Randonnée Grand Barbat (2813m) en boucle par la cheminée Ledormeur et brèche Hourat

Grand Barbat par la cheminée Ledormeur en boucle par la brèche de Hourat

    • Hautes-Pyrénées – Dénivelé: +1750m – (5h+4h15)= 09h15 – 16,5 km – Niveau: Montagnard
    • Depuis le refuge d’Ilhéou: +850m (3 km) 3h15 – retour Cambasque: +200m -1750m (4h15) 8,9 km
  • Date: le 04.09.2014 – Départ: Parking terminus de la route du Cambasque (1370m)

Le grand Barbat est peu visible depuis la plaine et ne jouit pas d’une grande célébrité de la part des randonneurs. Pourtant ce sommet ne manque pas d’attraits: il est le point culminant du secteur d’Ilhéou, la montée après le refuge d’Ilhéou appelé également Raymond Ritter, se fait sur un terrain très rude, le tout dans une ambiance austère: éboulis, pierriers, pentes raides, crêtes, cheminée et pour finir un panorama tout simplement grandiose vous attend en haut du sommet !

Si l’itinéraire de la voie normale depuis le lac d’Estaing ne présente pas de grosses difficultés par beau temps, l’ascension du Grand Barbat par la cheminée Ledormeur demande un total respect ! ! !

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Difficultés:

A n’entreprendre que si vous avez l’expérience de la montagne (Niv: Montagnards) et surtout bien lire ce topo avant de vous lancer sur les traces de Ledormeur.

La cheminée Ledormeur est un couloir assez redressé mais ne présente pas de grosses difficultés à la montée si ce n’est qu’il faut parfois s’accrocher à l’herbe pour se hisser, Attention si vous descendez par cette cheminée, l’herbe présente tout le long de ce couloir peut être un réel danger ! ! ! (Prévoyez une corde en cas, pour infos: pas de spit ni de piton en haut de cette cheminée) à n’entreprendre que par beau temps.

La montée et la descente de la brèche de Hourat demandent une attention particulière (Pentes très raides) à ne faire qu’en l’absence d’humidité ! ! !

Pour les randonneurs qui montent depuis le lac d’Estaing, attention au niveau du névé juste avant la brèche de Barbat, il est souvent présent même en plein mois d’Août (crampons/piolet peuvent être nécessaires).

Malgré toutes ces recommandations, je ne pourrai être tenu responsable des risques d’accidents encourus par les randonneurs concernant ce topo et décline toute responsabilité dans l’hypothèse d’un accident sur ce Topo comme d’ailleurs sur tous les topos et Itinéraires suggérés dans ce site web.

La suite du Topo . . . . . . . . . .

Vue sur l’itinéraire (photo prise depuis le Pic de Nets)

Carte-3D-Grand-Barbat-1600x900

Voir la même photo au format HD (1920×1080 pixels)

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Randonnée faite avec Jean-Paul.

(Reconnaissance de notre sortie programmée dans 10 jours avec les APNP)

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Depuis le parking du Cambasque (1370m) suivre le sentier qui mène au refuge d’Ilhéou (Sud-Ouest).

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La sortie programmée avec les APNP se fera sur 2 jours contrairement à aujourd’hui.

Si comme nous, vous faites cette sortie en une journée, compter +1750m de dénivelé pour 16,5 km en 9h15.

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Nous arrivons au refuge d’Ilhéou ou Raymond Ritter (1982m) 1h20 depuis le Cambasque (Compter 1h30).

Le Grand Barbat est là-haut, compter entre 3h00 et 3h30 depuis le refuge.

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Le beau lac d’Ilhéou (1980m).

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Le refuge Raymonf Ritter ou d’Ilhéou (1982m).

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Refuge ouvert uniquement l’été de début Juin à début Octobre avec 22 places

Tél: 05 62 92 07 18 – Gsm: 06 85 66 55 96

N’hésitez pas à réserver, on y mange très bien et en plus le gardien du refuge est très sympa !

Attention: Refuge entièrement fermé l’hiver.

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Après une petite pause de 15 minutes,

nous reprenons notre marche vers le G-Barbat en contournant le lac par la droite.

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Il n’est que 9h du matin, le lac et le refuge d’Ilhéou sont encore dans la pénombre.

