Randonnée au Pic Hautafulhe (2647m) en Aller/Retour
Pic Hautafulhe (2647m) en aller/retour depuis le barrage du Tech
- Déniv: +1450m – (3h45+2h30)= 6h15 – 13 km Niv: Montagnard
- Date: le 21.10.2018 – Hautes-Pyrénées – Départ: Barrage du Tech (1240m)
Une bien belle randonnée sauvage pour ceux qui aiment les ambiance austères.
Ne pas revenir en boucle par le vallon de Labas ! (bien lire ce topo)
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Difficultés: Aucune difficulté jusqu’au Lac de Pouey Laün (2360m) en l’absence de neige, la suite se fait hors sentier sur une pente raide jusqu’au fil de crête. Final un peu exposé où il faut s’aider un peu des mains, mais rien de difficile pour un montagnard. Concernant la boucle: J’ai longtemps hésité à mettre les photos du retour, mais après réflexion, l’itinéraire de la boucle est tellement dangereux que j’ai préféré vous les montrer afin de ne pas s’engager sur ce versant qui est vraiment pourri de chez pourri. L’accès au col de Fanlou sur la fin se fait sur une pente très raide avec des prises qui ne tiennent pas et des gravillons sous vos pieds. Depuis le col de Fanlou, couloir très raide avec des pierres dévalant la pente sous vos pieds. Il y a déjà des topos sur le web qui mentionnent toutes ces difficultés. Me concernant, la seule chose que je peux vous recommander c’est de ne pas faire cette boucle et de revenir sagement par le même itinéraire que la montée et ainsi profiter de la beauté des lieux tout en restant en sécurité.
Départ depuis le parking du barrage du Tech (1240m). Randonnée faite avec Louis et Jean-Claude.
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Depuis le parking du Tech, longer le lac par sa droite sur 150m,
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puis prendre le sentier qui monte à droite dans la forêt (Nord-N.O).
Le panneau indique 4h pour le lac, nous avons mis 2h15 (compter plutôt 2h45 pour y arriver).
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Après 20 minutes de marche,
laisser le sentier de droite qui monte au vallon de Labas et suivre celui de gauche en direction du Sud-Ouest.
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Nous sommes montés pendant une petite heure avec nos frontales.
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L’arrivée au petit cirque de la Lie (1h15 depuis le départ),
traverser le ruisseau de la Lie, puis suivre les cairns sur un sentier bien marqué en direction de l’Ouest.
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Le sentier monte en effectuant quelques lacets jusqu’au col sans nom.
Plus de 550m de dénivelé à l’heure, il est vrai que dans le noir on ne peut qu’avancer !
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Le panorama derrière nous avec le Pic du Midi d’Arrens.
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Aucune difficulté depuis le départ sur un sentier bien marqué.
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Après avoir traversé une zone d’éboulis, l’arrivée au lac de Pouey Laün (2360m). 2h20 depuis le départ.
Compter 3h00 et non 4h00 comme l’indiquait le panneau au départ de barrage du Tech.
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Magnifique petit lac avec les reflets du Pic des Tourettes.
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Les randonneurs pourront s’arrêter ici
ou faire le tour du lac pour monter au col de l’Hospitalet et revenir en boucle par le lac de Migouélou.
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Pour le Pic de Hautafulhe,
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contourner le lac par sa droite jusqu’au milieu.
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Puis grimper pleine pente en direction du Nord.
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L’itinéraire de montée
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Le lac de Pouey Laün (2360m) avec derrière nous l’imposant massif du Pic d’Arrouy.
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Pas de sente, il faut faire travailler un peu ses cuisseaux !
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L’arrivée sur la crête du versant Ouest du pic d’Hautafulhe.
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Sauvage et Austère, magnifique !
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Suivre les cairns vers le sommet dans un premier temps (Nord-N.E).
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Pas trop de difficulté si ce n’est d’utiliser un peu les mains (Niv: II).
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L’arrivée à la brèche (2540m).
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Depuis la brèche, vue côté Ouest.
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La vue côté Est.
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Depuis la brèche, basculer à droite côté versant Est.
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Petite vérification du tracé Gps pour Louis.
