Sortie hivernale au Soum de Lat Dessus (2244m) et Cabaliros (2334m)
Très belle sortie hivernale au Cabaliros (2334m) avec des paysages de toute beauté depuis la crête menant au Soum de Lat Dessus (2244m).
- Déniv: +1020m – (3h45+2h45)= 6h30 – 13 km Niv: Montagnard
- Date: le 09.02.2022 – Hautes-Pyrénées – Départ: Piste de Curadère (1370m)
Il est beaucoup plus facile de gravir le plus haut sommet des Pyrénées avec ses 3.404m d’altitude que ce petit sommet de la région d’Occitanie dans les Hautes-Pyrénées. On le sait tous, en hiver ils nous arrivent très souvent de renoncer à quelques mètres du sommet à cause d’une neige trop molle ou l’inverse. Une neige beaucoup trop dure sur les cinquante derniers mètres de l’ascension finale du Cabaliros, nous a contraint à renoncer et à faire demi-tour à seulement 10 minutes du sommet, les crampons tenaient à peine sur une pente à plus de 45°.
Nous n’avons pas hésité très longtemps, surtout que la descente sur une pente verglacée aurait été beaucoup trop dangereuse avec un risque certain de glissade et les conséquences graves que l’on peut imaginer !
Le mur terminal du Cabaliros doit être en bonne condition pour pouvoir grimper en toute sécurité. Malheureusement en période hivernale, le versant Nord du Cabaliros a très souvent de mauvaises conditions de neige, n’hésitez pas à faire demi-tour, sinon ce circuit est très joli avec un parcours de crête de toute beauté.
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Difficultés: Sortie hivernale
- Accès en raquettes à neige, ski-rando ou en crampons/piolet
- Le départ se fait en fonction de l’état d’enneigement de la piste de Curadère (entre 1260m et 1370m voir plus bas).
Attention: Le mur terminal du Cabaliros doit être en bonne condition pour pouvoir grimper en toute sécurité. Malheureusement en période hivernale, le versant Nord du Cabaliros a très souvent de mauvaises conditions de neige, n’hésitez pas alors à faire demi-tour- Le parcours de crête demande d’avoir l’habitude de marcher avec des crampons en bordure de crête et en terrain mixte.
- Attention de ne pas trop s’approcher des corniches !
- Comme toutes les sorties hivernales, le danger est beaucoup plus grand que lors des sorties d’été, redoubler de vigilance et bien se remémorer les points essentiels décrits ci-dessous en cliquant sur les crampons:
Attention:
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Bien que cet itinéraire ne nécessite pas autant de photos pour décrire ce topo, j’ai tenu à poster une centaine de photos comme je le fais pratiquement pour chacune de mes sorties. Je sais malheureusement que des personnes me critiquent dans les réseaux sociaux ou dans certains forums en ricanant parfois, je poste trop de photos dans mes topos !
Je respecte la critique qui peut être constructive, mais ne soyez pas égoïstes, et ne pensez pas qu’à vous ! Pensez à ceux qui ont été des montagnards comme vous et qui aujourd’hui à cause de l’âge avancé ou à cause d’un problème de santé, ne peuvent plus parcourir les Pyrénées comme autrefois, ils sont bien contents de pouvoir aujourd’hui se projeter quelques dizaines d’années en arrière et refaire virtuellement leurs ascensions à travers mes photos. Rien que pour ça, je continuerai à poster une centaine de photos par topo, ne vous en déplaise. Après, si vous ne voulez pas voir les photos du topo, il vous suffira simplement de ne pas cliquer ci-dessous: La suite du Topo . . . . . . . . . ou plus simple encore, ne pas se connecter à Topopyrénées !
Départ depuis la piste de Curadère, nous sommes montés en voiture jusqu’à l’altitude 1370m. Prévoir de monter avec un 4×4 ou avec une voiture équipée de pneus mixte ou neige, ne pas tenter le diable, il y a des portions complètement en glace !
Randonnée faite avec Jean-Jacques.
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Quelques ouvertures dans la forêt pour voir les montagnes enneigées.