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Après avoir longé le lac jusqu’à son extrémité (10 minutes), le sentier vire ensuite vers la droite (Ouest-S.O).

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Pour ceux qui n’aiment pas les pierriers, cette randonnée n’est pas pour vous !

80% de l’itinéraire depuis le refuge se fait dans la pierraille ! ! !

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Altitude 2140m.

Carrefour des itinéraires de montée et de descente pour ceux qui reviennent comme nous par la brèche du Hourat.

Depuis le croisement (2140m), monter vers la droite en direction du Nord-Ouest.

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9h du matin, le soleil commence à illuminer le refuge d’Ilhéou.

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Monter en direction du Nord-Ouest jusqu’au point d’altitude 2270m.

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Le terrain à tendance à vous faire continuer tout droit surtout si vous n’avez pas de Gps, c’est ce qui est arrivé à un randonneur (fort heureusement très expérimenté) qui s’est retrouvé au pied de la brèche d’Esmarralhada où les pentes sont vraiment très très raides.

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Pour ne pas connaître cette mésaventure, vers 2270m virer à 90° vers la gauche en direction de l’Ouest-S.O.

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De temps en temps les éboulis laissent place à un peu de verdure.

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Derrière nous, le Pic de Nets (2428m) qui se fait rapidement depuis le refuge d’Ilhéou par le col de la Hougade.

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Les pentes herbeuses sont très raides, faites attention en cas d’humidité !

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Pas facile de vous indiquer l’itinéraire exact dans ce chaos de pierres, la cheminée Ledormeur est là-bas, ça pourrait-être un point de repère, mais plus on va se rapprocher d’elle, moins nous la verrons, l’idéal serait d’avoir un Gps et de récupérer la trace de la randonnée au début du topo.

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Il faut en gros progresser vers l’Ouest-S.O.

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Lors de notre reconnaissance nous avons longtemps cherché la cheminée Ledormeur en vain, il aura fallu être presque à ses pieds pour enfin la découvrir.

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Ici Jean-Paul cherche la cheminée, mais dans ce chaos et dans cette ambiance austère tout se ressemble ! ! !

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Heureusement, nous avons une trace Gps récupérée sur le web qui paraît être correcte.

Mais attention, même avec une trace Gps et surtout devant ces hautes barres rocheuses les signaux peuvent ricocher et la précision de votre Gps risque de passer de +/- 3m à 30m voire plus.

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Le Vignemale (3298m).

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Nous suivons toujours notre trace Gps en gros vers l’Ouest-S.O.

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Derrière nous . . .

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Des pierres, encore des pierres et toujours des pierres ! ! !

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Franchir cette première barre rocheuse dans sa partie la plus accessible (Flèche).

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Ne faites pas comme nous qui sommes partis en suivant la trace enregistrée vers la droite croyant que la cheminée se trouvait quelque part par-là, viser bien la flèche à gauche.

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Nous sommes redescendus en désescalade,

car c’était vraiment trop chaud et manifestement ça ne pouvait pas être la cheminée Ledormeur.

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Nous sommes passés un peu plus à gauche en utilisant nos mains mais sans grand danger.

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Altitude 2640m.

En visant la flèche, vous contournez la barre rocheuse sans aucun problème et vous pourrez découvrir cette fameuse cheminée que nous avons tant cherchée, il est vrai que c’est beaucoup plus facile lorsque vous l’avez fait une fois ou que vous avez un topo détaillé comme celui-ci.

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Au pied de la cheminée Ledormeur altitude 2680m.

(2h10 depuis le refuge d’Ilhéou et 3h30 depuis le parking du Cambasque)

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Début de la cheminée Ledormeur.

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Un peu comme celle du Palas,

mais beaucoup moins longue (30m) mais tout aussi dangereuse avec cette herbe tout le long du couloir.

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Fin de la cheminée Ledormeur (2740m).

Pour notre sortie avec les APNP, nous prendrons une corde dans le cas où quelqu’un ne serait pas à l’aise mais surtout si, pour une raison quelconque, il fallait la redescendre.

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Dès la sortie de la cheminée Ledormeur, nous nous retrouvons directement sur le haut de la crête.

Le paysage devant nous est tout simplement grandiose !

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Paysage austère d’une grande beauté !

