Randonnée pédestre au Turon de Goaïta (1805m)

Cabane du Bourdiou d’Aspeigt (842m).

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Depuis la cabane du Bourdiou d’Aspeigt, remonter la piste d’Ibech en direction du Sud-Ouest.

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Randonnée faite avec Geneviève, Delphine, Philippe et Thierry.

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L’itinéraire est très facile, il vous suffit de suivre la piste jusqu’à la cabane d’Ibech

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 ou couper tous les lacets en empruntant les sentiers (Sud-S.O).

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Chaque entrée des sentiers est balisée par un cairn.

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En général, à la montée les randonneurs restent sur la piste jusqu’à l’altitude 1250m,

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puis empruntent les deux derniers tronçons sur une sente bien marquée qui coupent 8 longs lacets.

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Jonction avec la piste vers 1430m.

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La suivre jusqu’à la cabane d’Ibech (plein Sud).

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Cabane d’Ibech (1443m) 1h45 depuis le départ.

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Le Lauriolle (1858m) magnifique sommet qui n’est pas à la portée du simple randonneur.

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Depuis la cabane d’Ibech (1443m), remontez vers le Sud-Ouest.

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Le sommet du Turon de Goaïta est visible de loin à droite du col de Barca.

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Le Lauriolle avec à sa gauche le sommet sans nom que nous ferons au retour.

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Vraiment aucune difficulté depuis le départ, si ce n’est les 1000m de dénivelé qu’il faut avaler.

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Delphine et Philippe.

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Thierry.

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Il n’est pas nécessaire de passer par le col de Barca, grimper directement au sommet,

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en le contournant par la gauche pour rendre la pente finale moins raide.

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L’arrivée au sommet du Turon de Goaïta (1805m).

2h45 depuis le départ pour 975m de dénivelé et une distance de 6,3km.

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Geneviève, Thierry, Mariano, Delphine et Philippe au sommet du Turon de Goaïta (1805m).

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3 Panoramas, dont un annoté, au format H.D

Photo souvenir avec Maxime rencontré au sommet.

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Delphine avec qui j’ai souvent randonné par le passé, très heureux d’avoir refait une sortie avec elle.

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Vers l’Ossau et le Sesques.

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Le Pic du Midi d’Ossau (2884m)

avec au premier plan le Pic Lorry (1889m) que j’ai prévu de faire prochainement.

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Le Balaïtous (3144m) avec au premier plan le Palas (2974m).

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Le Pic de Sesques (2606m).

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Le Pic de Ger (2613m).

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La vallée d’Aspe.

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Zoom sur le Pic d’Anie (2504m).

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Vers le Pic des Trois Rois (2444m) avec le Grand Billare (2318m) au premier plan.

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Le Mallo de Acherito (2362m) avec les cabanes d’Ansabère distantes de 23km.

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Le Pic d’Ansabère (2360m).

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Le pic de Soques (2716m).

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Vers le Pays basque avec le Pic d’Orhy (2017m).

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Le Lauriolle (1858m).

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Le Pic de Gerbe point culminant des rochers des cinq Monts.

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Vers Aydius et Osse-en-Aspe.

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Zoom sur le village d’Aydius (760m).

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Un planeur remorqué par un avion.

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Zoom sur le planeur.

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Un Aigle botté, une merveille !

C’est un rapace diurne au bec crochu, aux serres puissantes et aux ongles acérés. Il a de longues ailes larges. L’aigle botté a la taille d’une buse avec le dessus brun et quelques zones claires sur le dos, les ailes et la tête. Dessous brun foncé et parfois entièrement blanc. Sexes semblables.

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L’aigle botté est un rapace rare et très discret en France. On le trouve principalement dans le Sud-Ouest, sur une aire géographique limitée. C’est la première fois que je le rencontre en vallée d’Ossau, la dernière fois c’était en 2011 à la Montagne Fleurie dans les Hautes-Pyrénées.

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Un Milan Royal.

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Un Gypaète Barbu, il est passé au niveau du sommet du Lauriolle à 1200m du sommet du Turon de Goaïta, un peu trop loin pour bien le prendre même avec un 420mm (équivalent à un 630mm).

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Privé de montagne après ce confinement et ses 10 kilomètres autorisés, pas étonnant d’être restés 3h00 sur le sommet du Goaïta à discuter entre nous et avec nos deux sympathiques randonneurs  rencontrés au sommet (Maxime et Éric).

Pour le retour, revenir par le même itinéraire que la montée

ou comme nous, continuer sur le fil de crête jusqu’au sommet sans nom en face du Lauriolle.

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Aucune difficulté jusqu’au pied du sommet sans nom.

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La vallée d’Aspe sur notre gauche.

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La montée très courte au sommet.

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Delphine et Philippe montent directement au sommet

mais vous pouvez grimper sur le Pic en le contournant par sa droite (sans danger).

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Thierry arrive au sommet.

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Panorama vers l’Ouest.

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Delphine.

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Cliquer sur le menu déroulant ou sur l’étoile animée pour accéder au panorama de ce sommet sans nom:

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Suivre le fil de crête vers le Nord jusqu’à un petit col, rien de difficile.

Pour ceux qui sont sujets au vertige, descendre un peu avant dans la pente et rejoindre le col.

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Au col sans nom (1760m), descendre à droite dans la pente (Est).

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Par temps sec, aucune difficulté.

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Reste plus qu’à descendre ce petit vallon jusqu’à la cabane d’Ibech.

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Un couple de randonneurs dans la partie finale du Lauriolle.

Ce n’est pas la plus facile des approches pour arriver à la base du couloir final, c’est très très raide (45°) et il est préférable de continuer à grimper dans le vallon (Nord-Ouest), pour contourner ce gros bloc, puis de rejoindre la base du couloir. Voir le synoptique de l’itinéraire final.

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Très joli sommet que nous avions fait avec Corinne, Laure et Laurent en 2011 (voir ici),

j’ai prévu de le refaire prochainement, mais en passant par le pic de Lariou.

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Retour à la jonction de ce matin.

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Puis rejoindre la cabane d’Ibech.

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Cabane d’Ibech (1443m).

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Petite pause de 5 minutes avant de repartir.

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Le troupeau de vaches qui est monté hier pour 4 mois d’estive.

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Retour à la piste.

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orchis mâle

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Cette fois-ci pour la descente, nous prenons tous les raccourcis qui coupent les lacets de la piste.

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C’est beaucoup plus rapide et la pente n’est pas trop raide.

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Retour à la piste avant de couper à nouveau un dernier lacet.

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Dernier raccourci par le sentier vers 1105m.

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Retour à la piste pour la traversée du ruisseau d’Arriou Lassourde

avec le sourire d’Éric rencontré au sommet (un Ch’ti bien sympathique).

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Retour à la voiture.

Très belle randonnée de faite avec des paysages splendides sous une tempête de ciel bleu !

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Très belle journée passée en compagnie de Geneviève, Delphine, Philippe et Thierry.