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Suivre ensuite le fil de crête jusqu’au sommet (Nord).
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Pas de difficulté si ce n’est d’utiliser un peu les mains (Niv:II).
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La vue plongeante sur le lac derrière nous.
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Jean-Claude.
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Louis.
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Ça y est le plus dur est derrière nous !
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L’arrivée au sommet.
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Mariano, Jean-Claude et Louis au sommet du Pic Hautafulhe (2647m).
1450m de dénivelé pour 6,5 km en 3h00 depuis le barrage du Tech (Compter 3h45).
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Panorama à 360°, cliquer sur le panorama annoté pour voir le nom des sommets:
Le casse-croûte, le meilleur moment de la journée !
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Mariano au sommet du Pic d’Hautafulhe (2647m).
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Panorama vers l’Ouest vers le Pic du Ger (2613m).
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Les lacs d’Ausseilla (2192m).
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Vers la grande Arcizette (2513m).
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Arcizette et Amoulat.
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Pic d’Amoulat (2595m).
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Vers le Moulle de Jaüt (2050m).
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Pic de Ger (2613m) avec au premier plan à droite l’Arre-Sourins (2614m).
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Des randonneurs arrivent au sommet du Pic de Ger (2613m).
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Le massif du Gabizos.
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Le Grand Gabizos (2692m).
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Le col d’Aubisque (1709m).
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Le sommet du Pic Hautafulhe (2647m) depuis le versant Nord-Est.
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Jean-Claude et Louis admiratifs devant tous ces sommets dont la plupart sont sauvages et austères.
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Aujourd’hui, et malgré une légère brume nous pouvons voir jusqu’aux aiguilles d’Ansabère.
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Le pic des Tourettes (2771m) et le Pic d’Estibère (2738m).
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Pic d’Estibère (2738m).
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Le pic des Tourettes (2771m).
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Vers la plaine de Tarbes.
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Les Pics de Montaigu et du Midi de Bigore au loin avec le pic du Midi d’Arrens au premier plan à gauche.
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Le Vignemale (3298m).
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Il n y a pas que les jeunes qui consultent les smartphones, les anciens aussi ! ! !
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Le Palas (2974m).
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Le lac de Pouey Laün (300m plus bas).
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Vers le Pibeste et la vallée d’Arrens Marsous.
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Massif du Pibeste (1349m).
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Après 1h45 au sommet, retour impératif par le même itinéraire que la montée.
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Le retour que nous avons effectué a été fait en boucle, suite à quelques topos visualisés sur le web.
Alors certes, ils mentionnaient bien les difficultés que nous avons rencontrées au retour mais je ne m’imaginais pas à quel point ce retour était dangereux ! ! !
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J’ai longtemps hésité à mettre les photos qui vont suivre mais après réflexion,
c’est peut-être aussi bien que vous puissiez les visualiser afin de constater par vous-même.
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La crête qui descend vers le col de Fanlou est aérienne et malgré le rocher pourri,
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elle ne présente pas de grosses difficultés.
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Il faut bien sûr être habitué à ce genre de terrain et surtout bien tester ses prises sur un rocher complètement pourri !
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Concentration maximum !
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C’est à partir d’ici que les choses se compliques ! ! !
En général, même si c’est plus aérien, c’est en suivant le fil de crête que l’on a le moins de risques.
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Le problème c’est qu’il y a deux passages de 10m sur le fil de crête avec des dalles lisses.
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En plus, le rocher est vraiment pourri,
et pour confectionner un relais pour s’assurer pas facile du tout, les blocs de 1 mètre de diamètre bougeaient ! ! !
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Il suffit de voir les têtes de mes amis pour deviner que là y a un problème pour descendre ! ! !
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Tout est pourri et la moindre glissade c’est 200m plus bas ! ! !
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Dalles lisses et donc impossible de continuer à descendre par le fil de crête, beaucoup trop dangereux !
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La seule solution, c’est de descendre un peu à droite en y allant très doucement.
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Par moment en désescalade pour être sûr de ne pas glisser tout en assurant bien les prises.
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Une prise sur deux nous restait dans les mains !
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Après cette descente d’une trentaine de mètres assez périlleuse,
il ne reste plus qu’à rejoindre le col de Fanlou en faisant une traversée tout en restant très vigilants.
