Randonnée au Mont Perdu (Monte Perdido) 3355m depuis le col des Tentes

Mont Perdu (3355m) en aller/retour depuis le col des Tentes (2208m)

  • Déniv: +1800m – (7h00+5h00)= 12h00 – 26 km Niv: Montagnard
  • La montée: +1400m de dénivelé pour -400m  sur 13km (7h00)
  • Date: le 03.09.2019 – Hautes-Pyrénées – Départ: Col des Tentes (2208m)

Le Mont Perdu, troisième plus haut sommet des Pyrénées après l’Aneto et les Posets, domine une extraordinaire région en plein cœur du Parc National d’Ordesa et du Mont-Perdu. Il fait partie des sites les plus grandioses d’Europe avec depuis sa cime, un panorama époustouflant par beau temps sur le Cirque de Gavarnie, les Canyons d’Anisclo/Ordesa et les sommets des alentours.

Cette course à la journée est réservée aux randonneurs expérimentés surtout en début de saison où de nombreux névés jalonnent le parcours. Le modeste randonneur pourra depuis le refuge de Goriz (Espagne) attendre la mi-Août voir début septembre pour gravir ce sommet tant convoité (3 petites heures depuis Goriz), voir le Topo Ici.

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Les principales difficultés sont:

  • Le Pas des Isards (passage aérien équipé d’une chaîne)
  • Barre rocheuse à franchir au pied de la Tour du Marboré: Directement par le mur (passage Exposé) ou par la cheminée (Niv: II+)
  • Barre rocheuse à franchir sous le Pic du Marboré: Cheminée pas très difficile (Niv: II+)
  • La longue montée dans le pierrier finale: Bâtons très utiles, éviter la première partie qui est très pénible en prenant le fil de crête à droite.
  • Condition physique: Être en très bonne condition physique pour avaler les 1800m de dénivelé sur les 26km à la journée !
  • Sources d’eau potable: Au refuge des Sarradets (pas d’eau été 2019) à défaut descendre un peu dans le vallon (Est) pour faire le plein dans le ruisseau, si non pour le retour, faire le plein dans le petit lac glacé vers 2990m (pastilles obligatoires) et en-dessous du massif de l’Épaule non loin du petit lac (2960m), voir le topo.

La suite du Topo . . . . . . . . . .

Départ depuis le col des Tentes.

Randonnée faite avec Serge et Fred lors de notre bivouac au Mont Perdu.

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Remonter la piste jusqu’au port de Boucharo (2271m).

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Lever de soleil sur le Taillon et les Gabiétous.

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Port de Boucharo (2271m).

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Depuis le port de Boucharo,

suivre le sentier bien marqué qui grimpe en pente douce jusqu’à la cascade (Est).

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Ne cherchez pas mes bâtons, je les ai oubliés dans le coffre de ma voiture ! ! !

Il n’y a plus qu’à marcher sans jusqu’en haut du Mont Perdu, aie aie aie !

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L’arrivée à la Cascade.

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La vue au loin sur le massif du Vignemale (3298m).

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Prenez votre temps pour la traversée du torrent, y a souvent des accidents !

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L’arrivée au col des Sarradets (2589m).

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Le refuge de la Brèche de Roland ou appelé aussi le refuge des Sarradets (2587m).

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Que c’est vilain !

C’est un topo, alors je vais rester gentil et garder ma colère, qu’elle tristesse ! ! !

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Depuis le refuge des Sarradets,

remonter en suivant le sentier dans la pierraille jusqu’au plateau supérieur juste en-dessous de la brèche.

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Mariano.

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L’arrivée au plateau.

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Puis la montée à la Brèche de Roland.

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Pas de difficulté depuis le départ si ce n’est ici où il faut utiliser un peu les mains (niv II).

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La Brèche de Roland (2807m) compter en gros entre 2h15 à 2h30 depuis le col des Tentes.

Oui, c’est beau !

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Petite pause de 2 minutes avant de reprendre notre itinéraire pour le Mont Perdu.

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Depuis la brèche, descendre vers le Pas des Isards (à gauche en direction de l’Est).

