Randonnée le Mont Valier (2838m)

L’itinéraire depuis le refuge des Estagnous après les 4h30 de montée depuis le Pla de la Lau.

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Après avoir passé une bonne nuit dans la tente, départ vers 6h30 du matin.

N’oubliez pas que le refuge loue des tentes et des couchages.

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Départ pour l’ascension du Mont Valier, quelques mètres après le refuge des Estagnous,

suivre le large sentier partant à droite en direction de l’Est en laissant à gauche notre itinéraire de retour pour la boucle.

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Le sentier balisé en jaune passe sous les falaises et contourne l’arête ouest du Valier.

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Le sentier bien marqué et balisé en jaune monte en lacets dans la pierraille.

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Il tourne ensuite vers le col de Faustin avec quelques mains courantes (Câbles) qui sont là pour vous aider en cas de terrain humide, aucune difficulté depuis le refuge en l’absence de neige.

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L’arrivée au col de Faustin (2650m) avec les premiers rayons du soleil sur le Mont du Petit Valier appelé aussi: l’Échine d’Âne.

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Compter entre 45mn et 1h00 depuis le refuge.

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Panorama de toute beauté versant Est, cliquer sur le menu déroulant en haut à gauche, puis sur 2650m-col-Faustin-au-lever:

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Photos extraites du panorama:

Du Pic de Tarbésou (2363m) au Pic Rouge de Bassiès (2676m).

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Du Carlit (2921m) au Pic de Malcaras (2865m).

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Du Pic du Montcalm (3077m) à la Pica Roja (2901m).

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Du Comapedrosa (Andorre) 2944m au Monteixo (2905m).

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Col de Faustin (2650m) au lever de soleil.

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La vue côté Sud-Ouest.

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Le Massif de l’Aneto et de la Maladeta.

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Zoom sur le Pic Aneto (3404m)

Y a encore beaucoup de neige pour le début d’un mois de Septembre !

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Bésiberri Nord (3014m).

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Pic de Barlonguère (2802m) et Maubermé à droite au fond (2880m).

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Au loin le Pic du Midi de Bigorre (2872m).

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Lever de soleil depuis le col de Faustin.

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J’ai pris un peu d’avance laissant derrière moi Jean-Robert, pour pouvoir prendre ces belles photos du lever du jour.

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L’arrivée de Jean-Robert au col de Faustin (2650m) 1h00 depuis le refuge des Estagnous.

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Mariano et Jean-Robert au col de Faustin.

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Jean-Robert qui connaît bien l’Ariège et le Mont Valier pour l’avoir gravi 4 fois, me montre le petit Valier (Appelé aussi l’Échine d’Âne) très facile à faire mais délaissé totalement par les randonneurs qui montent à l’opposé vers le géant du Couserans (département de l’Ariège).

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Pour le Mont Valier, suivre le large sentier dans la pierraille qui monte en lacets vers le Nord-N.E.

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La vue derrière nous sur le petit Valier.

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Vue plongeante sur le refuge des Estagnous et ses laquets (emplacement bivouac).

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Compter entre 15 et 20 minutes pour vous hisser sur la cime.

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Sommet du Mont Valier (2838m).

Entre 1h15 et 1h30 depuis le refuge et 6h au total depuis le Pla de la Lau.

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C’est parti pour les photos.

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Les 6 panoramas de cette randonnée.

Cliquer sur les étoiles animées ou sur le menu déroulant en haut à gauche pour basculer entre les panoramas:

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Jean-Robert et Mariano au sommet du Mont Valier (2838m) le dimanche 02 septembre 2018 (8h30).

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Mariano.

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Jean-Robert Quiblier (Visiter son site web le Montcalm)

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Le Mont Valier (2838m).

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Les 2 croix en fer au sommet du Mont Valier avec au milieu, la croix de granit vandalisée ! ! !

