Randonnée Grand Barbat (2813m) en boucle par la cheminée Ledormeur et le col d’Ilhéou

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Le panorama aujourd’hui:

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Tracé itinéraire de montée depuis le pic de Nets

Voir le même itinéraire au format HD (1920×1080 pixels)

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Randonnée faite sur 2 jours (encadrants: Jean-Paul et Mariano)

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1er jour: la montée au refuge d’Ilhéou (1982m) depuis le parking du terminus de la route du Cambasque (1370m).

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Aucune difficulté pour monter au refuge, que ce soit sur la piste ou sur le sentier, à vous de choisir.

La montée plus détaillée avec beaucoup plus de photos: voir le topo du refuge d’Ilhéou

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Le lac Noir (1920m) à proximité du refuge. Oui je sais, il a la couleur verte, voir bleu mais pas vraiment la couleur du Noir, allez savoir pourquoi il se nomme ainsi ?

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Lac d’Ilhéou (1980m) 1h30 depuis le départ du parking.

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Le refuge d’Ilhéou (1982m) appelé aussi Raymond Ritter.

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Nous célébrerons demain le 40e anniversaire de sa mort, il était le fondateur des Amis du Parc National des Pyrénées.

A cette occasion, différentes sorties ont été programmées non loin du refuge dont la nôtre et ceci afin de se réunir demain dimanche 14 septembre vers 13h pour rendre un hommage à Raymond Ritter.

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Le beau lac d’Ilhéou (1980m).

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Comme à l’habitude Gilles (le gardien du refuge) nous a préparé un dîner super bon, autre chose que certains refuges dont je tairai les noms !

Le refuge est ouvert uniquement l’été de début Juin à début Octobre avec 22 places. Tél: 05 62 92 07 18 – Gsm: 06 85 66 55 96. Attention: Refuge entièrement fermé l’hiver.

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Gilles.

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Après une bonne nuit au refuge et un très bon déjeuner, départ pour le Grand Barbat, il est 6h27.

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Au programme de ce début de randonnée: Marche d’une heure dans la pénombre avec nos frontales.

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Après avoir longé le lac jusqu’à son extrémité (15minutes), le sentier vire ensuite vers la droite (Ouest-S.O).

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Altitude 2140m, nous montons vers la droite en direction du Nord-Ouest. Evidemment nous avons le Gps pour nous guider avec la trace faite il y a 10 jours avec Jean-Paul lors de la reconnaissance.

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Petite pause de 5 minutes après 30 minutes de marche dans l’obscurité.

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Altitude 2270m, nous virons complètement à gauche à 90° en direction de l’Ouest-S.O.

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Le jour commence à se lever.

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Le lac et Refuge d’Ilhéou.

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Après 1h05 de marche, petite pause pour assister au lever de soleil.

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Toujours des moments d’intense émotion !

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Le pic du midi de Bigorre (2872m).

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Plus que quelques instants avant le moment magique !

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Il est là ! ! !

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Superbe !

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Nous reprenons notre progressions dans les éboulis en direction de la cheminée Ledormeur (Ouest-S.O).

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La voici au loin.

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Derrière nous le soleil se lève définitivement au-dessus de la chaîne.

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Zoom sur le soleil.

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Contrairement à notre reconnaissance d’il y a 10 jours,

nous avons la trace exacte dans nos Gps, donc plus trop de soucis pour chercher le bon itinéraire.

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La cheminée Ledormeur est là-bas.

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Vue sur l’itinéraire de retour pour ceux qui reviennent par la brèche du Hourat.

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Des pierres, encore des pierres et toujours des pierres ! ! !

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Les pentes herbeuses sont très raides, faite attention en cas d’humidité !

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Derrière nous le lac d’Ilhéou.

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Un Isard.

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Franchir cette première barre rocheuse dans sa partie la plus accessible (Flèche: 2640m).

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Le temps commence à changer alors que la météo avait prévue du beau temps !

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Le Vignemale et ses 3298m d’altitude est dans les nuages.