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Une fois sur la crête, la suivre sur quelques mètres.

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Puis la suivre un peu en contrebas dans sa partie herbeuse jusqu’à une petite brèche.

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Vue sur le lac et le refuge d’Ilhéou.

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Le grand Barbat n’est plus très loin . . . .

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Un Isard dévale le pierrier à toute allure après nous avoir entendu.

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Depuis la petite brèche, basculer de l’autre côté (versant Ouest).

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Descendre de quelques mètres en s’aidant des mains, rien de bien méchant.

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Encore une petite brèche.

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Depuis la brèche,

descendre à nouveau un peu en perdant quelques mètres, puis remonter en direction du sommet.

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Vue derrière nous sur la brèche de Barbat (2640m) avec au loin les pics d’Enfer (3082m) et Balaïtous (3144m).

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Les derniers mètres.

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Mariano et Jean-Paul au sommet du Grand Barbat (2813m)

Nous avons mis 2h50 depuis le refuge, compter 3h30 et 5h depuis le parking du Cambasque (sans les pauses).

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Panorama immense par beau temps.

Camera-Panorama-Automatique

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4 Photos extraites du panorama pour vous les imprimer et vous aider sur place à identifier les sommets:

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La deuxième.

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La troisième.

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La quatrième.

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Le Grand Barbat est certainement le meilleur belvédère pour apprécier encore plus le Balaïtous (3144m).

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Le Balaïtous (3144m) et son glacier de Las Néous.

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Vers le Vignemale (3298m).

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Vers le col d’Ilhéou où l’on peut revenir aussi en boucle du Grand Barbat.

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Le lac d’Ilhéou.

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Le Palas (2974m).

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Le lac de Migouélou (2290m).

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Le grand et le Petit Gabizos (2692m et 2639m).

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Les lacets montant au col de la Hougade (2378m).

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Le lac d’Estaing, départ de la voie normale du Grand Barbat.

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Vers le pic du midi de Bigorre (2872m)

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Jean-Paul (accompagnateur aux APNP).

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Pour le retour, deux choix possibles: revenir en boucle par la brèche de Hourat,

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ou revenir par le col d’Ilhéou.

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Dans les deux cas, il faut redescendre à la brèche de Barbat (2640m).

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Suivre la sente et les cairns jusqu’à la brèche de Barbat.

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Derrière nous . . . .

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Brèche de Barbat (2640m) 20 minutes depuis le haut du sommet du Grand Barbat.

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Pour ceux qui font la boucle par le col d’Ilhéou, descendre en suivant les cairns (Nord).

Cliquer ici pour voir le retour par le col d’Ilhéou

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Pour les autres qui reviennent par la Brèche du Hourat, descendre vers le lac du Pic Arrouy (Sud)

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Attention: Ne faire cette boucle uniquement par beau temps,

la montée et la descente de la brèche du Hourat sont très pentues et donc très dangereuses par temps humide.

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Descendre dans le pierrier pour ne pas changer jusqu’au lac.

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Nous laissons derrière nous la brèche de Barbat (2640m).

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Lac du Pic Arrouy (2376m).

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50 minutes depuis le sommet du Grand Barbat.

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Un peu froide au goût de Jean-Paul.

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Après une pause casse-croûte de 40 minutes, nous reprenons notre chemin du retour.

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Depuis le lac prendre le petit vallon à gauche en direction du Sud-S.E.

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Ne chercher pas de sente ni de cairns, il n’y en a pas !

Ici, on voit le pierrier que l’on a descendu depuis la brèche de Barbat, si vous ne vous arrêtez pas pour manger comme nous, vous pouvez rester un peu au-dessus pour éviter de trop descendre.

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L’itinéraire est évident mais toujours des blocs et encore des blocs ! ! !

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Nous laissons derrière nous définitivement les lacs du Pic Arrouy (2376m) et lac Long (2340m). C’est un coin très beau, fascinant et austère à la fois, malheureusement très peu fréquenté à cause de son éloignement.

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Nous trouvons quelques cairns qui nous indiquent que nous sommes sur le bon itinéraire (Sud-Est).

Durant ce parcours et ceci depuis le refuge d’Ilhéou, vous ne trouverez pas beaucoup de cairns, inutile de les chercher, il est donc préférable de bien lire ce topo et si vous avez un Gps, charger la trace pour être tranquille.

