Vire Escuzana, vire Tardiador et vire des Fleurs en boucle depuis boucharo

Enchainement des 3 vires (Escuzana, Tardiador et Faja de las Flores), en boucle par le port de Boucharo et la brèche de Roland depuis le col des Tentes.

  • Les 3 vires (Escuzana/Tardiador/Faja de las Flores: +1800m – 12h00 – 25 km Niv: Montagnard
  • Les 2 vires (Vire de l’Escuzana et Faja de las Flores): +1740m – 10h00 – 22 km Niv: Montagnard
  • Date: le 23.07.2022 – Hautes-Pyrénées/Espagne – Départ: Col des Tentes (2207m)

Un itinéraire royal avec l’enchainement des 3 vires de la Faja Escuzana, la Faja del Tardiador et la Faja de las Flores. Un émerveillement tout au long de cette boucle avec un spectacle grandiose de tous les instants sur les 3 vires et surtout sur celle del Tardiador la plus belle et la plus sauvage des trois.

Les distances et temps sur les vires:

Escuzana: 1,5km (45 minutes) – Tardiador: 3km (entre 1h et 1h15) – Vire des Fleurs: 3,7km (entre 1h30 et 1h45)

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Difficultés:

  • Très longue randonnée de plus de 11h00 (Compter 12h sans les pauses et 14h00 au total), être en excellente condition physique et n’oubliez surtout pas l’eau (au moins 3 litres).
  • La Faja de l’Escuzana, une merveille de la nature qui s’effectue sur un sentier de 1,5 km sans difficulté en l’absence de neige et par une journée de beau temps.
  • La Faja del Tardiador est la plus belle et la plus sauvage des trois, mais aussi potentiellement la plus dangereuse, sans être très difficile, la vire se déroule sur un sentier très étroit par endroit où la vigilance est de rigueur, il faut en permanence rester concentrés pour éviter une glissade qui serait fatale à coup sûr ! elle comporte également 2 passages qu’il faut désescalader sur 2m50 (Niv: II+ voir un pas de III). Pour ceux qui veulent éviter cette vire Tardiador, il vous suffit de descendant directement à la vire des Fleurs depuis la Punta de Escuzana ou depuis le col de Mondarruego sans aucune difficulté.
  • La Faja de las Flores est la plus connue de toutes, elle se déroule sur un sentier naturel en corniche qui longe sur 3,7 km une partie du canyon d’Ordesa sans vraiment de difficulté, elle relie le cirque de Carriata au cirque de Cotatuero à 2400m d’altitude.
  • Le reste du parcours ne comporte pas de difficulté réelle si ce n’est d’avoir le sens de l’orientation (bien suivre les cairns) et le couloir vertical après le plan de Narciso (Plano de Millaris)  Niv: II+ et un pas de III que vous pouvez éviter en le contournant par la gauche.
  • Il n’y a pratiquement pas d’eau sur toute la longueur de l’itinéraire, prendre 3 litres d’eau pour effectuer cette belle et longue boucle. Il y a une source du côté de Aguas Tuertas en faisant un aller/retour de 1,5km (30 minutes pour un dénivelé de +/-80m). Le deuxième point d’eau se situe juste avant la brèche de Roland où coule un ruisseau, mais il faut traiter l’eau avec des pastilles de purification d’eau Micropur. Le troisième endroit ou vous trouverez de l’eau fraîche du robinet, c’est au refuge des Sarradets, mais ce sera au bout de 12h de marche (pauses comprises) Alors prévoyez suffisamment d’eau pour cette longue boucle qui restera à jamais gravée dans vos mémoires.
  • En fonction des années et au début de l’été, les crampons/piolet peuvent être utiles dans la descente au refuge des Sarradets depuis la brèche de Roland.
  • Pour terminer avec les recommandations, faites très attention à la traversée de la cascade après le col des Sarradets, c’est souvent en fin de randonnée que les accidents arrivent surtout après une longue course comme celle-ci.
La suite du Topo . . . . . . . . . .