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Elle pesait environ 50 kg, et avait été montée en hélicoptère jusqu’au refuge des Estagnous puis, à dos d’homme, avait été hissée jusqu’au sommet du Mont Valier, où Jean Soum l’avait scellée. La croix, avait été bénie par l’abbé Jean Fauroux et avait résisté à toutes les intempéries de la nature pyrénéenne, mais malheureusement, des sauvages il n y a pas de mots l’ont détruite au ras du socle.

Merci à Françoise pour la photo prise en 2011.

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Panorama vers le Bésiberri et l’Aneto.

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Immense panorama sur 360° que nous offre ce joli sommet de l’Ariège.

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Le massif du Bésiberri avec à droite la pointe Nord (3015m).

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Glacier de la Maledeta et de l’Aneto.

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Avec son sommet le plus haut de la chaîne des Pyrénées: le Pic Aneto et ses 3404m d’altitude.

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Le panorama vers la plaine.

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Le glacier d’Arcouzan depuis la pointe Est du Mont Valier

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Le Pic du Maubermé (2880m).

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Pour le retour, 2 possibilités avec dans tous les cas, revenir par le même itinéraire que la montée jusqu’au refuge des Estagnous, puis:

Revenir par le même itinéraire que la montée au refuge: +1930m pour 9km (compter entre 4h et 4h30) ou revenir en boucle par le col de Pécouch (voir la photo ci-dessous): +300m et -2160m pour 12km (compter entre 4h45 et 5h30)

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Après être restés 30 minutes au sommet, retour par le même itinéraire que la montée jusqu’au refuge.

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Retour très vite au col de Faustin (2650m) 10 petites minutes.

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Magnifique poème très touchant à la mémoire de Sophie (27 vers versés pour une fée)

C’est ici malheureusement que Sophie a été retrouvée, dans le glacier d’Arcouzan. C’est l’un des plus petits glaciers de la chaîne des Pyrénées et il ne semble pas régresser, en tout cas pas aussi rapidement que les autres glaciers de la chaîne. C’est le plus oriental des Pyrénées, soit le dernier avant la Méditerranée, c’est également le plus isolé de la chaîne et le plus difficile d’accès et donc le plus dangereux. Lire la suite ici.

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Retour au refuge des Estagnous par le large sentier balisé en jaune.

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Le refuge des Estagnous.

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Durant ces deux jours, nous avons rencontrés de vrais passionnés de montagne comme nous.

Toujours un plaisir d’échanger entre vrais montagnards comme ici avec Charles qui a laissé un commentaire en fin de page.

Par conte ça n’a pas toujours été le cas durant ces 2 jours où nous avons croisé quelques randonneurs qui n’ont jamais levés la tête pour nous dire un petit bonjour et que l’on a croisés pourtant à plusieurs reprises.  Une jeune randonneuse de Toulouse alors que j’étais tout seul au sommet du Mont Valier en arrivant sur la cime, ne m’a même pas jeté le moindre regard ni le moindre petit bonjour et elle se prétendait montagnarde, la montagne n’est plus ce qu’elle était au niveau partage et échange, quelle tristesse ! ! ! elle se reconnaîtra surement si c’est une vrai montagnarde comme elle le prétendait . . . . .

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Retour à notre bivouac.

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Nous avions laissé la tente avec nos affaires à l’intérieur pour faire l’aller/retour au Mon Valier.

Quel plaisir de gravir la montagne avec 5 petits kilos au lieu des 18 de la montée.

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Petit halte au refuge pour payer notre dîner d’hier soir, le personnel est très sympa et on y mange très bien !

Jean-Robert en grande discussion avec Laurent un des gardiens du refuge avec Stéphane.

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1. Pour ceux qui font l’aller/retour, revenir prudemment par le même chemin que la montée (-1340m de dénivelé pour 7 km en 3h00).
2. Pour le retour en boucle par le col de Pécouch: +300m et -1580m pour 10km (compter entre 4h00 et 4h30)

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Pour la boucle, suivre ce topo: au niveau du panneau Col de Pécouch-Milouga/Valier, 30m au-dessus du refuge, suivre le sentier à gauche balisé en jaune en direction du Nord.