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La fameuse brèche du Hourat (2579m).

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Vous comprenez maintenant pourquoi il ne faut pas faire cette boucle par temps humide ! ! !

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Préférer la partie de droite où il y a quelques petits blocs pour vous aider à vous caler.

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La pente est très raide et je n’imagine même pas par temps de pluie ! ! !

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Sinon par temps sec, aucun problème pour des montagnards aguerris.

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Il faut quand même rester vigilants, une glissade serait dramatique !

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Fin de la montée de ce couloir herbeux très raide (compter 10 petites minutes).

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Brèche de Hourat (2579m).

Nous avons mis 30 minutes depuis le lac du Pic Arrouy et 1h20 depuis le sommet du Grand Barbat.

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Si en cas de pluie la montée pourrait se faire, la descente elle , serait suicidaire et des deux côté,

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il est donc préférable de ne pas entreprendre cette boucle en cas où la météo annoncerait un risque d’averse.

Choisissez plutôt dans ce cas, de redescendre par le col d’Ilhéou depuis la brèche de Barbat.

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Sinon par temps sec et en y allant doucement, pas de soucis !

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Malgré une altitude modeste de 2400m, des névés persistent encore en ce début de septembre.

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Nous laissons derrière nous la brèche du Hourat et son couloir pentu.

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Altitude 2380m, non loin du petit laquet de ce matin.

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S’orienter à droite du petit laquet pour atteindre un petit col sans nom (2360m), et en laissant sur notre gauche l’itinéraire de montée de ce matin.

Randonnee-Grand-Barbat-boucle-par-la-breche-Hourat_124

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Direction Nord-Est.

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A partir d’ici, vous trouverez des cairns pour vous guider jusqu’au lac d’Ilhéou.

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Le lac d’Ilhéou et son refuge (1982m) .

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Jonction avec l’itinéraire de ce matin altitude 2140m, la boucle est fermée.

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Mais la randonnée n’est pas terminée pour autant, compter encore 1h45 jusqu’à la voiture.

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Enfin une source ! ! !

Prévoyez suffisamment d’eau pour cette longue randonnée, c’est la seule source que nous avons trouvée depuis le départ du refuge (6h15).

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Refuge d’Ilhéou ou Raymond Ritter (1982m).

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Retour au refuge d’Ilhéou (3h depuis le sommet du Grand Barbat sans la pause casse-croûte)

+200m/-1020m de dénivelé pour 4,2 km de longueur depuis le sommet.

Petite pause de 20 minutes pour nous désaltérer avec une bonne bière de notre ami Gilles.

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Dès notre départ du refuge, la pluie s’est mise à tomber et elle ne faisait pas semblant ! ! !

Nous avons profité de nous arrêter à la nouvelle cabane et papoter un court instant avec le jeune berger.

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Heureusement que la pluie s’est mise à tomber après le refuge et non pas au niveau de la brèche Hourat ! ! !

La météo n’avait pas prévu de pluie ! ! !

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Sur une piste ce n’est pas très grave, sauf s’il y a de l’orage mais ce n’était pas le cas, donc pas de soucis !

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Retour au Parking du terminus de la route du Cambasque (1370m).

Nous avons mis Jean-Paul et moi pour faire cette randonnée 8h sans les pauses (9h45 avec les pauses).

C’est une très longue course qu’il est préférable de faire sur 2 jours avec une nuit au refuge d’Ilhéou.

C’est une des randonnées les plus exigeantes que j’ai faite à ce jour, il est vrai que nous ne nous sommes pas beaucoup arrêtés, et dire que je dois remettre ça dans 10 jours avec les Apnp ! ! !

Reconnaissance qu’il était indispensable de faire, comme toutes les sorties avec les APNP, mais celle-ci en particulier, ne prenez pas ce sommet à la légère, rien à voir avec les Balaïtous et Ossau, ici le terrain est minéral et austère, tout se ressemble et vous avez vite fait de vous tromper et de vous retrouver dans une situation délicate voir même dangereuse si vous n’êtes pas un montagnard aguerri ! ! !