Départ depuis le col des Tentes vers 6h30 du matin, 15 minutes avant le lever du soleil.

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Remonter l’ancienne petite piste jusqu’au Port de Boucharo (Sud-Ouest).

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Puerto de Bujaruelo ou Port de Boucharo (2273m) randonnée faite avec Yves.

Comme vous allez pouvoir le constater sur ce topo, nous avons des sacs bien chargés. Nous avions prévu de faire 3 jours de trek avec 2 bivouacs sur des sommets frontaliers à plus de 3.000m, malheureusement pour des raisons personnelles, nous avons été contraints de revenir au col des tentes et d’effectuer cette belle et longue randonnée à la journée avec 14/15kg sur le dos.

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Depuis le Port de Boucharo 2273m, descendre légèrement côté espagnol (Sud-Ouest) en longeant la base de la paroi rocheuse sur la gauche. Un cheminement sans difficulté permet de contourner cette petite brèche.

Attention de ne pas descendre dans la vallée de Bujaruelo.

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Après ce petit passage, la suite de l’itinéraire devient évident,

la sente très bien marquée file vers le Sud-S.O jusqu’à la Forqueta de Gabieto.

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Les premiers rayons de soleil sur le massif de la Tendeñera (2853m).

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La sente passe à flanc de montagne et rejoint une sente dans la pierraille qui monte à la Forqueta.

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Panorama vers l’Ouest avec au fond à droite le massif du Vignemale.

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Les principaux 3.000 du massif du Vignemale et sa Pique Longue (3298m).

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Sente dans le pierrier accédant au col de la Forqueta (Sud-S.O).

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La montée se fait assez facilement sans trop d’efforts en restant sur la sente.

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Col de la Forqueta de Gabiétous (2520m) 1h45 depuis le départ.

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Yves sur la Forqueta.

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Mariano.

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La vue spectaculaire sur la première vire de la journée: la Faja Escuzana.

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Depuis le col de la Forqueta descendre à gauche en s’aidant un peu des mains,

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puis descendre à flanc de montagne en direction du Sud-Est jusqu’au pierrier

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pour rejoindre le début de la vire (Sud-Ouest).

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Désolé de vous déranger les biquettes, mais devons rejoindre le début de la vire !

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Depuis le bas du pierrier, suivre la sente montant vers les balcons de la vire en direction du Sud-Ouest.

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Début de la vire de l’Escuzana vers 2540m.

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Des falaises impressionnantes !

mais toujours sur une sente bien marquée mais sans danger en l’absence de neige.

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Il faut franchir cette petite barre rocheuse dans son point faible sur la gauche.

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Une cavité dans la falaise de l’Escuzana,

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avec la vue sur le massif du  Vignemale

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et la vue plongeante sur le parking et le refuge de Bujaruelo.

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Après un petit passage où il faut s’aider un peu des mains (niv: II+), la fin des 1,5km de vire, un enchantement !

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Après la vire, gravir une pente herbeuse dans un premier temps,

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puis une sente dans les éboulis vous mène directement au col de l’Escuzana (Mondarruego).

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Une jeune traileuse nous double quelques mètres avant le col.

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Connaissant bien le site Topopyrénées, elle nous fait un petit coucou au passage.

Avec seulement 1 litre d’eau pour cette longue course, j’ai bien peur qu’elle ait un peu souffert !

Elle pourra nous laisser ses impressions si elle consulte ce topo, dans tous les cas bravo à elle.

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L’arrivée au col (2730m) 3h30 depuis le départ (pauses comprises) Compter entre 3h et 3h15. Pour ceux qui veulent rejoindre directement la Faja de la Flores sans faire la Faja del Tardiador, suivre la sente qui descend vers le Sud-Est, aucune difficulté en l’absence de neige.

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Pour la montée au sommet de l’Escuzana, compter entre 10 et 15 minutes sans aucune difficulté.

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Punta Escuzana (2847m) 3h40 (pauses comprises) compter entre 3h00 et 3h30.

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Cliquer sur le panorama de la Punta Escuzana dans le menu déroulant en bas à gauche:

Panorama immense depuis le sommet.