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Cet itinéraire est plus long que la descente par la voie normale mais que c’est beau et surtout très sauvage loin de la foule d’hier ! Rien à voir avec la montée dans le vallon encaissé du Ribérot ou le paysage à part la cascade de Nérech n’est pas vraiment formidable.

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Cet itinéraire est très sauvage et vous ne rencontrerez pas grand monde.

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Le sentier balisé en jaune

monte progressivement vers le col de Pécouch avec une superbe vue sur les étangs Rond et Long.

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Jean-Robert dans la montée au col de Pécouch.

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L’étang Rond (1940m).

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L’arrivée au col de Pécouch (2440m)

45 minutes depuis le refuge des Estagnous pour +220m de dénivelé en 800m de distance.

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Encore une belle rencontre entre montagnards avec deux randonneurs de Toulouse.

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Bernard, Mariano et Laurent au premier plan.

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Après 1h00 de pause pour le casse-croûte de midi,

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nous reprenons notre itinéraire de descende en direction du Nord jusqu’à l’étang de Milouga.

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Une zone granitiques, mais sans crevasse (aucune difficulté par temps sec).

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Itinéraire bien cairné et balisé en jaune.

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Après avoir terminé la descende du plateau des Lauzets (zone granitiques), nous arrivons au-dessus des 2 étangs d’Arauech et de Milouga avec la vue sur les 2 cabanes du secteur que sont la cabane du Taus et celle des Espugues.

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Dont celle-ci,  la cabane de Taus (1898m) qui se trouve sur notre itinéraire de retour.

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Étang d’Arauech (2000m).

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Étang Milouga (1960m).

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La partie un peu délicate à descendre où il faut rester vigilants de ne pas glisser surtout par temps humide.

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Des petites marches en acier sont fixées sur la roches pour vous aider à descendre en toute sécurité.

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Étang de Milouga (1960m) avec les reflets du Mont Valier sur l’eau.

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Depuis le bord de l’étang de Milouga, prendre le sentier qui monte Nord-N.O.

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Puis le suivre jusqu’à la cabane du Taus.

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Quelques mètres de dénivelé en plus qui vous feront peut-être mal aux jambes si vous faites la boucle en une journée.

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Itinéraire sauvage comme la plus part des itinéraire de l’Ariège.

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L’arrivée à la cabane.

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Cabane du Taus (1898m) 2h00 depuis le col de Pécouch et 2h45 depuis le refuge.

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Cabane pastorale, ouverte aux randonneurs et en bon état. Trois couchages au rez-de-chaussée et 4 matelas supplémentaire au grenier. Petite table, bancs, cheminée et eau à proximité.

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Après une petite pause pour nous ravitailler en eau fraîche, nous reprenons notre itinéraire (Nord-Ouest).

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Encore une petite montée, rien de bien méchant.

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L’arrivée au Cap des Lauses (1898m),

bifurcation des sentiers venant du col de Laziès (GR10) et du refuge des Estagnous.

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Laisser le sentier qui continue vers le Nord-Ouest au col de Laziès

et prendre à gauche le sentier du GR10 qui descend dans le vallon d’Aouen.

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Après avoir descendu les plusieurs lacets sans problème depuis la bifurcation,

nous traversons le ruisseau d’Aouen pour passer rive gauche en laissant la cabane d’Aouen sur notre droite.

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Le sentier balisé en rouge et blanc continue à descendre en lacets,  mais cette fois-ci vers le Sud.

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Puis vers l’Ouest dans la forêt.

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Une belle cascade.

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La traversée du Ribérot par une passerelle en bois, nous fait rejoindre la jonction avec l’itinéraire de la montée d’hier.

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Nous empruntons la petite piste bétonnée qui a été construite pour l’accès aux Handicapés.

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La Maison du Valier.

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Retour au parking du Pla de la Lau (940m). 5h depuis le Mont Valier et 4h00 depuis le refuge des Estagnous.

Merci à Jean-Robert pour ces 2 belles journées passées ensemble.

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• La montée au refuge des Estagnous
• Le bivouac au refuge des Estagnous