Camino de las Pardas (2489m) par las Forcas de Liena (2604m)

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El Camino de las Pardas par les mines de Liena et le port de Barroude

  • Déniv: +1650m – (3h45+2h30+2h45)= 9h00 – 24 km – Niv: Montagnard
  • Pic Liena et Las Forcas: +1300m – (3h15+2h45)= 6h00 – 15 km – Niv: Randonneur
  • Date: le 02.09.2017 – Espagne – départ: virage en épingle (A-138) 1380m (3km après la sortie du tunnel de Bielsa)

Il s’agit aujourd’hui des vestiges d’un chemin muletier, qui venant des mines du pic Liena, traverse horizontalement le cirque de Barrosa entre le col de las Pardas et le Port de Barroude. Il a vraisemblablement été aménagé et utilisé, au XIXe siècle, pour le transport vers la France, à dos de mulet, à travers le cirque, sans perte d’altitude, du minerai de plomb argentifère extrait des Mines Espagnoles du pic Liena avant la mise en service, au début des années 1910, des installations minières de l’Hôpital de Parzan et de ses câbles aériens.

(Plus d’infos sur le site web du cirque de Barrosa)

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Difficultés: Itinéraire sans difficulté jusqu’au col de las Pardas ( 2489m). La suite est réservée exclusivement aux montagnards aguerris ! ! !

Matériel: Baudrier avec double longe, 2 mousquetons et une corde de 10m. Très Important: les chaussures de trek sont à proscrire, prendre de vraies chaussures de montagne hautes et rigides pour les passages délicats en devers au niveau des pierriers.

Le chemin des mules qui reliait autrefois les mines de Liena au Port de Barrosa par le col de las Pardas est taillé dans la roche et les falaises, il contient des passages très escarpés et se dégrade d’année en année avec parfois des éboulements où l’itinéraire peut être coupé. 3 conditions pour se lancer sur ce chemin rempli d’histoires: Avoir le niveau Montagnard confirmé (pied sûr et ne pas avoir le vertige), faire le parcours uniquement par une journée de beau temps et sans neige ni humidité (en cas de brouillard, faites demi-tour ! ! !), et la 3em condition: Ne pas partir seul !

Attention: Je ne pourrai être tenu responsable des risques d’accidents encourus par les lecteurs utilisant cet itinéraire et décline toute responsabilité dans l’hypothèse d’un accident sur ce topo comme d’ailleurs sur tous les Topos et Itinéraires suggérés dans ce site web.

La suite du Topo . . . . . . . . . .

La randonnée est longue entre 9h et 10h, prévoyez comme nous de dormir aux alentours.

Après une belle nuit étoilée passée au camping de Bielsa, départ de notre randonnée avec Yves au niveau du virage en épingle de la route (A-138) altitude: 1380m (à 8km du village de Bielsa et à 3km de la sortie du tunnel)

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Départ vers 6h45 du matin avec nos frontales.

Depuis le bord de la route (emplacement: 5 à 6 voitures) suivre la piste en direction du Sud sur 180m.

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La piste ensuite vire sur la droite en direction du Nord pendant 900m jusqu’à la bifurcation altitude 1490m. Après 20mn de marche, prendre le sentier qui monte à gauche dans le bois (Sud-Est).

Notre retour se fera par cette piste venant de la vallée de Barrosa.

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Sentier très bien marqué qui monte en lacets dans le bois.

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Le soleil illumine de bon matin le Pic de la Munia (3133m).

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Nous traversons un pierrier vers 2120m qui marque la sortie du bois (1h05 depuis le départ).

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Le Massif de Cotiella (2912m).

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Le sentier est balisé en vert et blanc jusqu’aux mines de Liena.

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En 1912 en pleine révolution industrielle, la société des Mines de Parzan, récemment créée, construisit à cet endroit les installations et machines nécessaires à l’exploitation des mines dont les deux câbles aériens pour le transport du minerai: Le Transpyrénéen et le câble Luisa.

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Le sentier menant aux mines est très bien marqué et ne comporte pas de difficulté.

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Le câble aérien signifia un changement très important dans l’organisation du travail et le transport dans cette exploitation minière.

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On passa en effet des caravanes de mulets à un mécanisme plus efficient permettant outre un gain de temps considérable.

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Ces bennes étaient accrochées au câble aérien par l’intermédiaire d’une pince débrayable, un mécanisme révolutionnaire à l’époque mais très utilisé de nos jours pour les télésièges et télécabines sur les pistes de ski.

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Le transport d’environ 1 tonne de matière à l’heure dans ces bennes pouvant supporter chacune un chargement de 300 Kg, soit l’équivalent de 2 ou 3 mulets.

Les bennes sont encore aujourd’hui remplies de minerai comme si le temps s’était arrêté !

