Sortie hivernale au Pic des Escaliers et Pic Arthanolatze (1531m) depuis Iraty

Boucle hivernale au Pic des Escaliers (1472m), Pic d’Arthanolatze (1531m) et Cayolar de Murrolatze depuis les Chalets d’Iraty

  • Grande boucle: +560m – (1h15+1h+1h45)= 4h00 – 9 km Niv: Randonneur
  • Petite boucle: +530m – (1h15+1h+1h15)= 3h30 – 8 km Niv: Randonneur
  • Aller/retour au Cayolar de Murrolatze: +350m – (1h30+1h15)= 2h45 – 6 km Niv: Marcheur
  • Date: le 03.02.2023 – Pays Basque – Départ: Chalets d’Iraty (1327m)

Frustrés de ne pas avoir vu le soleil il y a une dizaine de jours au Pic des Escaliers (Voir le topo), nous sommes retournés avec Yves le vendredi 03 février 2023 avec cette fois-ci, une tempête de ciel bleu durant toute la journée.

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Difficultés:

  • Accès en raquettes à neige, ski-rando ou en crampons/piolet en fonction de l’enneigement et de la qualité de la neige.
  • Pour l’aller/retour au Pic des escaliers, rien de difficile lorsque les conditions d’enneigement sont bonnes, la courte montée en dévers depuis le col d’Iratzabaléta demande une vigilance extrême sur une cinquantaine de mètres en cas de pente verglacée (crampons/piolet pour s’arrêter en cas de glissade), c’est vraiment la seule difficulté pour cette montée au Pic des Escaliers.
  • Pour le second sommet, les pentes sont un peu plus raides (chausser les crampons en cas de neige dure ou verglacée).

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Important: Comme toutes les sorties hivernales, le danger est beaucoup plus grand que lors des sorties d’été, redoubler de vigilance et bien se remémorer les points essentiels décrits ci-dessous en cliquant sur les crampons:

La suite du Topo . . . . . . . . . .

La départementale D19 menant aux Chalets d’Iraty est complètement dégagée.

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Les premiers rayons de soleil sur le Pic d’Orhy (2017m).

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Départ depuis le col Col Bagargiak (1327m)

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Contrairement à la semaine dernière où nous avions emprunté la piste depuis le col Bagargiak,

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cette fois-ci nous suivons l’itinéraire d’été grimpant vers le Nord.

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De jolis chalets enneigés, il est rare de voir autant de neige au Pays basque.

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Vers 1340m, rester à gauche,

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puis descendre au col Iratzabaléta (Nord).

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La vue vers l’Est du Rocher d’Aran (1796m) au Gabizos (2692m).

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L’arrivée au col d’Iratzabaléta (1248m).

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15 minutes depuis le départ. Pour les marcheurs, prendre la piste qui monte à droite sur la photo en direction de l’Ouest. A chaque croisement de piste, prendre celle qui part toujours à droite jusqu’à la cabane, retour par le même itinéraire.

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Pour le Pic des Escaliers, c’est ici que nous chaussons nos raquettes à neige.

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La montée en dévers sur 50m où il faut rester vigilants,

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Aujourd’hui, la neige est top, nous restons en raquettes sans chausser nos crampons.

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La vue au loin sur le Pic d’Anie (2504m),

le Pic des trois Rois (2444m), le Pic d’Ansabère (2360m) et le pic d’Achérito (2362m).

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Yves dans la montée au Pic des Escaliers avec le Pic d’Orhy et ses 2017m d’altitude en arrière plan.

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L’itinéraire est très facile, il suffit de suite l’itinéraire du GR10 jusqu’à la bifurcation 1390m.

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La vue sur nos 4 objectifs de la journée.

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La photo de l’arbre de gauche il y 10 jours

C’était féérique, il ne manquait que le ciel bleu d’aujourd’hui.

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Il reste encore néanmoins encore un peu de givre sur certains arbres.