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La vue depuis le sommet vers les 3.000 de Gavarnie/Mont Perdu.

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Depuis le sommet, descendre plein Sud sur 70m, puis vers 2820m prendre à droite vers le Sud-S.O pour ceux qui font la Faja del Tardiador et vers le Sud-Est pour ceux qui rejoignent directement la Faja de las Flores sans faire la Tardiador et gagner 2 heures sur l’itinéraire.

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Pour la Faja del Tardiador,

descendre dans un premier temps vers le Sud-Ouest en restant sur le fil de crête.

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Yves dans la descendre qui rejoint le début de la Faja del Tardiador.

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Vers 2640m, quitter le fil de crête qui se poursuit (Sud-Ouest)

pour suivre la sente bien visible qui contourne le massif par la droite (Ouest).

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Descendre ensuite une cuvette herbeuse jusqu’à l’entrée de la vire (Plein Sud).

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Des Edelweiss à profusion juste avant l’entrée de la vire.

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Rejoindre le début de la vire par une sente bien marquée sur la gauche du ravin.

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Passage versant Sud côté Canyon d’Ordesa.

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Photo souvenir de notre belle sortie d’aujourd’hui:  Yves et Mariano au début de la vire del Tardiador.

Cliquer sur la caméra jaune, puis sur l’étoile rouge animée en haut à gauche pour démarrer la visite virtuelle, comme si vous y étiez !

Cliquer ensuite sur les flèches rouges animées pour cheminer sur les vires, attention pour ceux qui sont sujet au vertige !

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Des vues vertigineuses avec plus de 1.000m de vide et même beaucoup plus !

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C’est parti pour 3km de vire vertigineuse !

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Tout au début de la vire, il faut désescalader une hauteur de 2m50 pour accéder à la sente.

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Pas difficile, mais rester prudent (Niv: II+).

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A partir d’ici, l’itinéraire est forcément évident,

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Il faut rester sur la sente qui longe au plus près le bas de la falaise.

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Quelques passages où il faut rester concentré,

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rien de difficile mais vous n’avez pas droit à la moindre erreur !

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On ne voit pas la sente mais elle existe bien.

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Un parcours magique que je voulais faire depuis très longtemps.

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Encore un petit passage où il faut utiliser ses mains (II+).

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Vers la vallée de Torla.

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C’est sur ce genre de passage (très étroit) qu’il faut rester vraiment concentré !

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Les strates rocheuses ici sont bien apparentes et marquent des centaines de millions d’années. Une strate est une couche de roche avec un terrain qui se distingue des autres par des caractéristiques propres en géologie.

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Il y a du Gaz ! ! !

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La vue sur el Tozal del Mallo (2254m) comme on a pas l’habitude de le voir.

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Fin de la Faja del Tardiador, nous avons mis 55 minutes de bonheur en prenant notre temps.

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Rejoindre le début de la 3em vire de la journée: La Faja de la Flores. 6h00 depuis le départ ce matin (Pauses comprises) si vous n’avez plus beaucoup d’eau, profitez d’aller en chercher dans le secteur de Aguas Tuertas (2340m), vous n’en trouverez plus avant 3h30 de marche !

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Panorama vers le Canyon d’Ordesa avec la vue sur les 4 vires du canyon,

la 5em vire (Canarellos) que l’on ne voit pas sur cette vue panoramique est juste en face de la Faja Pelay.

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Vers le secteur d’Aguas Tuertas avec en arrière plan les Gabiétous et le Taillon (3144m).

Pour ceux qui ont besoin de ravitailler en eau, faire l’aller/retour à Aguas-Tuertas (2340m) en direction du Nord (+80m/-80m de dénivelé pour 1,5km en 30mn aller/retour), oui c’est peut-être du temps de perdu mais si vous n’avez plus d’eau, c’est la seule façon de vous ravitailler en haut, sinon il vous faudra attendre 5h pour faire le plein d’eau au refuge des Sarradets ou 4h juste avant la brèche mais avec des pastilles.

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Un très joli bouquet d’Edelweiss.