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Retour à la randonnée: le sentier à la sortie du bois file en pente douce vers le Sud-Ouest.

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Des isards.

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Le sentier passe ensuite en contrebas de la crête du Pico Mallo Royo.

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Après 2h15 de marche, nous apercevons le secteur des mines de Liena avec son ancien poste électrique.

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2h30 depuis notre départ pour 1050m de dénivelé en 6km de distance.

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Ancien poste électrique de l’époque.

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Coucou Yves !

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Bien que peu connue, l’activité minière dans ces montagnes proches de Bielsa s’est probablement développée de façon plus ou moins continue dès la préhistoire. On pense même que les filons étaient déjà exploités à l’époque mégalithique. Si l’on croit que les Romains ont ensuite pu exploiter l’argent, on a la certitude par contre que le roi Alphonse II délivra à 14 miniers le permis pour s’installer et travailler dans les mines d’argent de Bielsa.

Tout au long de ces siècles, les permis d’exploitation sont passés de main en main, de miniers particuliers, commerçants de Barbastro, entrepreneurs et ingénieurs basques aragonais à des sociétés espagnoles, françaises et même allemandes.

En 1974, la compagnie concessionnaire des mines vendit une partie des terrains et des installations alors abandonnées afin de permettre la construction de la route qui mène en France.

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Pour la randonnée depuis les mines, remonter le terrain minier vers le Nord-Ouest jusqu’à la crête.

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De cette vallée, ont été extraits du Plomb, de l’Argent, de la blende, du zinc, de la fluorite ainsi que du fer.

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Au XIX e siècle, partait de Bielsa un fer aciéré très utilisé dans la fabrication d’outils et reconnu de façon internationale pour sa très grande qualité.

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Les filons, comme ceux qui sont ici exploités, sont des accumulations minérales constituées à l’intérieur de fractures et d’origine hydrothermale, ce qui signifie qu’ils se forment grâce à la présence d’eau chaude à la surface, ils reçoivent le nom de source hydrothermale ou bien geyser.

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La roche encaissante est la roche préexistante fracturée dans laquelle s’introduit le fluide minéralisant.

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De novembre à mars, la neige obligeait à interrompre les travaux dans la mine. Lorsque l’on pouvait reprendre l’activité, l’exploration des mines passait par quatre tâches principales: 

  • Démarrage: Le creusement de la roche se faisait avec des barres de mine introduite dans la roche à coups de maillet jusqu’à l’arrivée des perforeuses pneumatiques en 1922. Cette innovation permit de passer de 5 à 10m de galerie par mois à 60m. Le rendement fut donc multiplié par quatre ! Le travail était effectué par 34 personnes par roulement (4 services différents) qui gagnaient entre 70 et 75 centimes de peseta l’heure.
  • Fortification: Il s’agissait de l’étayage des galeries afin d’éviter des effondrements.
  • Ventilation et écoulement: On parvint à résoudre de façon naturelle (sans machines) l’évacuation des gaz nocifs et l’eau.
  • Transport: A l’intérieur de la galerie, le transport était assuré par des hommes et des animaux qui faisaient sortir le minerai dans des bennes sur rails. Une fois sorti de la mine, on descendait le minerai à la laverie pour le traiter.

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Dans ces mines, il s’agit du minerai métallique majoritaire dans les zones de contact entre filon et roche encaissante. Il peut-être associé à l’or et au cuivre. Il peut-être jaune ou noir comme sur cette photo.

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Cette construction en ruine devait être certainement la zone de lavage du minerai.

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Pour notre randonnée, depuis les mines nous remontons le terrain bien pentu hors sentier jusqu’à la crête (Ouest).

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La Montañesa au loin avec ses 2295m d’altitude.

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L’arrivée sur la crête de la Punta Liena (2580m) avec une vue superbe sur la sierra de las Sucas (3h depuis le départ).

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Quelques minutes suffisent pour atteindre notre 1er sommet: La punta Liena (2602m).

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Punta Liena (2602m) 3h10 depuis le départ.

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Voir les 3 panoramas de la randonnée:

Beau belvédère depuis ce sommet avec devant nous la Munia (3133m) et le pic de Robiñera (3003m) sur notre gauche.

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Pour le deuxième sommet, suivre plus ou moins la crête vers le Nord-Ouest (5 minutes depuis le 1er sommet).

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Punta las Forcas de Liena (2604m)

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Voir les 3 panoramas de la randonnée:

Belle vue depuis le sommet avec le chemin de las Pardas que l’on devine à peine.

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La fin du chemin allant au Port de Barrosa est évident, mais pas vraiment sur le terrain, voir plus loin . . .

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Le Pic de Barrosa (2772m) fait en 2008 par le versant français (voir Ici).

