Raquettes au Mont Né (2147m)

Sortie hivernale au Mont Né (2147m) en boucle depuis Bourg d’Oueil

  • Dénivelé +850m – 9 km – (3h15 + 1h45)= 5h00 – Niveau: Randonneur
  • Date: le 23.02.2014 – Luchonnais – Départ: Village Bourg d’Oueil altitude: 1336m.

Le pic du Mont Né est un merveilleux belvédère, allant du cirque de Gavarnie aux Encantats en passant par la Haute-Ariège avec une vue panoramique incomparable sur les 3000 du Luchonnais. D’un accès rapide et facile, ce modeste sommet est très convoité surtout en été où les randonneurs peuvent démarrer depuis le Port de Balès (1755m). Mais Attention, en hiver les conditions hivernales peuvent rendre cette ascension délicate et périlleuse si les conditions du moment ne sont pas favorables.

Raquettes-Mont-Ne-Luchonnais-2147m_000

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Difficultés: pas de difficultés majeures lorsque les conditions hivernales sont correctes. Crampons et piolet obligatoire si la montée au Mont Né depuis le col de Pierrefitte est verglacée. Zone avalancheuse à proximité du col de Pierrefitte (en dessous de la Crête de Téchouède).

Vérifier avant de partir:  le temps, les hauteurs de neige et l’indice du Risque d’Avalanche.

La suite du Topo . . . . . . . . . .

Village de Bourg d’Oueil (1336m).

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Deux possibilités pour garer sa voiture: soit à l’entrée du village comme nous (4 à 5 emplacements) ou à la fin du village (30 à 40 emplacements).

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Carte 3D

La plus part des randonneurs effectuent l’aller/retour par le col de Pierrefitte, mais il est toujours plus agréable de faire une boucle comme sur ce topo.

Si le niveau d’indice d’avalanche est = ou > à 3, il est préférable de faire l’aller retour par la droite et ainsi éviter la zone avalancheuse juste en-dessous du Port de Pierrefitte.

Carte-3D-Mont-Ne-Luchonnais

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Depuis l’entrée du village, nous remontons une petite route étroite en direction de l’église.

Randonnée faite avec Nadine et Jean-Luc.

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Eglise Saint-Blaise.

Cette église date du XIème et XIVéme siècle. Cette église aux substructions romanes possède des arcs et des voûtes gothiques. Son clocher-mur abrite deux cloches. La première fondue en 1509, porte une invocation à saint-Martin. La seconde, datée de 1765, associe saint-Blaise à saint-Martin. Ses parrains sont Silvestre Mathieu et Jeanne Cargue. Présents dans le bourg pendant longtemps avant de partir au XXéme siècle, les Cargues y possédent une maison noble romane. Avant 1911, un abbé Mathieu est curé de saint-Mamet. L’autel majeur moderne doit être celui de sa première messe. Les deux cloches sont classées depuis 1942, et l’église et son site depuis 1944. Le clocher-pignon à deux baies géminées sur deux étages, séparées par des colonnes.

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En quelques minutes, nous récupérons la piste menant au Port de Balès.

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Ci-dessous un groupe de randonneurs montant au Mont Né par le Port de Pierrefitte.

(Itinéraire de retour pour notre boucle)

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Avec au loin, une vue sur le port de Pierrefitte (1855m).

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Quand à nous, nous suivons la piste vers le Nord-Est.

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Bifurcation altitude 1420m (20 petite minutes depuis le départ). Panneau indiquant à gauche col de Pierrefitte et Mont Né (3h), compter plutôt 2h30 pour le sommet (voir Ici le sentier reliant les deux versants).

Pour la boucle et le Port de Balès, prendre à droite.

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L’objectif de la journée est droit devant nous, le Pic du Mont Né (2147m).

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Sommet défendu par une corniche assez imposante sur toute sa longueur.

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Il fait un temps splendide !

La nuit a été étoilée et très froide ce qui a rendu la neige très dure et croûtée en surface.

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Après avoir longé plusieurs fois le bord de la piste enneigée avec un risque de glissade dans le ravin, nous prenons l’option de mettre les crampons plutôt que les raquettes (en effet les raquettes en dévers c’est pas le top).

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En hiver, pensez toujours à avoir les crampons dans le sac à dos, même pour des randonnées faciles.

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C’est tout de suite nettement mieux et plus sécurisant !

Sur neige dure avec une pente importante, avoir des crampons au pieds c’est bien, mais sans piolet serait très dangereux (pas de possibilité de s’arrêter), associer toujours les crampons avec le piolet et surtout penser à faire des exercices afin d’apprendre à s’en servir, Il est vivement conseillé de suivre quelques cours pour se familiariser avec le maniement du piolet.