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Pas des Isards, un passage aérien équipé d’une chaîne.

Sans grand danger si l’on a pas le vertige et si l’on garde une main sur la chaîne.

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La vue derrière nous vers la Brèche de Roland.

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Panorama côté espagnol avec la vue vers le Canyon d’Ordesa et sur l’Escuzana (2847m) à droite.

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Frédéric juste après le passage du Pas des Isards.

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Suivre la sente à la base de la paroi,

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puis contourner le massif du Casque par la droite pour se hisser en haut de cette barre rocheuse qui ne présente aucune difficulté.

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Ce jeune couple que nous avons croisé, doit rejoindre le refuge des Espuguettes pour 19h ce soir alors qu’il est déjà midi. Ils sont partis sans trop estimer le temps ni connaitre les difficultés du parcours qui pour rejoindre les Espuguettes, doit passer par Tuquerouye et la Hourquette d’Alans, autant vous dire qu’ils ne sont pas encore arrivés et les 0° de cette nuit (-3° en ressenti) sans être équipé de vêtements chauds aurait pu les mettre en grand danger !

Nous leur avons conseillé de faire le Casque (un 3000 facile) puis de revenir en arrière et de descendre par l’échelle des Sarradets pour être à bon port au refuge des Espuguettes, il ont vraiment eu de la chance de nous rencontrer.

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Nous concernant, nous nous dirigeons vers la brèche en-dessous de la Tour.

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Point clé, pour le Mont Perdu suivre l’itinéraire de la Tour.

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Le couple est dans les pentes du Casque (30 petites minutes pour arriver au sommet). Il seront à bon port ce soir en ayant fait un beau 3000, en plus la jeune fille était déjà un peu fatiguée, je n’ose même pas imaginer ce qui aurait pu se passer en continuant leur chemin. La région attire tous les ans de plus en plus de touristes qui ne connaissent pas vraiment le milieu montagnard. Il serait peut-être judicieux et intelligent de mettre des panneaux à chaque départ des randonnées en mentionnant les temps pour chaque sommet et les niveaux de difficultés comme le font nos amis Espagnols, mais non, nous sommes trop intelligents nous les Français pour copier sur les autres, pourtant ça éviterait surement des accidents. Je suis persuadé que si ces 2 jeunes avaient lu au départ de la randonnée qu’il y avait plus de 10h00 pour monter au refuge de Tuquerouye, ils ne se seraient pas lancés dans cette longue boucle.

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Nous continuons toujours vers l’Est en direction de cette brèche ou col.

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Aucune difficulté depuis le départ pour des randonneurs aguerris.

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Derrière nous le Casque (3006m) un 3000 facile à faire.

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Après avoir franchi la brèche, il faut franchir la barre rocheuse en-dessous de la Tour.

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Vers 2888m, deux solutions: à gauche avec un itinéraire exposé (Niv: II+) ou rejoindre 50m plus loin la base d’un couloir (Cheminée Niv: II+)

Il y a 2 couloirs, qui sont au niveau difficulté, sensiblement les mêmes, prendre celui le plus à droite (Cairns).

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Pour l’aller, nous décidons de prendre à gauche et de grimper en utilisant les mains (Niv: II+).

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Le retour se fera par la cheminée.

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Il faut un peu chercher les bonnes prises par endroits, mais rien de difficile.

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Des cairns jalonnent la progression jusqu’en haut de la barre rocheuse.

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La montée est exposée mais sans problème pour ceux qui sont habitués a évoluer sur ce genre de terrain.

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Par temps sec, il n y a pas de grandes difficultés.

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La sortie de la cheminée la plus à droite pour ceux qui auront choisi de monter par le couloir..

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Le retour se fera par là.

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Après le passage de la barre rocheuse,

l’itinéraire file toujours en direction de l’Est en direction du col de la Cascade.

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Nous remontons vers la gauche jusqu’au fil de crête pour aller au col de la cascade.

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Aucune difficulté et la vue est très sympa !

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Col de la Cascade (2931m).

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La vue sur la vallée de Gavarnie.