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Cette fois-ci contrairement à notre reconnaissance nous ne ferons pas les acrobates à droite de ces barres rocheuses,

nous nous dirigeons directement au point le plus faible de la barre rocheuse.

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Il n ‘y a qu’à partir d’ici (2640m) que l’on peut voir vraiment la cheminée Ledormeur et encore . . . .

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Il faut vraiment être au pied de la cheminée pour voir le couloir.

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Au pied de la cheminée Ledormeur, altitude 2680m.

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C’est parti !

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Il faut bien sur,  s’aider des mains et même s’accrocher parfois aux touffes d’herbes pour se hisser, mais rien de compliqué pour des randonneurs aguerris.

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La cheminée Ledormeur.

Elle ressemble un peu comme celle du Palas, mais beaucoup moins longue (30m) en revanche elle est toute aussi dangereuse qu’elle, avec cette herbe tout le long du couloir..

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Vue plongeante sur le refuge et le lac d’Ilhéou depuis la cheminée Ledormeur.

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Le Vignemale (3298m).

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Nous avions pris une corde en cas, sans toutefois avoir eu besoin de l’utiliser.

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La sortie de la cheminée pour les 3 derniers du groupe.

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Jean-Paul en bon encadrant attend que tout le monde soit sorti de la cheminée.

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2h30 depuis le refuge d’Ilhéou.

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Dès la sortie de la cheminée Ledormeur, le paysage qui s’offre devant nous est grandiose !

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Le temps se gâte !

Ce qui rend l’ambiance encore plus austère qu’à l’habitude et même un peu flippant ! ! !

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Le Balaitous (3144m).

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Les trois lacs du secteur (Pic Arrouy (2400m), Lac Long (1240m) et le Lac de Nère (2280m).

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Depuis le haut de la cheminée Ledormeur, suivre la crête sur quelques mètres.

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Marcher en direction du Nord,

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légèrement un peu en-dessous de la crête, jusqu’à une petite brèche un peu plus loin.

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Le lac d’Ilhéou.

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Derrière nous le temps n’est pas rassurant !

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Vue sur le Balaitous (3144m).

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Brèche altitude 2780m.

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C’est ici qu’il faut basculer vers l’autre versant du massif du Barbat (le versant Ouest).

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Descendre de quelques mètres en s’aidant des mains,

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rien de bien méchant, mais il faut tout de même rester attentif !

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Encore un petit passage où la vigilance est de rigueur !

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Petite pause à la brèche altitude 2750m.

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Vue sur le lac d’Ilhéou depuis la brèche.

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Un dernier petit effort pour arriver enfin au sommet.

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Tout le monde est au sommet du Grand Barbat altitude 2813m,

(3h10 depuis le départ du refuge)

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Le panorama 10 jours avant lors de la reconnaissance:

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Les 4 Photos extraites du panorama ci-dessus:

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C’est pas le même ciel bleu !

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Palas, Ossau et Lurien.

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Le Balaitous (3144m) dans les nuages.

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Les Aiguilles d’Ansabère et le Pic d’Anie (2504m).

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Le pic du midi de Bigorre (2872m).

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Zoom sur l’observatoire où le temps est encore clément.

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Par contre de ce côté, ça devient vilain ! ! !

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Il commence à pleuvoir, il est grand temps de s’échapper ! ! !

Monique qui avait ramené gentiment un gâteau au sommet a juste eu le temps de nous le servir.

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Nous ne serons restés que 10 petites minutes au sommet.

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Lors de la reconnaissance avec Jean-Paul, nous étions revenu par la brèche du Hourat, avec un temps comme aujourd’hui et la pluie qui tombe, il est hors de question de revenir par la brèche du Hourat, beaucoup trop dangereux !

Nous reviendrons donc au refuge Raymond Ritter par le col d’Ilhéou que l’on voit à droite de cette photo.

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Nous suivons la sente et les cairns jusqu’à la brèche de Barbat.

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La descente depuis le Grand Barbat jusqu’à la brèche.