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La plus grande difficulté est derrière nous, mais celle-ci n’est pas mal non plus ! ! !
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Depuis le col de Fanlou (2520m),
il faut descendre ce couloir très pentu avec un rocher toujours aussi pourri et en plus une roche mouillée.
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Nous y avons été très doucement avec toujours la peur en nous de glisser ! ! !
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Dernière difficulté avant d’atteindre le pierrier.
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Voilà, ça y est, les grosses difficultés sont derrière nous.
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La descente du pierrier se fait agréablement
mais non sans mal car des blocs de 20 à 30 cm déboulaient sous nos pieds.
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Après 45 minutes de concentration extrême,
Louis ne relâche toujours pas sa concentration et il a bien raison !
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Impressionnant ce massif, jamais vu un versant aussi pourri ! ! !
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L’itinéraire continue à descendre sur un terrain croulant mais sans trop de danger maintenant.
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La pierraille n’est pas terminée pour autant,
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après un court passage herbeux, retour à une descente dans la pierraille.
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La dernière descente dans la pierraille avant de retrouver le sentier des vaches.
1h30 depuis le sommet, les difficultés sont déjà loin derrière nous, mais ce retour demande une concentration de tous les instants même sur ce terrain, et donc pas terrible du tout ce retour en boucle.
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Le Soum d’Arre.
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2h00 depuis le sommet, cette fois-ci nous sommes bien sur le plancher des vaches !
L’arrivée à la cabane de Bouleste (1726m) 4 places sur béton avec cheminée (pas très propre).
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Retour par le sentier de gauche menant au barrage du Tech.
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Retour au barrage du tech (1240m) 2h50 depuis le sommet. (Compter 2h30 pour le retour par la voie normale).
Voilà, vous savez tout sur l’itinéraire de retour en boucle qu’il ne faut surtout pas faire. Alors certains vont peut-être dire qu’ils prennent des risques, oui peut-être mais nous ne le savions pas au départ, c’est aussi pour ça que je continue humblement à faire des topos bien détaillés pour vous informer des dangers. Sachez tout-de-même, que je n’irais pas volontairement gravir des sommets dangereux pour vérifier s’ils le sont vraiment, j’aime comme vous la montagne et je veux l’apprécier et la fouler encore pendant de longues années.
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Attention: Je ne pourrai être tenu responsable des risques d’accidents encourus par les lecteurs utilisant cet itinéraire en boucle et décline toute responsabilité dans l’hypothèse d’un accident sur ce topo comme d’ailleurs sur tous les Topos et Itinéraires suggérés dans ce site web.
Trace Gps de la Boucle (A ne pas faire, juste pour visualiser le parcours)
Bonjour Mariano
Merci pour vos belles photos et votre topo plein de bonnes recommandations et bons avertissements. Pour la boucle, je ne m’engagerai certainement pas (et je la déconseillerai même à mon frangin qui passe presque partout)
Déjà le col des Loups emprunté ce 2/08/22 à 3 (pour 2 d’entre nous c’était assez pénible) pour « attaquer » la montée délicate de l’Estibère. Nous avions été prévenus du terrain par mon frère qui l’avait gravi en 2019 avec le Sarroa et en descendant la brêche, les Tourettes que nous avions déjà par le col de Milhas). Ce mardi 2/08 depuis le Pla d’Aste puis le col d’Hospitalet nous poursuivons hors sentier assez haut pour rejoindre le bas du pierrier du col des Loups ou nous parviendrons et nous engageons au pic d’Estibère austère et rocher assez médiocre. Notre ami (plus de 72 ans) arrête et nous dit qu’il redescend doucement. La descente était assez délicate mais un peu mieux étant donné qu’on avait stabilisé les pierres prêtes à tomber (surtout les petites ) et on connaissait un peu mieux tous les gros rochers instables de la montée
Pendant que notre ami avait filé au Sarroa où nous le rejoindrons. Très belle journée passée sans encombre mais sommets uniquement pour Montagnards.