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Le village de Gavarnie, l’Hôtellerie du Cirque et le déversoir de la grande cascade de Gavarnie.

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1300m plus bas !

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La vue vers le Taillon (3144m).

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Le massif du Vignemale (3298m).

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Les 3 sommets en enfilade: La Tour (3009m), le Casque (3006m) et le Taillon (3144m).

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Zoom sur la partie finale de l’ascension du Mont Perdu (pas la plus facile).

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Après un bon casse-croûte, nous reprenons l’itinéraire du Mont Perdu en perdant quelques mètres.

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Nous passons plusieurs petits lacs ou laquets dont celui-ci en partie gelé !

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Pour le deuxième petit lac, vers (2935m) au pied de l’Épaule,

repérer bien ce secteur pour un éventuel ravitaillement en eau au retour.

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Bien qu’il y est plusieurs itinéraires et beaucoup de cairns,

ils arrivent tous au même endroit, à la base de la deuxième barre rocheuse du parcours.

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Avant de remonter et accéder au col de Los Taquetones, rejoindre la base de la muraille.

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Il y a des cairns et même une grande flèche dessinée avec des cailloux visant la base de la cheminée.

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Il faut un peu chercher les bonnes prises sur les 2 premiers mètres puis,

vous vous hissez sans problème en haut de cette barre rocheuse.

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Niveau d’escalade (II+).

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Après les premiers mètres, la progression est facile, on passe un peu partout.

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Nous laissons à gauche l’itinéraire du Pic du Marboré celui du Cylindre pour nous diriger vers le col de Los Taquetones (3017m).

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Une belle vue sur ce beau canyon d’Ordesa depuis le col de Los Taquetones (3017m).

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La vue sur l’autre canyon d’Añisclo, un autre joyaux dans ce secteur riche en merveilles.

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Depuis le col de Los Taquetones,

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descendre vers le petit lac glacé du Mont Perdu sur une sente bien marquée dans les éboulis.

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L’arrivée au petit lac glacé du Mont Perdu (2990m).

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Nous faisons le complément d’eau ici en mettant des pastilles.

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Nous contournons le lac par la gauche mais vous pouvez aussi bien, le contourner par la droite.

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Voilà la partie la plus pénible, surtout si vous êtes un bourrin comme moi qui suit parti tout droit !

Compter 1h15 pour remonter cette pente bien raide jusqu’au sommet (+400m de dénivelés sur 1km).

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Prenez le fil de crête pour rejoindre le pierrier dans sa deuxième partie, c’est beaucoup plus facile.

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Après avoir fait deux pas devant et un pas en arrière, et je n’exagère vraiment pas, ça va beaucoup mieux !

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Il faut chercher les blocs un peu plus gros pour ne pas reculer !

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C’était drôlement plus facile la dernière fois que je suis monté avec le couloir enneigé, voir ici.

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Serge et Frédéric me suivent de près.

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L’arrivée en haut du crachoir comme il l’appelle ici.

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Le reste est une formalité.

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L’arrivée de Frédéric,

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et celle de Serge.

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Mariano, Frédéric et Serge au sommet du Mont Perdu, 3em plus haut sommet des Pyrénées après l’Aneto et les Posets.

(compter 7h00 depuis le col des Tentes).

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Un panorama magnifique, certainement l’un des plus beau de la chaîne si ce n’est le plus beau !

Le panorama démarre automatiquement, vous pouvez l’arrêter sur II (Arrêter l’Autorotation) puis naviguer avec la souris.

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Un immense panorama vous attend en haut du sommet.

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Vers le Cylindre du Marboré (3335m).

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Le Taillon (3144m) avec le Casque et la Tour qui paraissent bien petits depuis ici.

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Le Canyon d’Añisclo.

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Le 3 Canyons: Añisclo, Pardina et Ordesa.

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Le Canyon d’Ordesa.

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La Torre de Goriz (2792m).

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Le Canyon d’Añisclo avec à gauche les Sestrales Alto et à droite el Mondoto.

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Vers le Nord-Est.

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Vers le Nord.

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Le Pic Long (3192m).