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C’est parti pour la 3em vire: la vire des Fleurs (Faja de las Flores en espagnol).

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La Faja de las Flores est la plus connue de toutes,

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elle se déroule sur un sentier naturel en corniche qui longe sur 3,7 km une partie du canyon d’Ordesa sans vraiment de difficulté,

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elle relie le cirque de Carriata au cirque de Cotatuero à 2400m d’altitude.

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Cette vire peut paraître impressionnante pour les néophytes mais elle est sans danger à condition de rester sur la sente.

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La vue derrière nous sur notre parcours depuis la Punta Escuzana.

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Le parking de la Pradera, départ de nombreuses randonnées dont la principale est

l’ascension du Mont Perdu (3.355m) 3em plus haut sommet des Pyrénées.

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Ces vires sont d’une beauté indescriptible !

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La vue sur le Canyon d’Ordesa.

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La fin de la vire des fleurs approche.

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Des à-pics incroyables.

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Fin des 3,7km de vire.

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Suivre ensuite les cairns qui vous dirigent vers la brèche de Roland en direction du Nord.

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L’itinéraire laisse place à un immense plateau glacière totalement nu et torturé de partout.

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Ici les Isards se laissent photographier, ils savent qu’ils sont en sécurité dans le parc national.

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Suivre ensuite la direction plein Nord pour arriver au secteur plana de Narciso,

pour ceux qui ne montent pas par le couloir (Niv: II+/III), le contourner par sa gauche., sinon . . .

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grimper ce couloir vertical avec un pas de III et du II+ sur une dizaine de mètres de hauteur.

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L’arrivée ensuite au Barranco de la Brecha qui est complètement à sec !

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Belle rencontre avec le groupe du Caf de Montauban animé par Sylvain.

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Traverser cette étendue de verdure, puis suivre l’itinéraire

qui monte à la brèche de Roland Nord-Est en laissant à droite la grotte de Casteret.

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L’itinéraire est très bien cairné dans ce chaos de roche calcaire composé principalement de Lapiaz.

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L’itinéraire grimpe plein Nord en laissant la grotte de Casteret sur la droite.

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Située sur le flanc espagnol des Pyrénées, elle est à plus de 2 700 d’altitude. On la considère comme la plus haute grotte gelée du monde. Depuis sa découverte, de nombreux alpinistes ont traversé cette cavité, de sorte que le surnombre l’a en partie dégradée. Pour garantir sa conservation, les autorités du Parc National d’Ordesa et du Mont Perdu l’ont fermée au public par une grille, bien que l’on puisse l’apercevoir depuis l’extérieur. Mais d’après moi, il y a déjà bien longtemps qu’il n’y a plus de glace !

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La brèche de Roland n’est plus très loin, encore 200m de dénivelé à gravir.

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Enfin de l’eau après 10h30 de marche depuis ce matin (pauses comprises).

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L’idéal c’est d’avoir un purificateur d’eau avec un filtre sinon utiliser des pastilles de purification d’eau Micropur.

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L’arrivée à la brèche de Roland (11h30 depuis le départ ce matin) pauses comprises.

Cliquer sur le menu déroulant en bas à gauche pour visionner le panorama de la brèche sur 360°

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La descente au refuge des Sarradets,

faites très attention dans les premiers mètres, restez bien à gauche.

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Toujours aussi vilaine cette extension, et en plus les travaux sont arrêtés depuis 2 ans maintenant,

encore une histoire d’argent !

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Le retour traditionnel au col des Tentes qui comme tout le monde le sait est très très long !

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Le passage de la Cascade où il faut rester très attentif,

les jambes sont fatiguées et une glissade est vite arrivée surtout après 12h30 de marche.

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Retour au col des Tentes après cette journée mémorable et grandiose passée avec Yves.

14h00 depuis ce matin avec les pauses, compter entre 11h30 et 12h30 sans les pauses.

Voir l’album photos au format HD (1920×1080 pixels)

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La vidéo en 4K, une merveille !