Malgré toutes ces recommandations, je ne pourrai être tenu responsable des risques d’accidents encourus par les randonneurs concernant ce topo et décline toute responsabilité dans l’hypothèse d’un accident sur ce Topo comme d’ailleurs sur tous les topos et Itinéraires suggérés dans ce site web.

8 réponses
  1. Thierry dit :

    Une fois de plus bravo et merci pour la qualité de ce site, grand inspirateur de mes escapades pyrénéennes. Cette randonnée est effectivement exigeante car le terrain demande une attention quasi constante, et le dénivelé est bien là. Notre ascension a été facilitée par la trace GPS, qui, associée aux cairns présents dans le secteur, nous a permis d’accéder rapidement à la cheminée Ledormeur. Dans ce type de ranndonnée, j’ai toujours une pensée admirative pour les pionniers qui ont découvert ce type de passage avnt l’existence de la cartographie AU 25000ème.
    Attention tout de même de ne pas tenter, comme moi, de suivre la trace au niveau du lac du pic Arrouy: nager avec un sac à dos n’est pas chose aisée!
    Plus sérieusement, le bain était court mais revigorant ce dimanche.
    A bientôt pour de nouvelles aventures.

    Répondre
  2. Matthieu dit :

    Superbe topo et superbe sommet qui mérite son ascension. Le parcours par la voie normale est également magnifique, surtout si l’on fait la boucle par les lacs : cela permet une grande diversité de paysages (bois, pâturages, pierriers, panorama au sommet, lacs, cascade, prairies). La randonnée est assez exigeante physiquement (19 à 20km pour 1700d+) mais non technique (attention tout de même sur quelques pentes raides notamment la descente de la brèche du barbat au lac du pic arrouy) et il y a 2 jours, le névé nord de la brèche du barbat était insignifiant. Le fait que ce sommet soit méconnu peut aussi être un avantage car on y croise peu de monde voir personne (la foule était présente à partir du lac du plaa de prat au retour). Un sommet à conseiller fortement et que je referais certainement selon votre topo.

    Répondre
  3. Joaquín dit :

    Mariano: Una vez más admiro tus ascensiones y disfruto, aunque sea virtualmente, de esos bellos parajes que recoges en tus fotografías.Saludos. ¡ Bon chance !

    Répondre
  4. Mandja dit :

    Bravooo!!!!! Mariano pour tous ces randonnées,ce n’est
    pas évident.Merci pour tout ce que vous faite.
    Bon courage et surtout faites attention et prenez bien
    soins de vous.Bonne soirée.

    Répondre
  5. iriart dit :

    suite à vos infos, je viens de faire le Barbat aujourd’hui, en boucle mais ne trouvant pas l’itinéraire à la montée, j’ai suivi le balisage de la limite du parc national, franchi la brèche Esmarralhda à droite du sommet (à déconseiller en groupe, chutes de pierre), descendu d’environ 200m sur l’itinéraire Brèche du Barbat-col d’Ilheou, remonté à la brèche du Barbat par le côté Nord, puis le Barbat et enfin descendu par la cheminée Ledormeur que j’ai pu trouver grâce au cairns à partir de la crête. Le gardien du refuge m’a bien confirmé que vous étiez passé à 2 reprises. Encore merci pour, votre site que je consulte avec plaisir, vos idées, vos photos et vos panoramiques
    Jo Iriart

    Répondre
  6. uni philippe dit :

    Magnifique reconnaissance et photos toujours superbes.La voie normale du grand barbat par le lac d estaing est une alternative honorable.Je suis toujours passer par la et ily a environ 1650 m de denivellation.Merci cher monsieur MARIANO de reveiller des souvenirs qui me sont chers. PHILIPPE UNI

    Répondre
  7. François dit :

    je connais le grand Barbat pour l’avoir fait il y a environ 8 ans en boucle, départ lac d’Estaing, lac du Barbat, pic du grand Barbat, retour par la brèche, lac du pic Arrouy, lac long, lac Nère, lac du Plaa du Prat, puis de retour lac d’Estaing.
    La boucle était très longue mais superbe, de plus sans difficultés de vide, si ce n’est que la condition physique, en plus j’avais eu la météo avec moi pas un nuage de la journée.
    J’en garde un bon souvenirs. Votre boucle semble magnifique mais plus sportivement montagnarde.
    Bien amicalement

    Répondre

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