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Le Pic du Midi de Bigorre (2872m).

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Le refuge de Tuquerouye (2666m) avec son lac Glacé (2600m) et en arrière plan: le barrage des Gloriettes.

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Vers Cotiella (2912m) avec au premier plan le Soum de Ramond (3259m).

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Vers les trois sœurs et la Peñas las Once (2651m).

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Vers le Pic Aneto (3404m) et les Posets (3369m).

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La belle vallée de Pineta.

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Le Cirque de Troumouse avec ses sommets à plus de 3000m:

Le Pic Heid (3022m), le Pic de Troumouse (3085m) et le Pic de la  Munia (3133m).

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Y a de la vie en haut du Mont perdu avec ce petit oiseau qui cherche à manger

et même un petit Mulot qui a tourné autour de moi pendant que je prenais des photos.

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Après en avoir pris plein les mirettes, retour par le même itinéraire que la montée.

(Compter entre 5h et 6h pour le retour au col des Tentes)

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Le petit lac glacé du Mont Perdu (2990m) parait bien petit d’ici.

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Retour en haut du crachoir.

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Avec une petite visite pour aller voir la face Nord du Mont Perdu et son glacier.

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Le glacier du Mont Perdu.

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La descente dans le pierrier.

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Un vautour Fauve.

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Ça va beaucoup mieux qu’à la montée, ça c’est sûr !

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Serge m’a gentiment prêté un bâton pour la montée, ça aide à la montée comme à la descente.

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Magnifique ce canyon d’Ordesa.

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Cette partie en dévers pour rattraper le pierrier du bas est un peu délicate.

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C’est tout droit !

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Vous avez certainement constaté que nous avions des cordes (2x30m + le matériel d’assurage) 1,7kg chacun. Ce n’était pas pour le Mont Perdu mais pour la montée au sommet du Cylindre que nous avions prévu de faire. Malheureusement avec ma contracture au mollet et le temps qui nous est compté, nous préférons reporter cette belle ascension pour une prochaine fois, ce sera l’occasion de revenir dans cette magnifique région.

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Le petit lac Glacé du Mont Perdu (2990m).

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La vue sur el Monte Perdido où nous étions depuis le petit lac glacé.

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Depuis le petit lac glacé, remonter au col de Los Taquetones (3017m).

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Toujours cette belle vue sur ce beau Canyon d’Ordesa.

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La petite descente vers le haut de la barre rocheuse.

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L’Épaule et le Pic de la Cascade Orientale.

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Petit pause pour me rafraîchir.

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Pas de mot pour décrire cette beauté.

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La rencontre avec Cyprien (un jeune Alpin de Grenoble) nous l’avons renseigné pour rejoindre Gavarnie par l’échelle des Sarradets. Il est vrai que lorsque vous ne connaissez pas le secteur, il est difficile avec toutes ces barres rocheuses de savoir si ça passe vraiment.

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Désescalade de la cheminée.

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Niv: II+

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Serge et Frédéric dans la cheminée.

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Direction vers l’Ouest vers la base du Col de la Cascade.

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En fin d’été, vous aurez du mal à trouver de l’eau !

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L’eau coule en drapeau depuis cette roche blanche,

attention prenez vos précautions si vous montez haut comme moi.

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La descente à une main a été délicate mais je suis descendu doucement sans prendre de risque.

En fonction de la période, vous ne serez peut-être pas obligé de grimper si haut pour récupérer de l’eau.

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Cette fois-ci le ravitaillement en eau fraîche est fait et en plus pas besoin de mettre des pastilles !

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Encore un petit laquet à passer.

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Nous laissons cette fois-ci le col de la Cascade sur la droite et continuons tout droit.

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Petite pause bien méritée après 3h de marche depuis le Mont Perdu.

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C’est reparti !

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Cette fois-ci nous descendons par la cheminée.

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Niv II+ voir peut-être Niv: III à certains endroits, il suffit de passer 2m à côté pour que la difficulté augmente ou diminue,

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pas toujours facile de déterminer la cotation entre le II+ et le III.