32 réponses
Commentaires récents »
  1. gahery dit :

    Chouette rando oui !!
    Perso, j’ai trouvé plus exposé la vire des fleurs que la vire Tardiador que j’ai trouvé très facile…
    Par contre, je crois que vous avez inversé pic de Escuzana et pic de Mondarruego dans le descriptif de la rando et sur les photos…
    Possibilités de prendre de l’eau sur la vire des fleurs à plusieurs endroits ce jour.

    Webmaster:
    Bonsoir Laurent,
    ce n’est pas une erreur, les espagnols appellent le sommet Mondarruego et sur les cartes françaises: L’Escuzana, il y a beaucoup de sommets comme ça, entre la France et l’Espagne où les noms sont différents.
    Bonne soirée
    Mariano

    Répondre
  2. François Dussaud dit :

    Magnifique rando et très bien filmée!!
    Le plaisir de cette rando est aussi de bivouaquer dans le talweg avant le départ de la Vire de Fleurs.
    Il semble que ce soit interdit depuis le 9 février 2022. Est-ce définitif ?

    Webmaster:
    Oui, c’est interdit jusqu’à nouvel ordre
    Amicalement
    Mariano

    Répondre
  3. José dit :

    Bonjour Mariano

    Como siempre un reportaje magnífico. Ya había hecho en varias ocasiones las fajas de Escuzana y Faja de la Flores, pero desconocía la Faja Tardiator, así qué la anoto para hacerle una visita.

    Saludos

    Répondre
  4. Timothée dit :

    Bonjour Mariano,
    Magnifique course ! Je confirme qu’à la journée ça tire bien dans les jambes, heureusement que le panorama est à la hauteur de l’effort !

    Il existe une dernière vire dont aucun topo ne parle à ma connaissance. Elle nécessite à la sortie de la faja de las flores de continuer à isopente dans le cirque de Cotatuero dans les herbes folles.
    On la trouve ensuite dans la falaise sous la punta tobacor. Il n’y a aucun sentier, et elle est légerement plus raide que la faja tardiador donc pied montagne requis, l’erreur ne pardonne pas. Pour en sortir il faut exploiter une large dépression, conclue par un pas de III+. On débouche sur le plateau qui mène au cirque de Goriz, d’où on rejoint facilement le refuge éponyme.
    On peut ensuite enchaîner comme tu comptais sans doute le faire sur mont perdu, cylindre, etc…

    J’insiste sur le fait que l’itinéraire est compliqué, mais le fait qu’il soit 100% sauvage lui confère un attrait tout particulier à mes yeux !
    Comme tu parlais de vire, je me suis permis cet ajout. Je suis curieux de savoir si d’autres personnes l’ont testé ?

    Merci encore pour tes topos

    Répondre
  5. laurent82 dit :

    Bonjour,
    Merci encore pour tous ces topos.
    Nous sommes d’accord que nous ne pouvons plus bivouaquer a Aguas tuertas?
    Merci beaucoup

    Répondre
  6. Jean-Pierre Schickler dit :

    Bonsoir Mariano….Tes vidéos et musiques sont toujours aussi somptueuses….plusieurs d’entres elles sont mises sur CD…et visionnées régulièrement sur mon grand écran télé….un régal…une évasion dans les montagnes….Malheureusement dans l’immédiat je suis à l’arrêt depuis quelques mois déjà…pour cause d’un problème à l’articulation de mon genou droit… »qui me dit arrête de courir et de marcher…j’ai trop de Kms. au compteur à 75 ans »….en attendant je dois faire confiance à mon Kiné afin de rétablir la situation…pour repartir du côté du Roc Blanc près du lac du Laurenti et dans le canyon d’Ordesa et ne pas perdre le pied montagnard.. en liaison  »Messenger » avec mon guide dans son village de Yichar à 4000 m. d’altitude… je prépare notre 4ème séjour au Ladakh-Zanskar dans l’Himalaya Indien pour l’année prochaine….
    Au plaisir de nous croiser un jour sur les pistes quelque part dans les Pyrénées….Amicalement à toi……..JP.S.