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Les crampons sont rarement utilisés et il faut s’y prendre à deux fois pour bien les ajuster !

Aujourd’hui avec cette neige très dure en surface, l’usage des crampons va s’avérer être la bonne option, puisque nous allons les garder aux pieds toute la journée laissant les raquettes à neige derrière nos sac à dos.

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La corniche du sommet du Mont Né.

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Les chocards se trouvent en haute montagne jusqu’à 4 000 m d’altitude, dans les Alpes, les Pyrénées, les Abruzzes, les Balkans, en Corse, dans le Caucase et en Asie centrale (Himalaya).

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Le chocard est souvent nommé à tort choucas (Corvus monedula), un autre corvidé de taille et de poids approximativement équivalents, ils se distinguent essentiellement par la couleur du bec, jaune chez le chocard et noir chez le choucas, et par la couleur des pattes, rouge chez le chocard et noire chez le choucas. Le choucas, honnête « voletailleur », en général ne dépasse pas l’altitude de 1 000 mètres, bien qu’il en ait été observé jusqu’à 2 000 mètres, alors que le chocard est un planeur des cimes hors pair qui sait profiter du moindre courant ascendant et qui effectue lors de ses vols des vrilles aériennes. Il a aussi été observé des bandes de chocards pourchassant des aigles ou des vautours pour porter secours à un congénère en difficulté, et il n’est pas rare de rencontrer des chocards au sommet du mont Blanc accompagnant les alpinistes pour quémander leur casse-croûte ; il est d’ailleurs tout à fait déconseillé de nourrir ces oiseaux sauvages notamment avec du pain car, comme beaucoup d’oiseaux, ils ne digèrent pas le gluten du blé.

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Après 1h15 de marche, vue derrière nous sur le pic d’Aneto qui commence à montrer le bout de son nez.

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Pic d’Aneto et ses 3404m (plus haut sommet des Pyrénées) avec à sa droite le glacier de la Maladeta.

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L’itinéraire est évident, il faut suivre le vallon vers le Nord-N.O à droite du sommet, et ne pas se laisser trop attiré vers la gauche.

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Un ciel tout bleu !

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Nadine et Jean-Luc.

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Vue derrière nous sur le vallon que nous venons de monter.

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En hiver, le sentier est recouvert par la neige et il faut quelques notions d’orientation, une carte et une boussole ne vous seront pas inutiles, et si vous avez un Gps c’est encore mieux.

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En été même si vous vous éloigner du sentier, il est possible de monter plus ou moins tout droit vers la crête sans grand danger. Par contre en hiver, lorsque toute la crête est défendue par une large corniche, il faut la contourner par la droite et par rapports aux conditions d’enneigement parfois aller jusqu’au col de Cardouet puis remonter sagement toute la crête jusqu’au sommet.

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Nadine.

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Quelle vue ! ! !

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Jean-Luc.

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Nadine.

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Panorama vers les sommets de l’Ariège.

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Le Luchonnais en hiver, c’est une autre dimension, superbe !

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Vers le Maubermé et ses 2880m.

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C’est la deuxième fois en 7 ans que je garde les crampons aux pieds toute la journée.

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Un plaisir !

Les raquettes à neige, même si elles ont été améliorées ne sont pas faites à la base pour gravir des sommets, surtout en dévers.

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Altitude 1850m.

A partir d’ici, il faut légèrement partir à droite (plein Nord) pour aller vers le col de Cardouet.

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Mais Jean-Luc, est attiré toujours vers la gauche sans tenir compte de mes recommandations qui étaient de continuer vers le Nord (à droite).

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C’est en prenant de la hauteur (2000m) que Jean-Luc se rend compte de notre petite erreur.

Et bien que nous soyons sur le sentier d’été montant directement au sommet, nous changeons de cap !

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Le col de Cardouet est là-bas.

Après réflexion et concertation, nous décidons de nous hisser sur la crête par cette petite brèche à gauche dans la corniche en laissant le col de Cardouet sur notre droite.

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Le paysage est tout simplement extraordinaire !

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Nous perdons un peu de dénivelé pour nous remettre dans le bon itinéraire.

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Mariano et Nadine.

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Si les corniches sont imposantes,

il est préférable d’aller jusqu’au col de Cardouet (flèche verte) et revenir par la crête en toute sécurité.

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Corniche.

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Nous sommes très étonnés de voir un joggeur

cassé la corniche puis descendre tant bien que mal avec ses chaussures de trail.