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Frédéric dans le couloir qui doit faire une cinquantaine de mètres de hauteur.

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Les derniers mètres pour Serge.

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La fin du couloir.

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Sympa ce couloir que je prendrai la prochaine fois à la montée.

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Retour à la base de la Tour du Marboré.

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La descente vers le pied du Casque.

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Ça parait hard mais ça passe sans problème en restant debout !

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Par moments on se demande par où passer et une fois dessus, c’est de la rigolade !

Attention, parfois c’est le contraire ! ! !

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La preuve, ces deux montagnards, tranquilou !

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Mes 2 camarades de randonnée.

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Serge et moi en grande discussion.

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Le pas des Isards.

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Frédéric dans la partie finale du Pas des Isards alors que Serge est déjà sur le sentier montant à la Brèche de Roland.

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L’arrivée à la Brèche de Roland.

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La descente vers le refuge des Sarradets, la dernière ligne droite.

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Mariano, Serge et un jeune rencontré à la brèche, qui va faire la descente avec nous jusqu’au Port de Boucharo.

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Refuge des Sarradets.

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Anthony un jeune qui passe ses vacances à Gavarnie et qui habite à la Roche sur Yon.

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Le passage de la Cascade.

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La bifurcation du Port de Boucharo/col des Tentes et  la vallée de Belle vue à droite.

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La lune.

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Le retour jusqu’au col des Tentes, toujours aussi long !

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Port de Boucharo.

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Les nuages de fin d’après-midi commencent à se former et accrocher les sommets à plus de 3000m.

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Une Marmotte qui est bien grasse, elle est déjà prête pour passer l’hiver !

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Retour au col des Tentes.

Merci à Serge et à Frédéric pour cette belle randonnée faite ensemble, c’était grandiose !

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Qui n’a pas rêvé de bivouaquer au sommet du Mont Perdu, beaucoup de montagnards j’imagine. Serge, Frédéric et moi-même avons eu cette chance de pouvoir dormir sur le 3ème plus haut sommets des Pyrénées. Des images gravées à jamais dans nos têtes avec des paysages et des couleurs d’une rare beauté que seule Dame Nature peut nous offrir.

Voir notre bivouac au Mont Perdu (un souvenir inoubliable)

27 réponses
Commentaires récents »
  1. Benjamin dit :

    Bonjour Mariano,
    Tout d’abord, merci beaucoup pour ce formidable article, les photos sont splendides et donnent envie !
    Vivement que l’on puisse de nouveau arpenter ces magnifiques sentiers.
    J’ai lu le commentaire de Guillaume qui dit avoir fait la sortie sur 2 jours; est-ce que tu confirmes qu’il est possible de planter une tente au niveau du lac glacé ? le sol me parait quand même drôlement caillouteux…
    Merci pour ton retour et encore félicitation pour tous tes articles !
    Bonne continuation,
    Benjamin

    Répondre
  2. guillaume dit :

    Fait ce week-end!
    Merci pour ce topo Mariano. Sans lui, je serais passé par le « bas » je ne savais même pas qu’un chemin du « haut » existait. Franchement toutes les photos m’ont bien servi, on a vite fait de rater un petit cairn et de se retrouver dans les barres… Au retour je me suis appuyé sur ma trace de l’aller pour me recaler sinon on perd facilement le chemin même pas beau temps
    A la journée c’est soutenu, je l’ai fait sur deux jour avec une nuit au lac glacé, du coup j’étais peut-être plus chargé et plus lent aussi
    Merci encore pour tous tes partages, les randos dans les Pyrénées ne seraient pas ce qu’elles sont sans Mariano 😉
    Guillaume

    Répondre
  3. sarah dit :

    merci bcp pour ce parcours détaillé….
    je m’interroge sur ma capacité à me faire confiance pour le faire…. avec un sac à dos à la journée pas de soucis mais là je serai avec 11/12 kg et j’ai toujours l’impression que le sac me déséquilibre… ça m’inquiète un peu pour le pas des Isards et les cheminées
    je fais un tout petit peu d’escalade (mais malheureusement en salle), à quoi correspondent les cotations que tu donnes à comparer avec de la salle (4C,5A,5B…) ?
    merci d’avance