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Point clé vers 1390m,

laisser à gauche l’itinéraire d’été du GR10 qui mène au col Lepo Txipia, pour grimper tout droit vers le Nord.

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Yves au sommet du Pic des Escaliers (1472m) Compter 1h15 depuis le départ.

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Frustré il y a 10 jours, cette fois-ci, le panorama sur 360° est dans la boîte, et il est très beau !

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Cliquer sur le Pic des Escaliers ou sur celui Annoté depuis le menu déroulant en bas à gauche.

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Vers le Mailh Massibé (1973m).

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Vers le Pic du Midi de Bigorre (2872m) distant de 96km.

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Vers le Pic d’Anie.

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Zoom sur le Pic d’Anie (2504m).

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Vers le Pic d’Ansabère (2360m).

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Vers le sommet de Otsogorrigaina (1923m).

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Le Pic d’Orhy (2017m).

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Le Pic d’Iparla (1044m).

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Panorama vers l’Ouest vers l’Autza (1306m).

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Le Pic Béhorléguy (1265m).

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Odeizügoña (1613m).

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Après une petite pause de 10 minutes pour prendre des photos,

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nous suivons la crête en direction de l’Ouest pour la montée au Pic d’Arthanolatze (1531m).

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La vue sur le cayolar de Murrolatze (1370m). Cayolar est un terme employé en Basse-Navarre,

en Soule, mais aussi en Haut-Béarn. Il désigne initialement un abri de berger en pierre, assez sommaire.

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Une seule trace devant nous, certainement faite hier dans la journée.

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Col Lepo Txipia (1426m).

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Derrière nous, le Pic des Escaliers avec au loin, la ville de Pau distante de 60km à vol d’oiseau.

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Un bonheur de pouvoir randonner dans ce décor sublime,

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de toute beauté !

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La montée au  Arthanolatze se fait sans problème lorsque les conditions d’enneigement sont bonnes.

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L’utilisation du Piolet:

Ce n’est pas dans des pentes à 45° avec une barre rocheuse sous vos fesses qu’il faut apprendre à marcher avec des crampons et à savoir utiliser le piolet. C’est l’occasion pour Yves de s’habituer à la marche avec crampons et surtout comment doit-on tenir un piolet à la main ?

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Avec la technique dite du « Piolet canne »,

la lame du piolet est toujours dirigée vers le bas et non pas comme sur cette photo.

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C’est rectifié sur cette photo suivante, en cas de chute, on peut utiliser la poignée pour se retenir et ainsi on ne risque pas de se blesser avec la lame.

Sur la glace, névé ou neige gelée, une chute est vite arrivée. Même sur un terrain modérément escarpé de 30 à 35 degrés, on risque d’accélérer et de glisser très rapidement. On peut atteindre des vitesses aussi élevées que celles de la chute libre. C’est pourquoi, il est important de s’entraîner au freinage sur des pentes de neige courtes, dégagées et sans obstacles, afin d’automatiser le processus et de pouvoir réagir instantanément dans la seconde qui suit et même en une fraction de seconde !

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Faut-il avoir une dragonne sur le piolet ? Elle peut rassurer pour certains, mais dans les faits, elle s’avère gênante, voire très dangereuse, pour cette raison, je vous déconseille son emploi. (Il y a déjà eu des accidents très graves ou mortels à cause de la dragonne), pour moi, il est plus risqué qu’utile !).

Pour finir sur l’utilisation du Piolet, il vous sera impossible de vous arrêter avec vos bâtons traditionnels de marche, seul le piolet pourra stopper votre chute ou votre glissade. Par 2 fois dans le passé, j’ai eu à utiliser mon piolet dans des pentes en dévers à 45° (Face Nord du Petit Arriel), heureusement à chaque fois, je me suis arrêté immédiatement grâce à la rapidité avec laquelle j’avais planté le piolet, il faut aller vite, très vite en une fraction de seconde, sinon vous prenez de la vitesse et ensuite c’est trop tard, il vous sera impossible de vous arrêter. Peut-être que vous n’aurez à l’utiliser qu’une seule fois dans votre vie de montagnard, mais ce jour là, vous pourrez dire: « Mon piolet m’a sauvé la vie ! ».