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Manifestement il connait bien le terrain, car c’est exactement à cet endroit que passe le sentier d’été.

Le plus dur pour lui est fait, son chien n’a plus qu’à le suivre.

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Et manifestement, il est très affûté ! ! !

Il me fait penser à Kilian Jornet, courir comme ça dans la neige, un peu comme les Isards, chapeau !

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De ce côté, impossible de monter.

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Et par là non plus !

Le joggeur devait connaitre exactement l’endroit où descendre pour casser la corniche sans se retrouver avec 3m de neige sur lui !

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Retour à la randonnée avec derrière nous des paysages splendide côté Ariège.

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Maubermé (2880m).

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Nos traces derrière nous.

Nous aurions pu continuer tout droit depuis cette crête pour monter par où le joggeur était descendu (itinéraire le plus court en été pour monter au Mont Né), mais fallait-il encore le savoir que la corniche venait d’être cassée !

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Quand à nous, nous avons repéré un passage où la corniche est un peu affaiblit et c’est par ce point faible que nous allons atteindre la crête du Mont Né.

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Evidemment, la pente se raidit subitement !

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Crampons et piolet obligatoire !

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Ne pas s’aventurer si vous n’avez pas l’expérience de la haute montagne et si vous n’êtes pas équipé !

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Oui, la pente est raide !

La photo se passe de commentaire.

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La crête à droite où le Joggeur est descendu, c’est tout de même raide surtout avec des chaussures de trail !

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Nadine et Jean-Luc.

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Nadine et son beau sourire.

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Jean-Luc en tête de cordée.

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Superbe montée, raide mais sans grand danger.

Au pire, une glissade nous aurait fait remonter à nouveau en laissant forcément quelques forces !

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A quelques mètres de la crête . . .

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Nos traces derrière nous.

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Les derniers mètres pour Nadine et Mariano.

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Jean-Luc est le premier à atteindre la crête du Mont né.

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Nous avons bien fait de nous tromper et monter par cette voie rien que pour notre plaisir, un régal !

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Jean-Luc.

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Mariano et Nadine.

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Vue depuis la crête sur la pente que nous venons de gravir.

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Depuis la crête, vue vers le col de Cardouet où nous avions prévu de monter au départ de cette randonnée. On voit bien sur cette photo qu’il n y aucune difficulté pour suivre la crête et monter au Mont Né en passant par le col de Cardouet.

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Nous remontons la crête en direction du Sud,  jusqu’au sommet du Mont Né sans aucune difficulté.

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Les corniches du Mont Né.

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Panorama superbe en direction de l’Ariège.

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Nous avons toujours nos crampons aux pieds, ils ne nous quitteront plus jusqu’au retour.

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La crête où le Joggeur est descendu avec son chien,

un peu raide et dangereux de descendre avec des des chaussures de trail par cette pente très soutenue !

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Vue derrière nous en direction du Nord.

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La ville de Saint-Gaudens avec  au premier plan, le Pic de Mont Las (1729m).

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Des corniches entre 2 et 3m, voir même plus !

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Je me suis fait un peu peur ! ! !

Pourtant, j’avais gardé une distance de sécurité de 3m et manifestement ce n’était pas encore assez !

J’ai vite remonté mon pied en basculant mon corps côté crête, comme quoi 3m ne suffisent pas, vaut mieux garder 5m de sécurité pour être sur de ne pas basculer de l’autre côté.

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10 petites minutes suffisent pour atteindre le sommet.

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Sommet du Mont Né (2147m)

Nous avons mis 3h (pauses comprises) compter entre 2h45 et 3h15.

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Heureux de cette belle petite montée:  Jean-Luc,  Nadine et Mariano.

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Panorama exceptionnel depuis le sommet:

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Ci-dessous, les 11 photos extraites du panorama:

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Jean-Luc et Nadine face à l’immensité !

c’est dans ces moments-là que l’on se sent tout petit . . . . .

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Le Pic du midi de Bigorre (2872m).

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L’Arbizon (2831m).

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Le Campbieil (3173m) et le Pic Long (3192m).

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Le Campbieil (3173m)

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Le Pic Lustou (3023m).

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Une très belle corniche.

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Le Massif de la Maladeta  avec le seigneur de ces  lieux: l’Aneto.

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Le Pic Aneto (3404m).

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Le pic Hourgade (2964m).

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Panorama vers l’Ariège et le Maubermé (2880m).

Le Mont Valier (2838m) est juste derrière caché par le massif du Maubermé.

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Panorama vers Gavarnie.