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Les randonneurs pourront faire le sommet suivant sans difficulté que nous avons laissé sur notre droite (la Punta Ruego)

et éventuellement poursuivre jusqu’au col de las Pardas mais pas plus loin ! ! !

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Des à-pics impressionnants côté vallée de Barrosa.

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Aucune difficulté pour continuer jusqu’au col de las Pardas.

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Vers le Port de Barrosa ou appelé aussi Port de Barroude (2534m).

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Sur notre gauche le massif du Mont Perdu.

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Mont Perdu (3355m).

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Une piste carrossable autorisée au public monte jusqu’ici et d’après un randonneur espagnol, elle serait en parfaite état.

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La Montañesa (2295m).

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L’arrivée au col de las Pardas (2489m).

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C’est ici que commence le sentier de las Pardas (3h45 depuis notre départ).

Les marcheurs, randonneurs où visiteurs qui seraient montés par la piste doivent faire demi-tour ! ! !

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Cet ancien chemin frontalier, dont on conserve encore des vestiges matériels de son passé, était utilisé par les contrebandiers et par les ingénieurs dans leur voyage depuis la France vers les mines de fer et de plomb de Ruego y Liena de Parzán.

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Le chemin de Las Pardas est un sentier de haute montagne (2300-2500m) qui passe entre le col de Las Pardas et le port de Barroseta. Il s’agit d’un authentique chemin qui s’étend par une corniche, parfois très aérienne et exposée à la rigueur climatique, c’est pourquoi il faut faire très attention et prendre de bonnes mesures de sécurité, spécialement en hiver lorsque le matériel de progression hivernale sera nécessaire (piolet, crampons, etc . . . .) le mieux c’est en cas de neige, mauvais temps ou brouillard de ne pas prendre ce chemin, beaucoup trop dangereux ! ! !

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C’est parti pour 5km de vires à travers une corniche naturelle vertigineuse dans les falaises Sud du massif de la Robiñera.

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Equipement: un harnais avec double longe et 2 mousquetons pour s’assurer au niveau des mains courantes.

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Le refuge de Barrosa que nous irons visiter au retour.

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L’itinéraire n’est pas évident de loin et parfois l’on se demande par où on va bien pouvoir passer,

mais à fur et à mesure que l’on progresse sur cet extraordinaire chemin, le passage devient évident.

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Ici pas de vertige et il vaut mieux ne pas penser à la glissade qui comme vous l’aurez compris: est interdite !

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Un Isard dans le pierrier juste en dessous de nous.

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Une corde de 10m peut servir mais franchement sur un terrain comme ça il vous sera impossible d’assurer quelqu’un sans se mettre vous même en danger, la seul assurance c’est de rester concentré et d’avoir le pied sûr !

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Il n’y a que 3% de l’itinéraire qui est sécurisé par une main courante (pas toujours en état)

et ce n’est pas dans les endroits les plus dangereux que les mains courantes ont été posées.

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Ici par exemple il n’y en a pas et il serait difficile de sécuriser ce passage, il y en a plusieurs comme celui-ci.

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Concentration et vigilance !

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Vous comprenez pourquoi il ne faut pas entreprendre cet itinéraire par mauvais temps.

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Un peu de verdure, youpi !

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Ça ne dure pas longtemps, mais l’itinéraire de ce côté à l’air évident.

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Mariano.

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Yves.

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Compter 2h30 pour effectuer les 5km du chemin.

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Lorsque l’on se retourne, difficile de savoir où nous sommes vraiment passés !

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C’est dans ces passages en dévers avec le vide à nos pieds qu’il y a vraiment danger et là,  aucune possibilité de pouvoir installer une main courante ou assurer quelqu’un.

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A chacun son style, l’essentiel est de progresser en toute sécurité.

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L’itinéraire est cairné de temps en temps, mais une fois sur le sentier

vous n’aurez de toute manière pas le choix: à gauche c’est le mur et à droite c’est le vide !

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Sourire pour Yves.

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Oui, cela parait improbable d’être passés par là et pourtant !

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Un long pierrier à traverser.

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Pas le plus dangereux, mais nous restons quand même concentrés.

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Après 1h20 de marche depuis le début du col (4h depuis le départ), l’itinéraire reprend de la hauteur (+170m de dénivelé) pour éviter les barres rocheuses sur notre droite.

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Des passages un peu techniques mais sans grand danger.

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Un beau cairn avec en face le Pic de Barrosa (2772m).

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Altitude 2416m, jonction avec l’itinéraire venant de notre gauche du col de la Robiñera et du Pas du Chat (la Munia).

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Derrière nous, ce que nous venons de parcourir depuis le col de las Pardas.

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Vers 2460m, suivre les cairns à gauche qui nous mènent à un chaos de pierres.

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Ce qu’il nous reste à parcourir jusqu’au port de Barrosa.