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Sommet du Arthanolatze (1531m) appelé aussi Arthanolatzegagnia) 1h depuis le Pic des Escaliers.

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Yves et Mariano au sommet du Arthanolatze avec une vue extraordinaire derrière nous.

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Cliquer sur Arthanolatze ou sur celui Annoté depuis le menu déroulant en bas à gauche.

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La vue vers l’Est avec le pic des Escaliers (1472m) où nous étions tout à l’heure.

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André n’avait pas pu activer le sommet lors de notre sortie du 24 janvier pour cause de mauvais temps,

c’est chose faite aujourd’hui avec plus de 100 QSOs réalisés à travers le monde, c’est quoi le Sota ?

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Vers le Pic du Midi de Bigorre (2872m).

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Soum Couy (2315m) et Pic d’Anie (2504m).

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L’Otsogorrigaina (1923m).

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Le Pic d’Orhy (2017m).

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Panorama vers l’Ortzantzurieta.

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Vers l’Autza (1306m).

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Vers le Mendaur (1131m).

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L’Ortzantzurieta (1566m).

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Vers Gorramakil (1090m) et le Pic d’Iparla (1044m).

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Vers l’Océan avec la ville de Bayonne distante de 60km.

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Nous avons hésité à continuer sur la crête pour faire une grande boucle en passant par le lac d’Olzaluréko Erréka, mais après réflexion, il était plus judicieux de descendre à la cabane de Murrolatze pour casser la croûte avec un balcon de choix sur la chaîne enneigée des Pyrénées.

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Nous prévoyons de revenir par le col Héguichouria (1320m) que l’on voit ici sur la photo.

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Pour la descente, nous gardons nos crampons jusqu’à la cabane.

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Avant de plonger sur la cabane, nous allons gravir ce petit sommet pour y faire un joli panorama.

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La montée se fait rapidement.

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Sommet du Pic Murrolatze (1424m) 15 minutes depuis le sommet du Arthanolatze.

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Cliquer sur le Pic Murrolatze depuis le menu déroulant en bas à gauche pour voir le panorama sur 360°.

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La descente vers la cabane.

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Cayolar Murrolatze (1370m).

Compter entre 15 et 20 minutes depuis le sommet d’Arthanolatze.

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Casse-croûte à la cabane devant un joli balcon.

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Après 1 heure,

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nous reprenons notre chemin par la piste

jusqu’au point clé des 2 choix d’itinéraires pour le retour à la voiture (vers 1210m).

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L’itinéraire descend en gros vers le Sud en effectuant plusieurs lacets.

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Vers 1296m d’altitude, vous pouvez aller voir le Cayolar d’Arthanolatze à 50m et revenir en arrière.

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Cayolar d’Arthanolatze (1300m).

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Important: vers 1270m, ne pas suivre la piste vers la droite qui file vers l’Ouest,

mais rester bien sur celle qui descend à gauche (Sud-Est) pour arriver à la bifurcation des 2 boucles (1210m).

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Bifurcation des 2 boucles vers 1210m:

  • Petite boucle (30mn): continuer tout droit pour rejoindre le col d’Iratzabaléta (1248m) et revenir par le même itinéraire que le matin ou par la piste jusqu’au col Bagargiak.
  • Grande boucle (1h00): Quitter la piste vers 1210m d’altitude et s’orienter vers le Sud en suivant ce topo qui passe par le col d’Héguichouria (1320m).

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Des portions hors traces, Gps recommandée.

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Traverser le ruisseau Iratzabalétako Erréka, puis continuer vers le Sud.