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Le Cylindre (3335m), le pic du Marboré (3248m) avec au premier plan à droite le pic de la Gela (2851m).

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Le Soum des Salettes (2976m).

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La ville de Tarbes distante de 52 km.

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Y a du monde au sommet.

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Le Néouvielle 3091m avec à sa gauche le Turon de Néouvielle (3035m).

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On voit bien sur cette photo que 3m de sécurité ne suffisent pas !

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Panorama vers le Sud-Ouest.

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Panorama vers le Sud-Est et la vallée de Bourg d’Oueil.

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La Munia (3133m).

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Après 30 minutes,

nous quittons le sommet en direction du Port de Pierrefitte afin de nous restaurer à l’abri du vent.

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Quelques mètres en-dessous du sommet, plus de vent, que tu bonheur !

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Un panorama unique devant nous, sous une tempête de ciel bleu, que demander de plus !

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Le lac de Bordères (1800m).

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Appelé aussi lac de Bareilles.

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L’observatoire du Pic du midi de Bigorre (2872m).

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Panorama vers l’Ouest (Arbizon et Midi de Bigorre).

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 Des snowboarders descendent depuis le sommet vers le Port de Pierrefitte.

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Avec l’Aneto en fond d’écran, il y a pire !

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Avec le beau temps d’aujourd’hui, raquettistes, snowboarders et skieurs se partagent l’espace.

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Le Campbieil (3173m).

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Pic d’Espingo (2856m) et Pic de Hourgade (2964m).

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Les stations de skis sont aussi prises d’assaut !

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Panorama vers la plaine avec la ville de Tarbes distante de 52 km.

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Turon de Néouvielle (3035m) et le Pic de Néouvielle (3091m).

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Aujourd’hui les conditions sont bonnes, donc pas trop de danger concernant les coulées de neige, mais lorsque le risque est élevé (voir Ici), attention au passage en dessous du Port de Pierrefitte, la crête de Téchouède peut à tout moment, laisser partir des masses comme celles-ci.

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L’Aneto (3404m) plus haut sommet de toute la chaîne des Pyrénées.

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Le glacier de la Maladeta.

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Le village d’Arreau (720m) distant de 10 km..

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Côté vallée de Boug d’Oueil.

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Et son village (1336m) départ de cette randonnée.

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Corniches et coulées sur l’itinéraire de descente vers Bourg d’Oueil.

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Traces de descente après le Port de Pierrefitte avec deux coulées inoffensives aujourd’hui.

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Le Tuc de Mulhères (3010m),

un 3000 de plus  avec en bas de l’image la station de ski de Superbagnières (1760m).

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Le Port de Balès (1755m).

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La route montant au Port de Balès  fermée à 2 km de Bourg d’Oueil.

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Le Port de Pierrefitte (1855m), itinéraire de retour pour la boucle.

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Le massif imposant et grandiose de la Maladeta.

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Après 1h45 de pause pour se restaurer et admirer le paysage, il faut malheureusement rentrer !

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Direction le Port de Pierrefitte (Sud-S.O) qui est à deux pas de nous (-160m de dénivelé).

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Si la neige est verglacée, crampons obligatoire !

Aujourd’hui, même si les conditions sont bonnes, crampons ou raquettes au minimum.

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Sans être très très raide,  on imagine bien une personne n’ayant pas les accessoires indispensables faisant une glissade à cet endroit, ce serait un joli toboggan  avec une réception au niveau du col de Pierrefitte (600m plus bas), vous imaginez la suite . . . .

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Un peu en-dessous du col de Pierrefite, les raquettistes suivront les traces du dessus (bois) alors que ceux qui sont chaussés de skis descendront plutôt par la gauche pour profiter d’une belle petite descente.

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S’il y a des risques d’avalanche, attention au niveau de ce passage.

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Col de Pierrefitte (1855m).

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Un superbe menhir érigé au centre d’un cromlech.

A la fin du XIXème siècle, Sacaze signalait: « à l’intérieur d’un cromlech de 4 mètres de diamètre est circonscrit un second de 2 m de diamètre entourant le menhir ». En fait, on ne voit aujourd’hui qu’un seul cromlech autour du menhir. Ce menhir, est un bloc de calcaire, qui, si on en juge sa nature géologique, provient des environs de Saint-Béat.

Ceux qui l’ont édifié l’ont donc transporté sur une distance de 20 km. Sa silhouette évoque de toute évidence un phallus. Jusque vers 1950, les filles de la vallée, en quête d’un amoureux ou les femmes en mal d’enfant allaient l’embrasser et chantaient une chanson pour obtenir un bel héritier.

