plus de 1000 heures derrière mon ordinateur ! ! ! Merci à Marinette (mon épouse) pour me laisser vivre ma passion à plein temps !

Pour infos: Marie-Joe faisait sa 101em randonnée aujourd’hui, vous voyez que j’y suis loin !

Retour à Saint-Étienne-de-Baïgorry qui n’est qu’à 10km pour le réveillon de la saint-Sylvestre.

18 réponses
  1. Jérôme dit :

    Chouette petite sortie bien qui doit être plus jolie (et plus respirable) hors période de brûlage pastoral… Le retour par les crêtes est très sympa. Un petit tour à l’Aintziaga de l’autre coté du col d’Izpegi permet d’étoffer un peu la sortie.
    Merci 🙏😉

    Répondre
  2. Flav dit :

    Rando réalisée dimanche en rando trail. Trace enregistrée sur mon GPS et heureusement, temps moyen au départ du d’Ispeguy avec peu de chance d’amélioration mais je suis parvenue au sommet dans la brume, le vent et le crachin juste le temps de prendre une photo (de blanc) et demi tour aussi sec !

    Répondre
  3. J-J dit :

    Je me suis servi de votre site pour organiser ma randonnée ce matin! c’était parfait( j’ai fais la mini-boucle par les crêtes le long de la frontière)!! en plus il a fait un temps magnifique ( après toutes ces semaines de pluies) un vrai bonheur. merci à vous

    Répondre
  4. Lili dit :

    Mariano,que de beaux paysages au pays basque et ces petits poneys !trop mimi ! pour mon jardin cela serait bien comme tondeuse écolo !!!
    merci encore pour cette balade et encore une fois bonne et heureuse année à vous tous avec bcq de santé et de belles balades dans nos belles Pyrénées…@+lili

    Répondre
  5. liliane deweer dit :

    liliane

    tres belle randonnée , mais surtout beaucoup de pierres ,
    mais la région est formidable ,on a croie rêver de toutes ces belles photos
    Merci et toute mes voeux pour 2013

    Répondre
  6. valentin dit :

    Oui, merci a Marinette, elle a bien du merite….mais je ne me plaind pas, mon epouse me suit partout en montagne.
    Bonne année et bonne santé….a vous deux.

    Répondre
  7. dominique dit :

    encore bravo pour ces randos et ce travail »annexe »
    bonne et heureuse année à toi, tes proches et tous les amis qui te « lisent »!que nos articulations nous portent encore longtemps vers ces merveilles!

    Répondre
  8. Randosolo64 dit :

    Bravo Mariano pour cette dernière randonnée de 2012. Une année bien remplie dont je suis régulièrement vos admirables parcours dans nos Pyrénées. Mes meilleurs vœux pour la nouvelle année.

    Répondre
  9. francois dit :

    Un grand merci pour nous faire profiter de toutes ces belles randos tout au long de l’année !
    Recevez tous mes voeux pour 2013 ,je ne manquerai pas de visionner les futures sorties avec grand bonheur !
    Pour ma part je fais une bonne vingtaine de randos par an dans les Pyrénées ,mais hélas pour moi le Périgord est à plus de 300 kms .
    Bien cordialement.

    Répondre
  10. THIARC Fabienne dit :

    Bonjour,
    je voulais vous remercier pour vos belles randonnées et vos superbes photos. Beaucoup d’heures de travail c’est sûr, mais quel plaisir à les regarder.
    Je vous souhaite une très belle année 2013 et continuez à nous faire rêver (pour ceux qui ne peuvent pas vous suivre ou vous imiter)

    Répondre
  11. Fred dit :

    Chapeau l’artiste!
    Des chiffres impressionnants qui reflètent votre véritable passion!
    Merci pour votre énorme contribution qui nous permet de nous évader et également de nous faire rêver devant notre ordinateur!
    Bonne continuation et tous mes voeux pour 2013 ou j’espère que vous arriverez à battre votre record!

    Répondre

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