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Brèche de Barbat (2640m) 20 minutes depuis le haut du sommet du Grand Barbat.

Un peu avant la brèche de Barbat, continuer à descendre mais vers la droite en suivant les cairns (Nord).

Cliquer Ici pour voir le retour par la brèche du Hourat

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Ne pas descendre en bas du pierrier qui est l’itinéraire de montée depuis le lac d’Estaing.

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Rester entre les barres rocheuses de droite sans remonter et le fond du pierrier à gauche.

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Il y a des cairns pour vous indiquer la direction (en gros descendre vers le Nord).

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La pluie tombe depuis le départ du sommet sans être toutefois très gênante.

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Il faut par moment s’aider des mains.

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A cette endroit, notre Gps s’est affolé à cause des hautes barres rocheuses du Grand Barbat et peut-être aussi à cause du temps, la précision de notre Gps est passé subitement de +/- 3m à plus de 30m au niveau précision, nous faisant croire que l’itinéraire était bien plus haut, si cela vous arrive, n’en tenez pas compte et restez bien à flanc sans remonter. Si pour une raison quelconque vous vous retrouvez dans le flou au niveau itinéraire, n’hésitez pas à descendre complètement à gauche et récupérer l’itinéraire venant du lac d’Estaing, quitte à remonter par la suite 150m de dénivelé en plus.

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Derrière nous la Brèche de Barbat (2640m).

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Dans les deux cas, il n y a pas de grosses difficultés, si ce n’est de temps en temps,  s’aider un peu des mains.

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Viser ce petit col sans nom, en direction du Nord-Est.

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Un névé présent nous oblige à le contourner vers le bas.

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Pas de difficulté pour atteindre ce col sans nom.

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Col sans nom altitude 2450m (1h10 depuis le départ du sommet).

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Le col d’Ilhéou est visible depuis le col sans nom.

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Il ne reste plus qu’à descendre en direction du col d’Ilhéou (Nord-Est).

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Encore des éboulis à descendre mais plus pour bien longtemps . . .

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Après 5h de marche dans les éboulis, quel bonheur de retrouver un tapis vert !

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La pluie qui s’était arrêtée reprend de plus belle !

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Il n’est pas nécessaire d’aller au col d’Ilhéou se trouvant à environ 150m, le laisser sur votre gauche

et continuer à descendre en direction de l’Est.

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Nous récupérons le sentier du GR10 venant du lac d’Estaing.

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Sentier très bien marqué qui va contourner le massif de Segalas.

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Danielle.

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Le refuge Raymond Ritter n’est plus très loin.

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Et c’est reparti pour une averse de plus !

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Y a du monde ! ! !

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Retour au refuge Raymond Ritter ou d’Ilhéou (1982m). 3h25 depuis le sommet sans pratiquement s’arrêter.

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Sans dire de bêtise, 180 personnes s’étaient rassemblées pour rendre un hommage à Raymond Ritter.

Plus de 160 personnes appartement aux APNP et qui comme nous ont fait une sortie autour du refuge.

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Mesdames, messieurs, j’ai le plaisir de vous accueillir en tant que 16ème président des APNP, sachant que parfois cette fonction fut assurée par un collectif de personnes. Je suis heureux de vous saluer toutes et tous : représentants des collectivités locales et de la Commission Syndicale de la Vallée de St Savin, représentant du Parc National des Pyrénées, représentants de la Revue Pyrénées et du Musée Pyrénéen, adhérents des APNP, randonneurs invités ou de passage, les 7 membres de la famille Ritter. Nous devons excuser Mrs les Maires de Pau, de Tarbes, de Cauterets, les Pdts des Conseils Gx des P-A et des H-P, Mgr André Dupleix (Président de l’Académie du Béarn), Madeleine Nativité et Roger Blanc deux anciens présidents des APNP, Elisabeth Arrius-Pardies (Vice-Présidente APNP) et Tina Banos (Responsable Commission des sorties) qui ont toutes les deux de fortes contraintes familiales.