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Le magnifique massif du Gabizos avec à gauche: le Grand Gabizos (2692m) et à droite le Petit (2639m).
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Le Balaïtous (3144m).
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La sortie de la forêt vers 1500m d’altitude après 30 minutes de marche.
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Depuis la sortie de la forêt, suivre la piste jusqu’au niveau de l’enclos vers 1580m.
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Depuis l’enclot laisser à gauche la piste d’été et s’orienter vers le Nord-Est.
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Nous allons jusqu’au bord de crête pour aller voir le panorama puis nous nous dirigeons vers les Tucoyes.
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Les Tucoyes (1809m) que nous allons contourner par la droite.
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C’est au pied du Pic Arraillé (2018m) que nous allons chausser nos crampons (1h25 depuis le départ).
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Nous laissons sur la gauche le Pic Arraillé (2018m),
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pour continuer vers le Sud-Ouest sur des pentes modérées mais tout en dévers.
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Vers 1900m, l’itinéraire bifurque vers le Sud-Est jusqu’à la crête du Cabaliros.
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La neige porte bien, idéal pour marcher avec des crampons.
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Même si par moment la neige est d’un blanc reluisant,
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la pente n’est pas très abrupte donc pas très grave.
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Derrière nous, le massif du Gabizos avec au loin les sommets de la vallée d’Ossau.
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Il faut rejoindre la crête en direction du Soum de Lat Dessus sans y grimper.
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Il n’est pas nécessaire de grimper au sommet du Soum de Lat Dessus (2244m),
le contourner en contrebas pour rejoindre le fil de crête.
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L’arrivée sur la ligne de crête du Cabaliros (2220m) 3h00 depuis notre départ.
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Suivre le fil de crête en faisant attention aux corniches.
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Magnifique !
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Panorama vers la Munia (3133m).
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Le Pic du Midi de Bigorre (2872m).
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Le Pic Néouvielle (3091m) avec à droite le Turon de Néouvielle (3035m).
Il fait très beau, les nuages sur cette photo proviennent des feux d’écobuage !
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La crête est un peu escarpée et il faut faire un peu de mixte sur les rochers.
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De belles corniches !
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Le Soum de Lat Dessus (2244m) que nous irons visiter au retour.
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Le Cabaliros n’est plus très loin.
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Nous perdons un peu d’altitude.
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De superbes photos, un régal !
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C’est tout droit.
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Il faut rester sage et ne pas trop s’approcher des corniches qui sont assez impressionnantes.
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Nos traces.
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Jean-Jacques dans la partie finale.
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A l’approche du mur, la neige devient de plus en plus dure.
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Les crampons et le piolet ont du mal à pénétrer dans cette neige très dure à la limite de la glace.
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Le panorama depuis le début du mur:
Nous n’avons pas hésité très longtemps avec Jean-Jacques pour comprendre que la sagesse était de faire demi-tour.
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Surtout que la descente sur une pente verglacée à 45° aurait été beaucoup trop dangereuse
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avec un risque certain de glissade et les conséquences graves que l’on peut imaginer !
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Un randonneur (Philippe) nous avez précédé une petite heure avant, merci pour sa photo prise de loin.
Il a fait demi-tour un peu plus haut comme nous !
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Pas grave, nous le savons tous,
ils nous arrivent très souvent en période hivernale de renoncer à quelques mètres du sommet pour des raisons de sécurité.
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Retour sur le fil de crête.
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Les corniches.
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Le Vignemale (3298m).
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Le Pic du Midi de Bigorre (2872m) avec les résidus des fumées de l’écobuage de ce matin.
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Quelques passages où nous devons faire attention mais pas très dangereux.
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Plus facile à monter ce matin qu’à descendre,
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nous finirons par descendre plus à droite par ce petit couloir.
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Le Soum de Lat Dessus n’est plus très loin.
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Derrière nous, toute la belle crête que nous venons de parcourir depuis notre retrait.
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Splendide !