À bientôt Mariano
Francine
Bonjour Mariano. Bravo pour ton magnifique travail. Hautafulhe fait en solo aujourd’hui, avec une boucle par le vallon du Labas, à la descente, mais différente de la votre et beaucoup plus recommandable. Garder une direction NE après avoir descendu la petite arête sud du pic, et passer à flanc sud sous le col puis le pic Fanfou, (petite remontée optionnelle mais facile et belle) au pic des Monges, puis toujours à flanc par des pentes d’éboulis, rejoindre un col 2150 entre Grand et Petit Arroubert. Là un couloir de 500 mètres raide mais sain permet de rejoindre le vallon du Labas en aval de Bouleste. C’est sévére mais sans danger, et surtout…c’est une boucle! Belles balades à tous.
Super rando, faite semaine dernière, plutôt sauvage mais très peu balisée avec de nombreux passages possibles en gardant bien la droite tout le long de la montée au lac. Dernière montée aux crêtes bien glissante. Réservé aux détenteurs du pack carte/boussole 😉
Bonjour Mariano,
Tout d’abord, merci pour ce magnifique topo !
Je souhaiterai savoir si une boucle dans l’autre sens était possible en passant par le lac d’Ausseilla.
C’est à dire: du lac d’Ausseilla, montée au « col » 2532m pour redescente ensuite au lac de Pouey.
Merci.
Nicolas
Bonjour Nicolas,
Moi je te le déconseille, la montée dans le couloir de Fanlou et la crête jusqu’au sommet depuis le col est plus que pourri ! ! !
Pour moi, c’est le pire que j’ai rencontré jusqu’à aujourd’hui, alors oui on peut tout faire et y a des gens qui le font, mais franchement il y a 3/4 passages où tu n’as pas le droit de glisser et tu ne vas certainement pas apprécier, moi personnellement je n’y mettrai plus les pieds, c’est sûr !
Par contre pour l’aller retour aucun soucis, c’est très beau !
Amicalement
Mariano
Voilà un pic que je n’avais pas repéré 🙂 Comme quoi il en restera toujours à faire.
Celui-ci me semble déjà intéressant en aller-retour, sans se lancer dans cette descente … périlleuse.
Sûr que je l’aurais descendue en partie « su’ l’cul » je pense,et pour ma part, je n’aurais pas gardé les bâtons en main pour pouvoir me cramponner, loool. Perso, il me faut tout, dans ces cas là 🙂
Bravo pour cette boucle.
Merci Mariano pour ces belles photos qui me rappellent des souvenirs. Il est vrai que j’ai parcouru tout ça des deux cotés, vallée du Tech et vallée d’Artouste. les 2 lacs d’Auseilla, le col des loups, Poueylong, Estibère… après les isards.
Ouf ! Tu m’as donné. chaud !!! Il est sûr qu’il vaut mieux revenir sur ses pas ….
Mais que l’endroit est beau !!! Belle course !
Merci Mariano de nous y inviter avec ce magnifique topo 👏
Bises
Comment faites-vous pour trouver toujours de nouveaux sommets à nous faire découvrir ?
Merci pour toutes ces belles images et à bientôt avant les premières neiges.
Bravo à tous les trois.
Bises.
Françoise Hypo
Bonjour Mariano
Belle boucle certes mais effectivement un terrain a la limite du praticable ! après quand on y est, il faut bien s’en sortir en redoublant de prudence comme vous l’avez fait !
Pour l’instant je vais devoir me contenter de regarder tes topos !!!
Profites bien et reste prudent !
Amitiés
Serge
Un peu trop minéral pour moi, il manque un peu de verdure mais … c’est magnifique et bravo à vous pour cette magnifique rando ! Bises.
Top comme d’habitude et sans aucune difficultés à parcourir de mon canapé 😉
Bravo à vous tous …
Superbe avec ce ciel bleu et cet ensoleillement .
Quel plaisir de voir mes amis, Jean Claude, Louis et Mariano, trois montagnars aguerris, ils incarnent parfaitement la force tranquille nécessaire à toute les situations. Je crapahute tellement avec Jean Claude que de ne pas pouvoir être avec eux me donne le blues à l’âme. Et Mariano toujours à dégotter des randonnées qui sortent de l’ordinaire comme celle ci. Merci pour ce beau reportage !
Patrice