    Répondre
    • Mariano dit :

      Bonjour Sarah,
      Les cotations sont les mêmes qu’en salle à la seule différence c’est que lorsque tu es en montagne, la sensation de vide est partout contrairement à la salle.
      J’ai déjà vu des gens très faciles dans du 5C en salle et ne plus avancer sur une crête facile avec du vide de chaque côté.
      Concernant le Mont Perdu, le niveau d’escalade ne dépasse jamais le II+ et donc si en salle tu fais du 4C et que tu n’as pas le vertige, aucun problème pour toi.
      Pour le Pas des Isards, c’est vraiment de la rigolade même avec un sac de 20kg, il y a une chaîne tout le long.

      Répondre
    • Mariano dit :

      Bonjour Arthur,
      Oui, elle est faisable en juin mais pour des montagnards, y a de la neige certainement depuis la brèche de Roland jusqu’en haut du sommet.
      Si vous n’avez pas l’habitude de ce genre de terrain en mode hivernal (crampons/piolet), il ne faut pas faire ce périple.
      Compter plus de 12h en mode hivernal, pour montagnards aguerris dans ce genre de terrain.

      Répondre
  4. Michele LETORT dit :

    Merci Mariano,pour tout le travail réalisé enchantement pour les yeux,ton site m’aide à passer de bons moments à rêver.
    je repasse là ou j’ai usé mes semelles depuis plus de 50 ans… tu fais partie de ces gens qui donnent de leur temps pour les autres et cela est inestimable;
    je te souhaite de profiter longtemps de ton enthousiasme et j’espère croiser un jour tes pas:
    il n’y a parait il que les montagnes qui ne se rencontrent jamais et encore faudrait il le vérifier!
    merci encore :

    amicalement
    jm

    Répondre
  5. Roger POIRIER dit :

    Ah Le Mont Perdu, premier échec je ne suis pas allé jusqu’au bout, je suis resté au pied de l’Epaule, car pour la première fois, je ressentais les douleurs au genou droit c’était en 1992, je me suis opéré seulement en 2017. Nous avions même mis les crampons pour monter à la Bréche, car le glacier était à vif. Il n’empêche que j’ai d’excellents souvenirs car je passais pour la première fois le pas de l’Isard, et la vue remarquable du Col de la Cascade. C’est quand même une longue randonnées pour une journée. Après avoir fait 3 fois le Taillon, nous avons fait le casque en 2003, et là aussi que de beaux souvenirs.

    Répondre
  6. nathalie Sion dit :

    Waouw! que c’est beau… je vous envie de pouvoir faire ce genre de randonnées! moi, je n’en suis pas capable. Mais je peux rêver en regardant vos magnifiques photos. Bravo à vous pour votre topo et merci. Nathalie, Lasne, Belgique.

    Répondre
  7. Patrick S dit :

    je recherchais pour le lac de Bastampe le parcours et trouvé ton site, il est superbe dans tous les sens. Je suis d’accord l’extension du refuge de la brèche de Roland est très laide.

    Répondre
  8. Toni dit :

    Bravo Mariano, per les teves magnifiques fotos, son inmillorables, aquesta randonnée m’ha portat vells records de joventut de quan jo corria per aquestes muntanyes, les teves fotos m’han transportat altre vegada al meu mon de la muntanya que sempre el porto al cort.
    Gràcies per les teves fotos.
    No deixis mai de anar a la muntanya i de compartir les teves fotos.
    Toni.
    Salutacions desde CVATALUNYA.

    Répondre
  9. Cyprien dit :

    Bonjour,

    j’ai croisé Mariano, Serge et Fred dans la redescente du Mont Perdu ce jour là et ils m’ont indiqué le chemin présenté ici. Quel chance pour moi ! Cet itinéraire est splendide, on va de cairn en cairn sur une roche pleine de couleurs. C’est une des plus belles randos que j’ai pu faire 🙂

    Le chemin demande d’avoir le pied sûr mais n’est pas difficile, du moins tant que c’est dégagé et qu’on voit les cairns. Les quelques pas d’escalade sont faciles et non exposés. Par contre j’ai eu peur au passage de la vire sous la Tour du Marboré où il faut bien assurer ses pas sur environ 300m.