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Nous sommes ici pour honorer la mémoire de Raymond Ritter (né au Bouscat, le 23 mai 1894, mort au château de Morlanne, le 11 septembre 1974) dont c’est le 40ème anniversaire de la disparition. Il fut le fondateur et le 1er président des APNP. Cette manifestation a été organisée en partenariat avec le Parc National des Pyrénées, la revue Pyrénées et le Musée Pyrénéen, la Commission Syndicale de la Vallée de St Savin. Au titre des APNP, nous remercions Serge Mas qui a eu l’idée de cette manifestation et l’a ensuite pilotée avec persévérance, nous remercions Tina Banos qui a convaincu 16 encadrants de proposer des sorties, 7 en tout, nous remercions ces 16 encadrants pour leur implication dans le succès de cette journée. Déjà le 15 septembre 1975, le nom de Raymond Ritter avait été donné au refuge d’Ilhéou et une plaque commémorative avait été apposée que les vicissitudes humaines, climatiques ou autres ont fait disparaître.

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Raymond Ritter présente de nombreuses facettes : érudit, éclectisme, polémiste, avocat, homme de lettres, historien, collectionneur d’art, peintre, architecte, archéologue, photographe, journaliste, conférencier, connaisseur en vins, amateur de tauromachie, hispanisant, défenseur du patrimoine, défenseur des Pyrénées. Il occupa de nombreuses fonctions : vice-président de l’Académie de Béarn, délégué départemental du Touring Club de France, rédacteur en chef du Bulletin Pyrénéen qu’il transforma en Revue des Pyrénées, président d’honneur du Musée Pyrénéen. Et j’en oublie certainement !

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Il fut un de ceux qui avec Pierre Chimits et beaucoup d’autres contribuèrent avec persévérance et conviction à la naissance du Parc National des Pyrénées Occidentales. Dès 1960, l’idée d’un parc national dans les Pyrénées se dessine. En 1963, le Ministère de l’Agriculture lance les premières études qui aboutirent le 23 mars 1967 à la création du Parc National, dont le premier directeur fut Pierre Chimits et qui a été plus tard le 5ème président des APNP de 1983 à 1985. Pour accompagner et soutenir la naissance du Parc National qui suscitait des résistances, Raymond Ritter a fondé le 27 janvier 1970, les APNP. Au début, différentes commissions spécialisées des APNP se lancèrent dans l’étude de tous les domaines concernant le Parc National et contribuèrent à asseoir le Parc National. Puis peu à peu l’administration et l’organisation du Parc National devinrent majeures. Les APNP se tournèrent vers les activités de randonnées montagnardes, avec la volonté de faire connaître le monde montagnard sous tous ses aspects (Paysages, patrimoines, faune, flore, ..) et également avec des activités menées avec le Parc National (Flore, inventaires ABC, montagne propre, journée handicapés, …). En résumé, vivre la montagne autrement.
En guise de conclusion, ni nostalgie, ni hagiographie. Simplement rappelons-nous le dynamisme créateur de R.RITTER, sa ténacité, son ouverture, sa capacité à entreprendre même à un âge avancé (76 ans à la fondation des APNP), son souci de faire connaître le monde montagnard dans son ensemble mais avec intelligence et respect. C’est ce que nous essayons de poursuivre aux APNP, dans le contexte de 2014.
Jean-Marie Deladerrière – Président des APNP

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Retour pour tout ce petit monde.

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Après un bon petit café chez notre amis Gilles (gardien du refuge), retour au parking de Cambasque.

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La  pluie se remet à tomber !

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Au revoir . . . .

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Le lac Noir avec au fond à droite le Monné de Cauterets.

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Retour au Parking du terminus de la route du Cambasque (1370m).

1h15 depuis le refuge Raymond Ritter et 4h30 depuis le sommet du Grand Barbat.

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Merci aux encadrants que sont Jean-Paul et Mariano pour avoir fait cette longue randonnée 2 fois en 10 jours.