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Un Accenteur alpin ( Prunella collaris) sur la crête du Cabaliros,
le petit roi de la montagne hivernale avec la Niverolle alpine ( Montifringilla nivalis).
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Encore quelques mètres pour le casse-croûte, il est 13h15 !
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Jean-Jacques et Mariano au Soum de Lat Dessus (2244m) 4h00 depuis notre départ ce matin.
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30 minutes depuis notre renoncement et 40 minutes depuis le sommet du Cabaliros.
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Le casse-croûte vers 13h20.
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Cliquer sur les étoiles animées ou sur le menu déroulant en bas à gauche pour voir le panorama annoté du Soum de Lat Dessus:
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Le Monné de Cauterets ou Moun-Né (2724m).
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Vers la vallée d’Ossau.
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Vers la vallée de la Fruitière.
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Cauterets.
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Vers l’observatoire du Pic du Midi de Bigorre (2872m).
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Après 45 minutes de pause pour le casse-croûte,
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retour par les crêtes.
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L’itinéraire de retour par les crêtes.
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L’arrivée au sommet du Malinat (2200m), où l’on trouve une croix posée par un Yougoslave, forgeron aux mines de plomb argentifère de Pennaroya, commémorant son évasion en 1942.
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En été, l’itinéraire depuis le Malinat, descend en restant sur le fil de crête.
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En hiver,
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il est préférable de descendre vers l’Ouest puis de revenir ensuite.
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Tout en restant prudent.
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Nous retrouvons le fil de crête.
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Le prochain sommet est le Pic Arraillé (2018m).
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Pic Arraillé (2018m).
1h45 depuis le Soum de Lat Dessus et 2h30 depuis le sommet du Cabaliros.
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Cliquer sur les étoiles animées ou sur le menu déroulant en bas à gauche pour voir le panorama du Pic Arraillé (2018m).
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Nous déchaussons nos crampons
au pied du petit sommet des Tucoyes (1809m) que nous laisserons sur notre droite.
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Depuis l’enclos, suivre la piste jusqu’à l’entrée de la forêt.
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Entrée de la forêt.
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Les 1,5km de piste à descendre jusqu’à la voiture.
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Retour à la voiture vers 1370m et non 1160m sur la photo.
Vraiment aucun regret de n’avoir pas pu grimper au sommet,
une très jolie sortie hivernale avec des paysages splendides, merci Jean-Jacques.
Fabuleuses images et belle performance hivernale nécessitant la prudence (bravo de savoir s’arrêter même à qq mètres du but) le physique et les compétences . Fait en été, aucune difficulté selon mes souvenirs. Merci de nous faire rêver.
Bonjour, Cabaliros, sommet sympathique et parfois délicat. Merci pour ces très belles photos , n’en déplaise à certains. Ca me rappelle quelques souvenirs nous avions chaussé les crampons pour les 50 derniers mètres. Dommage que la piste soit si délicate, y compris en été, j’y ai laissé un pneu! Bonne continuation.
Bonjour Mariano,
Une fois encore merci de nous faire partager tes courses en montagne. Les espaces hivernaux sont splendides et l’on mesure la place de l’homme face à cette nature.
Je fais maintenant partie de cette « catégorie » de montagnard à la « retraite »… par force…(âge et santé) qui à travers tes topos revivent les émotions d’un temps précédent…
Un grand merci à toi et bonne santé !!!
Amicalement
Pierre
La sagesse n’a pas de prix ! . Merci pour cette belle ballade , vos photos sont toutes magnifiques !!!
Bonjour Mariano
Une belle sortie. De belles photos…
Et aussi, les conseils que tu glisses au passage, par exemple: « redescendre une pente à 45° verglacée aurait été dangereux » que j’ai rapproché de ce que tu disais juste avant: « les crampons et le piolet ne s’enfonçant que peu », c’est parlant !
Pour moi qui sort seul, et qui dans mon éternel dialogue avec moi même, s’interroge parfois sur le risque qu’il y a à poursuivre, c’est utile de savoir ce que tu as fait.
Je te remercie et te souhaite un bon week-end, peut-être une belle sortie.
michel saint-upéry