    Répondre
  7. Florence dit :

    Bonjour Mariano,
    Nous y étions ce 19 juillet avec mon beau-frère et mon beau-père qui aura 80 ans à la fin de l’année. Nous avons fait le même itinéraire mais un peu plus légers car partis sur la journée et je confirme le dénivelé, la distance et la durée à prévoir, ainsi que les 3 litres d’eau à emmener. Tout au long de la journée j’ai utilisé le même terme que vous « grandiose » pour qualifier cette course qui m’a enchantée. Entre les paysages, la faune : nombreux isards se laissant photographier presque avec complaisance, vautours fauves, Niverolles alpines, Accenteurs alpins… nous avons même vu un Papillon Morio, et la flore présente en abondance (et pas que les Edelweiss), tout était magique et faisait oublier la fatigue de cette longue randonnée. Toutes ces merveilles ont porté mes pas m’aidant à réaliser ce rêve que j’avais depuis de nombreuses années.
    Le visionnage de votre reportage me fait revivre cette superbe journée. Merci.

    Répondre
  8. Arnaud dit :

    Salut Mariano,
    pour être passé aux grottes Casteret en 2016, de la glace subsistait dans l’entrée principale, encore accessible sans barrière. Les galeries inférieures, seulement accessibles avec du matériel spéléo et crampons semblaient davantage glacées. Cordialement, merci pour votre site hautement inspirant

    Répondre
  9. Jean-Jacques ARREGLE dit :

    Salut Mariano. Très belle rando. J’ai le plaisir de faire la faja escuzana et flores sur deux jours, c’est quand même moins dur que, ce tu a fais. Merci pour ces belles photos qui me rappellent de bons souvenirs.

    Répondre
  10. Philipp dit :

    Salut Mariano
    Encore un beau périple et toujours de magnifiques photos. J’ai fait la Vire des fleurs si j’avais su qu’il y avait d’autres vires avant j’y serai allé.
    Une autre fois

    Répondre
  11. Serge dit :

    Bonjour Mariano
    Au vu des photos, vous avez pris du plaisir ! trois magnifiques itinéraires dans ce secteur déjà grandiose ! Bravo à vous deux !
    Amitiés
    Serge

    Répondre
  12. MOLLARD Louis dit :

    Bonjour Mariano,
    Merci une nouvelle fois pour ce superbe topo que je ne manquerai pas de faire !
    Pour les coordonnées de la source, en attendant d’autres réponses, voici les coordonnées figurant dans « Refuges.Info » et qui ne sont que très rarement imprécises : Altitude: 2331m, Lon: -0.06788, Lat: 42.67485
    Bonne continuation,
    Louis.

    Répondre
  13. SébastienE81 dit :

    Magnifique, magique ! je me garde dans un coin les liens de vos topos sur Ordesa et tous ces canyons tellement ils sont incroyables… celui-ci est vraiment impressionnant, ainsi que tout le travail de photographe et de mise en ligne au passage… que dire devant tant de beauté… je ne m’engagerai pas pour le moment sur de telle course, mais plutôt des petits bouts sûrement bientôt pour apprécier en vrai et garder en souvenirs après ces grandioses panoramas… un grand MERCI pour ces bons moments passer à lire vos topos et regarder ces incroyables photos (ce « cheminement photo » est splendide!) !

    Répondre
  14. Lascaray Francine dit :

    Bonjour Mariano
    Quel mérite et quel courage vous avez eu, avec cette charge sur le dos (en vue de votre trek de 3 jours non abouti ce jour-là) pour faire cette longue boucle, avec en prime ces 3 vires magnifiques. En montant, depuis le parking de la Pradera vers la crête de la Punta Escuzana, on a le plaisir de contempler aussi le Tozal de Mayo en forme de cœur (que nous avions fait il y a fort longtemps). Il n’y a que la nature pour nous offrir de telle belle chose. C’est extraordinaire !
    En tout cas merci et bravo â tous les Deux.
    Longue vie à votre site et bonne maintenance.
    À très vite Mariano
    Francine.

    Répondre
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