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Des Isards, c’est sûr qu’ici personne ne les dérange !

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L’itinéraire paraît évident . . . . .

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mais en haute montagne, à quelques mètres près l’on se retrouve parfois très vite en mauvaise situation.

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Après cette toute petite erreur, le chemin redevient évident avec un passage délicat à franchir.

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Une main courante est en place mais vraiment pas en état à cause des pitons descellés.

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C’est peut-être le passage le plus dangereux de ce parcours et il serait bien que les autorités espagnoles sécurisent ce passage extrêmement dangereux.

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Ici,  le câble est coupé !

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Un randonneur nous suit depuis quelques minutes, il est descendu depuis le col de la Robiñera.

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Voilà, les difficultés sont maintenant derrière nous.

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2 minutes de pauses, il est vrai que nous ne nous sommes pas arrêtés depuis notre départ.

(6h10 de marche depuis ce matin, nous allons apprécier notre casse-croûte!)

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Croisement des sentiers (2456m).

A partir d’ici, soit vous redescendez dans la vallée de Barrosa (Sud-Est) pour le retour à la voiture

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ou comme nous, vous allez faire une petite visite au Port de Barroude ou Puerto de Barrosa.

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15 petites minutes pour monter au port.

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Pour ceux qui ont encore de la force, le Pic de Barrosa n’est pas très loin (~30 minutes).

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Les lacs de Barroude (2360m).

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La muraille de Barroude masquée par les nuages.

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La photo souvenir au col de Barroude.

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Yves et Mariano au Port de Barroude (2534m).

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Dommage que les nuages nous cachent cette belle vue !

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La même photo faite le 6 juillet 2010 par un temps magnifique avec hélas le refuge de Barroude qui a brûlé depuis (octobre 2014).

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Pour le casse-croûte, nous allons derrière une éminence pour nous protéger du vent glacial qui souffle au niveau du col.

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Après 45 minutes de pause, retour par la vallée de Barrosa, suivre la HRP qui descend dans la vallée (Sud-Ouest).

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Une petite halte pour visionner avec un peu de recul el Camino de las Pardas.

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La deuxième partie du chemin avec l’arrivée au Port de Barroude.

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Nous perdons très vite du dénivelé.

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Refuge de Barrosa (1745m) 1h30 depuis le Port de Barrosa.

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Refuge non gardé avec table, chaises et plusieurs emplacements pour couchage (pas de matelas).

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Depuis le refuge de Barrosa,

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descendre la vallée de Barrosa jusqu’à la voiture.

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Petite plouf pour Yves, il a du sang de poisson ce mec ! ! !

je n’y ai mis que les pieds et surtout pour soulager ma tendinite (11 à 12° pas plus).

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La piste.

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Sur notre gauche près de l’arrivée: La station inférieure, du câble aérien qui descendait de la mine Luisa. C’est là où arrivait le plomb argentifère (ou galène argentifère) provenant de la mine après avoir franchi une dénivellation d’environ 970m. Une fois arrivé à cet endroit, le matériel était transporté dans des bennes sur rails jusqu’à la laverie où il était traité avant d’être emporté à la station de sortie du Transpyrénéen. L’installation de ce câble aérien demeure intacte dans sa presque quasi-totalité.

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Retour à la voiture (2h40 depuis le Port de Barrosa) 10 heures depuis ce matin (pauses comprises).

Très belle journée passée en compagnie de Yves qui avait déjà fait ce parcours l’année dernière mais avec quelques petites péripéties, cette fois-ci je pense qu’il gardera un très bon souvenir de notre journée et de ce parcours insolite et unique, merci à Yves André qui pour ceux qui ne le connaissent pas, est un spéléologue qui a découvert dans les Hautes-Pyrénées le Gouffre des Charentais – Résurgence de la Hèche et en a fait un livre avec un tirage de 500 exemplaires.

Par contre, attention: J’ai beau me répéter, ce parcours exigeant est potentiellement dangereux, et je ne pourrai être tenu responsable des risques d’accidents encourus par les lecteurs utilisant cet itinéraire et décline toute responsabilité dans l’hypothèse d’un accident sur ce topo comme d’ailleurs sur tous les Topos et Itinéraires suggérés dans ce site web.

16 réponses
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  1. Denis Boissiere
    Denis Boissiere dit :

    Super topo que je découvre ce soir! J’ai beaucoup entendu parler de ce chemin historico-industriel par mes amis. Merci pour les explications sur les mines, je suis toujours intéressé. On oublie trop facilement notre passé industriel au profit du passé « culturel », mais l’histoire de notre industrie c’est aussi de la culture. Petite question de néophite, bien que cela soit sec, quand c’est sec, un bon piolet, même sans neige ne serait-il pas plus réconfortant que des baùtons? Amicalement.

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