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Sans la trace Gps, vous aurez peut-être comme nous,

la chance d’avoir des traces de faites sur la neige, sinon vous galérerez certainement un peu, mais sans danger !

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Abri vers 1190m d’altitude.

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Quitter la piste après l’abri sur votre gauche, puis traverser le ruisseau.

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Grimper ensuite vers l’Ouest jusqu’à une piste.

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Pas facile de bien vous expliquer l’itinéraire, le mieux c’est de charger la trace Gps.

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Vers 1306m, suivre la piste en direction du Sud-Ouest jusqu’au col Héguichouria.

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Col Héguichouria (1320m) Compter 30 minutes depuis le Cayolar de Murrolatze.

Centre de location de raquettes à neige et épicerie des Chalets d’Iraty.

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Plan des pistes de Ski et raquettes à neige, attention l’accès à ces pistes est payant, se renseigner !

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Retour par la départementale D19.

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Compter entre 10 et 15 petites minutes.

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Les arbres de ce côté sont encore givrés, rendant à ce paysage une dimension encore plus magique !

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Retour à la voiture au col Bagargiak (1327m),

Compter 1h30 pour la grande boucle et 1h00 pour la petite boucle depuis le cayolar de Murrolatze.

L’enneigement est très aléatoire à Iraty, surtout au Pays basque où les sommets dépassent que très rarement les 1500m, signe également des changements climatiques de ces dernières décennies, avec les quantités exceptionnelles de neige tombées ces derniers jours, il ne fallait surtout pas manquer cette belle journée ensoleillée, nous nous sommes régalés !

4 réponses
  1. Florence VERDIER dit :

    Merci, Mariano, pour le reportage de ces 3 dernières sorties. Je prends note pour le piolet, car j’avais appris (pourtant d’un guide), mais il y a fort longtemps, à mettre la lame en interne. Donc, je vais bien vite changer cette vieille habitude !
    J’attends maintenant avec grande impatience la fin de semaine pour notre migration hivernale vers les Hautes-Pyrénées pour une semaine et qui sera bien sûr beaucoup trop courte. J’ai tellement hâte de profiter de toutes les merveilles que ces belles montagnes voudront bien m’offrir !

    Répondre
  2. Lae dit :

    Bonjour Mariano,
    grâce à vos récits toujours subliment agrémentés d’images, nous avons fait cette randonnée, en partie, ce même vendredi. C’était magique !!!
    Je comprends la frustration du 26/1 cependant voir les arbres parés de leur plus beaux givres est féérique.
    Merci

    Répondre
  3. Serge dit :

    Bonjour Mariano
    Vous avez bien fait d’y revenir, avec une météo pareille c’est magnifique ! Belle sortie encore bravo à vous deux
    Amitiés
    Serge

    Répondre
  4. Lascaray Francine dit :

    Bonjour Mariano. Quel régal vos photos ! Sublimissimes !
    Par contre, la façon de tenir le piolet m’a interloqué : je le tiens toujours lame interne : figurez-vous que je viens de regarder une vidéo pour mieux comprendre le pourquoi du comment (en demandant sur qoogle bonne façon de tenir un piolet ?) On vous propose : Dans quel sens tenir un piolet canne ? (Où je suis allée ) les 2 seules raisons pour tenir un piolet comme je le fais , c’est le confort de préhension (je le confirme) et dans une pente bien redressée quand on monte droit devant soi (ce qui nous arrive également ) mais quand on monte en lacet par exemple, je ne dois plus le tenir ainsi (en interne) mais bien en externe. Une fraction de seconde peut sauver une vie et quand vous devez tourner le piolet même d’1/4 de tour, vous pouvez même le lâcher dans l’urgence. Et changer une habitude ce n’est pas si facile que cela !
    Attention à moi ! Attention à nous tous ! Merci infiniment Mariano et à bientôt.
    Francine

    Répondre

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