Ce menhir a été victime d’une pelleteuse de la DDE en 1982 pendant l’aménagement d’une aire de stationnement. Il est resté couché sur la pente herbeuse jusqu’à ce que les villageois de Bourg d’Oueil, désolés de ne plus l’apercevoir en haut du col, décident de le remettre en place. Renseignements collectés sur le site « Mégalithes du monde ».

Texte récupéré sur le site de notre ami Jean-Paul Dugène (Voir sa rando en été)

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Depuis le Port de Pierrefitte, descendre vers le village de Bourg d’Oueil (Sud-Est).

Compter une petite heure pour le retour au village.

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Une dernière vue sur ce modeste sommet qui ne paye vraiment pas de mine,  mais qui possède un des plus beau panorama de toute la chaîne.

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C’est un peu pentu mais rien de comparable avec notre montée de ce matin au niveau de la corniche.

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Nadine.

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Nous laissons le Port de Pierrefitte derrière nous.

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Coulée à traverser.

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Les skieurs descendent le vallon tout droit alors que nous en crampons (ou raquettes à neige) prenons l’itinéraire rentrant dans le bois (Sud-Est) dans un premier temps puis Est-S.O jusqu’au village.

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Entrée du bois.

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Nadine et Mariano.

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Panneaux.

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Impossible de se tromper, il suffit  descendre le vallon en suivant les traces.

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Sentier reliant les deux versants et qui aboutit à la bifurcation de ce matin (Voir Ici)

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Le village de Bourg d’Oueil.

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Village de Bourg d’Oueil.

Pour ceux qui se garent à la fin du village au niveau des Téleskis, la piste goudronnée de gauche rejoint l’itinéraire que nous avons emprunté ce matin.

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La petite station de ski de Bourg d’Oueil (1336m).

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Retour à l’entrée du village.

(1h depuis le col de Pierrefitte et 1h30 depuis le sommet du Mont Né).

Merci à Nadine et Jean-Luc pour m’avoir accompagné tout le long de cette belle et inoubliable sortie !

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Télécharger le Fond d’Ecran de la randonnée ci-dessous au Format HD (1920×1080 pixels)

Clic droit, puis enregistrer la cible ou le lien sous . . .

12 réponses
  1. gar du 47 dit :

    Merci Mariano
    pour cette belle rando que j’ai effectué en début de juin dernier.
    Au niveau difficulté rien de comparable la corniche était encore présente mais j’ai fait la boucle au sec.
    Bravo à tous les trois

  2. Lili dit :

    Mariano,
    une belle balade sportive à travers un décor de neige magnifique avec un temps formidable pour apprécier cette nature. les corniches vraiment impressionnantes et tellement dangereuses…merci Mariano pour ce topo…a+

  3. michel dit :

    Quel splendide topo!
    Tout était au rendez vous : neige, soleil, panoramas fabuleux et grandioses!!!
    Merci Mariano et félicitations, car c’est quand même sportif!

  4. saint mezard michel dit :

    super Mariano
    trouve-nous beaucoup de randonnées de cette classe
    mais je trouve que certaines pentes sont un peu fortes : existe-t-il des risques quand la neige est gelée ?

  5. Joëlle et Jean Michel dit :

    Bonjour Mariano
    Quelle magnifique sortie…et quel panorama au sommet ! ! !
    Intéressant de voir que les chaussures de Nadine et Jean-Luc (Meindl et Lowa ?) peuvent accepter occasionnellement les crampons
    Merci pour toute ces belles phtos ! ! !
    Joëlle et Jean Michel

  6. BERENICE (Asturiana) dit :

    LE REVE DANS TOUTE SA…………….. BLANCHEUR!!!!!!
    Merci pour ces belles images : on ne s’en lasse pas !

  7. Jacques Robert dit :

    Bonjour Mariano,
    La météo se prêtait vraiment à ce genre d’ascension. Vos clichés sont magnifiques sous ce ciel de carte postale. La journée a du être un bonheur pour tous les trois et vous avez bien fait d’en profiter.
    Je suis sur que votre prochain topo sera un régal pour les amoureux de la montagne et les amateurs de belles photos.
    Bonne journée.
    Amicalement

  8. am dit :

    Attention Mariano, le printemps arrive. Avec le soleil de ce we, protégez la peau de votre crâne.
    A Oloron Laulhère fabrique des bérets présentés au salon de l’agriculture. Le béret n’est pas l’apanage des paysans. Lancez la mode. D’accord s’il y a du vent ou bien si vous descendez trop vite!….
    J’attends la suite pour le Mont Né. Bonne journée dans la neige? am

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