    Mariano m’a conseillé de descendre sur Gavarnie par les échelles de Sarradets (on bifurque du topo au niveau du refuge des Sarradets). C’est une belle façon de finir la rando ! On atterrit directement dans le cirque de Gavarnie après avoir longé ses montagnes versant espagnol. Le fameux passage des échelles est agréable et permet de finir en beauté.

    Excellent chemin !! Et merci pour tous tes conseils lorsqu’on s’est croisé et sans lesquels j’aurais raté un magnifique itinéraire.

    Cyprien

    Répondre
  10. PASQUIER Daniel dit :

    Bonjour Mariano

    Tout simplement titanesque; ce topo est fantastique, quelle merveilleuse sortie (même sans les bâtons) .
    Superbe toutes ces photos
    C’est horrible cet agrandissement du refuge des Sarradets face à notre Brèche de Roland nationale
    Bravo et merci pour le partage

    Amicalement

    Daniel

    Répondre
  11. Helene dit :

    chapeau !! j’aimerai faire le mont perdu mais je pense depuis Gorliz – j’ai trop peur de me perdre sinon – et puis depuis le col des tentes y a un bout mais merci de nous faire partager cela – de nous montrer les difficultés et cet horrible agrandissement des Sarradets – quel dommage – on y a dormi un automne quand c’était fermé on y était seul, c’était beau, authentique – là c’est pas possible ! enfin c’est comme ça
    merci Mariano
    A bientôt
    Hélène

    Répondre
  12. Lionel dit :

    Waouh !
    Que dire. Tout était réuni pour des images extraordinaires.
    Le 15/07/18, j’étais là-haut en partant du lac des Gloriettes (sans bivouac malheureusement). Mais je n’ai pas eu ce temps superbe ; des nuages accrochées sur les canyons et les sommets associé à pas mal de neige. J’ai quand même eu la vue sur le Mont Perdu depuis Tuquerouye et la vue superbe du balcon de Pineta.
    Merci de mettre en valeur ces beautés de la nature. Je suis absolument fan des vue des canyons (Ordessa, …).

    Répondre
  13. Menu dit :

    Bonjour Mariano,

    Jolies photos. Je suis étonné de ne plus voir de glacier à la brèche de Roland.

    Hier je suis allé gravir le pic de Batouas. De très beaux panoramas sur les 3000.

    Amicalement.

    Gilles

    Répondre
  14. francis dit :

    Bonjour Mariano
    Ces lieux sont toujours magiques et d’une grande beauté et me font toujours rêver. Ce jour là j’étais pas très loin, au Pic de l’Escuzana 500m plus bas.
    Encore bravo et merci pour toutes ces merveilleuses photos qui rappellent tant de bons souvenirs…
    Amitiés. Francis.

    Répondre
  15. serge dit :

    Bonjour Mariano
    Et bien tu n’as pas chômé, je n’attendais le topo que fin de semaine, époustouflant de précisions et de qualité, mais quand on te connais et que l’on partage des randos avec toi on sait d’avance que le rendu de ces courses sera irréprochable ! que d’heures passées au clavier, la rando n’est que la partie visible de l’iceberg, chapeau Monsieur !
    A bientôt pour de nouvelles aventures
    Amitiés
    Serge

    Répondre
  16. Patrick dit :

    Holla Mariano

    Merci pour la balade, c’est mon itinéraire préféré des Pyrénées. Et je suis d’accord avec toi sur le refuge des Sarradets, l’architecte ne devait pas être bien inspiré le jour ou il a imaginé l’agrandissement …no comment. Par contre , pas d’accord sur le fait de renseigner pas des panneaux les horaires au départ, il faut obliger les gens à se renseigner en amont sur la rando et à lire une carte. Un pancarte de direction oui mais trop d’infos tue l’autonomie, mais cela reste mon avis. vaste débat …

    Répondre
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